Bonsoir tout le monde !
Pardonnez mon absence durant ces quelques jours, j'ai beaucoup vadrouillé dans tous les sens ces derniers temps donc je n'ai pas pu être présente sur le forum ! Comment allez-vous ?
Pour celles et ceux qui suivent mon histoire, j'ai donc décidé d'aller au concert de mon ex Jeudi soir. J'ai commencé un peu à écrire sur les deux jours passés avec lui (oui finalement, il y a eu deux jours) et je voulais vous partager celà.
---> Jeudi soir : Le concert.
Aujourd’hui, je vais à ton concert. J’avoue être un peu stressée, je ne sais pas du tout comment je vais réagir lorsque je te verrai. Est-ce que mon coeur va chavirer de nouveau ou est-ce que je vais me rendre compte que tu ne me manques pas du tout ? Il est vrai qu’après mes périples danois et français, j’avais beaucoup avancé. J’arrive dans cette salle que j’ai tant côtoyé avec toi, tu te mets derrière le micro mais soudain en me voyant, tu fonces vers moi pour me dire bonjour. Tu reprends place derrière ton micro et tu commences à chanter. Malgré ta voix enrouée, tout se passe très bien. Dans nos regards, rien n’a changé. Tu chantes en me regardant avec amour comme tu sais le faire et en me souriant. Et je vois bien, que tu ne vois que moi dans la salle. Car tes autres regards étaient dans le vide. Puis tu te mets à chanter une de mes chansons préférés. Tu me fais un clin d’oeil et tu me souris, tu repenses sans doute à notre histoire. Voilà que tu te mets à jouer les premières notes de ton single. Comme toutes les autres chansons, tu me souris et tu me diras dans la soirée que tu ne cesses d’avoir une pensée pour moi à chaque fois que tu la chantes car c’est grâce à moi si ce single a vu le jour. Tu termines ton concert et moi je suis déjà dehors pour fumer une cigarette avec les copains. Tu nous rejoins mais je n’ose pas te parler. Tu proposes à ton meilleur ami N. de t’accompagner pour ranger les affaires dans la voiture et tu me regardes d’un air de dire « toi aussi viens ». Je me lève et me prépare. J’attend N. quand tu viens à côté de moi en me disant « alors comme ça Copenhague, c’est magique ? » avec ton petit sourire. Je sais que tu as suivi mon petit citytrip sur Facebook car tu as aimé toutes mes photos.
On se dirige vers la voiture, je parle beaucoup avec ta guitariste. Elle est super top ! Je n’avais pas de raison d’être jalouse d’elle lorsque nous étions ensemble.
Nous nous dirigeons en voiture vers l’appartement de N. pour continuer la soirée. Mais d’abord, il n’y a plus de coca pour le rhum. Tu demandes à N. de descendre de la voiture pour aller en chercher. Tu te tournes vers moi et tu me dis que tu es hyper heureux de me voir, que ça te fait du bien que je sois là. Je n’ose te répondre qu’un simple « ah ». A ce moment-là, je ne suis pas encore disposée à te parler normalement car je ne sais pas quoi te dire. Tu commences à me parler de tes problèmes d’argent, tu me dis que chez ta mère, c’est l’enfer. Que tu penses à prendre un appartement le plus vite possible en colocation avec ton collègue L. mais qu’avant tu dois encore réglé tes problèmes d’argent. Car en réalité, ils étaient pires que ce que je pensais jusqu’à hier. Et tu commences à me poser beaucoup de questions, est-ce que je vais bien, comment s’était Copenhague. D’un coup, et voyant que je n’étais pas très bavarde tu me dis « dis moi simplement où tu habites actuellement, rassure-moi. » je te répond que j’habite chez ma mère à 20 minutes d’ici et que non, je n’ai toujours pas regarder pour un appartement sur Paris. Je te parle de mes projets de chercher du travail à Copenhague. Tu me parles de ton projet de partir de là à un moment donné mais que là, tu venais de signer un CDI et que donc ça ne serait pas pour tout de suite. Nous arrivons chez N.. Après quelques verres, je me lâche un peu. On commence à rigoler, tu me racontes que tu as entendu parler de mes soirées parisiennes de ces derniers temps.
Il est temps pour moi de me lever et d’aller fumer une clope sur la terrasse. Tu me rejoins. Et là, je retrouve la personne que j’aime. Tu te confies à moi. Naturellement, tu me parles de notre rupture. Et surtout, tu me donnes enfin la vraie raison. Tu me dis que tu es parti car tu avais trop de problèmes, que tu voulais me sortir de là car tu m’entrainais dans ta chute et que tu ne le supportais pas. Tu me dis que tu voulais me rendre heureuse mais avec la merde dans laquelle tu t’étais mis, tu n’y arrivais plus. Tu me dis que tu avais besoin d’être seul pour remonter la pente.
