- 14 nov. 2012, 11:49
#568987
Voici la lettre que je ne t'enverrai pas … Je sais, ça peut paraître débile de s'exprimer ainsi alors que tu n'en auras jamais la teneur, mais il paraît que cet exercice fait du bien alors je vais essayer . Tu as mis fin a 6 ans de ce que je considérais de l'amour, même si après coup je me demande si ce sentiment n'était pas a sens unique. Je penses que tu ressentais plutôt une sorte de confort affectif, de bien être, car comme tu le disais toi même, je ne t'aurais jamais fait de mal, que nous avions une belle maison, deux belles situations …
Tu ne peux imaginer a quel point c'est vexant de s'entendre dire que l'on a été choisi, non pas pour son désir de femme mais plutôt pour la stabilité que l'on apporte comme futur potentiel père de famille. Moi pendant ce temps là, je t'ai tout donné de mon amour, je n'ai jamais triché sur les sentiments, je ne vivais que par et pour toi, même si je reconnais ne pas avoir toujours tenu compte des changements, notamment physiques, que tu espérais de moi … Mais je reste persuadé que si tes sentiments avaient été a la hauteur des miens, cela aurait suffi a te faire rester. Ou en tout cas a ce que tu ne te jettes pas dans les bras du premier venu pendant cette période que tu qualifiais de break, qui m'aura maintenu dans un espoir illsuoire, alors que dans ta tete, et peut être même physiquement , tu étais deja ailleurs … Je ne t'ai jamais rien reproché, mais c'est une attitude qui ne t'honore pas, tout comme le fait de me l'avoir caché et que je le découvre moi même … J'aurai aimé entendre la vérité vraie, pas celle qui consistait a me ménager ou à ménager l'image que je pourrais en faire résulter de toi, en minimisant et me disant que tu « voyais quelqu'un » mais rien de sérieux.
Alors oui, je t'en ai voulu et t'en veux d'avoir mis fin a ça, mais en même temps tu as eu les « couilles » de le faire , et même si je ne t'en féliciterai pas, tu l'as fait et c'est courageux. Oser renoncer a tout ce que tu avais ( malgré tout) , un chéri aimant, attentionné au possible, aux petits soins, une complicité amoureuse ( malgré un déficit de sexualité qui t 'a lassée) patient dans les épreuves,une belle famille qui te vénérait,une excellente relation de ma part aussi avec ta famille, bref, pas mal de choses positives quoi qu'on en dise. Je sais que tu n'es pas dupe de tout ça, tu as toi même dit en me quittant que tu « prenais un risque et que tu devais l'assumer », que « tu savais ce que tu perdais et le regretterai peut être toute ta vie », autant de belles paroles insuffisantes pour te faire rester encore une fois. Alors aujourd'hui, je suis faible et bien sûr que je replongerai volontiers, mais ta prise de conscience n'a pas encore eu lieu . Je ne te souhaite pas de mauvaises choses, comment le pourrai je après ce que l'on a vécu, mais je souhaite juste qu'un jour tu te rendes compte que tu avais beaucoup de chance et que tu me regrettes. Dans l'absolu, j'espère ne pas être au courant , parce que j'aurai moi même fait ma vie et qu'elle sera heureuse, mais au fond je crois que j'aimerai bien le savoir quand même … Ou peut être que rien de tout ça n'arrivera et que tu trouveras l'homme qui saura te combler sur tous les plans, et avec qui tu réaliseras les rêves qui étaient les notres. Cependant, j'ai la faiblesse de croire que quand on a la « chance » ( toute modestie mise a part ) d'avoir ce que tu as , et que l'on y renonce, on fait fausse route et on va le « payer » d'une façon ou d'une autre un jour … Mais je peux me tromper … C'est peut être la partie « rancoeur » en moi qui me fait dire ça et je devrais la laisser de côté pour me concentrer sur mon propre bonheur a reconstruire plutôt que sur des regrets que tu pourrais nourrir un jour …..
Tu ne peux imaginer a quel point c'est vexant de s'entendre dire que l'on a été choisi, non pas pour son désir de femme mais plutôt pour la stabilité que l'on apporte comme futur potentiel père de famille. Moi pendant ce temps là, je t'ai tout donné de mon amour, je n'ai jamais triché sur les sentiments, je ne vivais que par et pour toi, même si je reconnais ne pas avoir toujours tenu compte des changements, notamment physiques, que tu espérais de moi … Mais je reste persuadé que si tes sentiments avaient été a la hauteur des miens, cela aurait suffi a te faire rester. Ou en tout cas a ce que tu ne te jettes pas dans les bras du premier venu pendant cette période que tu qualifiais de break, qui m'aura maintenu dans un espoir illsuoire, alors que dans ta tete, et peut être même physiquement , tu étais deja ailleurs … Je ne t'ai jamais rien reproché, mais c'est une attitude qui ne t'honore pas, tout comme le fait de me l'avoir caché et que je le découvre moi même … J'aurai aimé entendre la vérité vraie, pas celle qui consistait a me ménager ou à ménager l'image que je pourrais en faire résulter de toi, en minimisant et me disant que tu « voyais quelqu'un » mais rien de sérieux.
Alors oui, je t'en ai voulu et t'en veux d'avoir mis fin a ça, mais en même temps tu as eu les « couilles » de le faire , et même si je ne t'en féliciterai pas, tu l'as fait et c'est courageux. Oser renoncer a tout ce que tu avais ( malgré tout) , un chéri aimant, attentionné au possible, aux petits soins, une complicité amoureuse ( malgré un déficit de sexualité qui t 'a lassée) patient dans les épreuves,une belle famille qui te vénérait,une excellente relation de ma part aussi avec ta famille, bref, pas mal de choses positives quoi qu'on en dise. Je sais que tu n'es pas dupe de tout ça, tu as toi même dit en me quittant que tu « prenais un risque et que tu devais l'assumer », que « tu savais ce que tu perdais et le regretterai peut être toute ta vie », autant de belles paroles insuffisantes pour te faire rester encore une fois. Alors aujourd'hui, je suis faible et bien sûr que je replongerai volontiers, mais ta prise de conscience n'a pas encore eu lieu . Je ne te souhaite pas de mauvaises choses, comment le pourrai je après ce que l'on a vécu, mais je souhaite juste qu'un jour tu te rendes compte que tu avais beaucoup de chance et que tu me regrettes. Dans l'absolu, j'espère ne pas être au courant , parce que j'aurai moi même fait ma vie et qu'elle sera heureuse, mais au fond je crois que j'aimerai bien le savoir quand même … Ou peut être que rien de tout ça n'arrivera et que tu trouveras l'homme qui saura te combler sur tous les plans, et avec qui tu réaliseras les rêves qui étaient les notres. Cependant, j'ai la faiblesse de croire que quand on a la « chance » ( toute modestie mise a part ) d'avoir ce que tu as , et que l'on y renonce, on fait fausse route et on va le « payer » d'une façon ou d'une autre un jour … Mais je peux me tromper … C'est peut être la partie « rancoeur » en moi qui me fait dire ça et je devrais la laisser de côté pour me concentrer sur mon propre bonheur a reconstruire plutôt que sur des regrets que tu pourrais nourrir un jour …..