Puis tu me confies que tu vois pas mal de filles mais que tu n’arrives absolument pas à envisager quoi que ce soit. Sur le coup, tu me fais du mal car je t’ai dit que je ne voulais pas savoir. Même si en réalité, je le savais. Tu te justifies en disant « tu me connais par coeur, tu sais que je n’arrive pas à être seul et j’ai besoin d’oublier tout ça. ». Je me contiens, j’avoue, pour ne pas t’en coller une à ce moment-là, mais je ne dis rien, je ne fais qu’avoir un sourire jaune car je ne comprend pas comment tu peux faire ça. Mais je me force à me dire que tu ne me dois rien, que nous ne sommes plus ensemble.
Puis nous revenons à nous. Tu me dis qu'on se retrouvera un jour car nous avons un lien absolument indestructible par les choses qu’on a vécu et que tu ne pourras jamais oublier tout ça. Tu me dis, que tu fais tout pour les enfouir mais que les sentiments sont encore là et qu’il ne se passait pas une semaine sans que tu regrettes ta décision d’être parti. Tu me dis que tu sais tout ce que je fais et que tu as besoin de savoir si je vais bien. La dernière fois qu’on s’était vu, c’était lorsque je t’ai donné mes lettres. Apparemment tu m’as trouvé creusé et pas bien ce jour-là, j’avais beaucoup trop maigri à ton goût. Là, tu me dis que tu me trouves bien, que j’ai repris du poids.
La semaine dernière tu m’as envoyé un message incompréhensible à 3h du matin. Tu m’as seulement envoyé trois petits points. Vu l’heure, je me suis dit que tu rentrais du boulot et que tu venais de voir mon message pour mes cartes SD. Mais tu m’avoues autre chose. Ce soir-là, tu avais bu avec tes collègues et tu avais parlé de moi. Sur le chemin du retour, tu ne cessais de penser à moi et tu voulais me dire que tu me manquais mais tu n’avais pas eu les c*uilles de le faire. C’est pourquoi tu m’as envoyé celà.
Puis je te pose la question de mes lettres. Tu m’avoues que tu n’en as lu que 3-4 car tu n’es pas prêt à les lire. Pourquoi ? Tout simplement car tu sais qu’en les lisant, tu reviendras instantanément vers moi et que tu sais que ce n’est pas le moment pour toi. Tu commences à me parler de comment tu vis notre rupture. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’apparemment, tu ne le vis pas bien contrairement à ce que je pensais. Tu me parles du jour de ton déménagement et tu me dis que toutes nos photos sont restées là jusqu’au dernier moment. Tu m’expliques que lorsque tu as vu l’appartement vide, tu as pris une photo et tu t’es soudain remémoré tous les souvenirs que nous avions eu dans cet appartement. Le jour où je t’ai couru après tout autour de la table de la salle à manger uniquement pour te faire un câlin panda, les soirées films/fast food/pyjama/tisane tous les deux. Tu t’es même remémoré nos disputes et que je partais me réfugier dans notre chambre en boudant. Ca te faisait rire et tu me laissais pendant une heure puis tu venais me retrouver et me faire un câlin pour essayer d’enlever ma mou boudeuse sur mon visage. Puis dans cet appartement vide, tu t’es mis à pleurer uniquement parce que je te manquais et que tu disais au revoir à tous ces souvenirs. Tu me confies que tu as beaucoup de coups de mou concernant notre histoire, que je dois sûrement vivre notre rupture beaucoup mieux que toi car j’ai le sourire sans arrêt. On continue de parler de tout et de rien, je te dis que j’ai vu mon ex quand j’étais à Paris, celui que tu détestais et qui me court toujours après. Tu me dis « mais pourquoi ? enfin tu ne me dois rien mais pourquoi ? » je te répond, que j’étais dans le coin ce jour-là et que je l’ai vu pour mettre les choses au clair avec lui. Qu’il cesse de me harceler pour qu’on reprenne car j’avais définitivement tourné la page et depuis bien avant toi.
On continue de parler de tout et de rien comme ça puis tu me proposes de rester un jour de plus en Belgique pour qu’on aille le lendemain avec les copains au marché de Noël.
--> Vendredi : Le marché de Noël.
Tu es arrivé vers 20h car tu travaillais et tu as une nouvelle fois était engrené par tes collègues pour boire un verre. Une fois de plus, tu n'étais pas très frais quand tu es arrivé chez N. La seule reflexion que tu me fais à ce moment-là, c'est que c'est quand même dingue qu'on arrive à se voir deux jours de suite et tu en es très heureux.
Je suis sur le balcon pour fumer une cigarette et tu m'y rejoins. Je te demande si tu n'as pas vu ma chaussure car j'en ai perdu une. Tu m'expliques que mes chaussures d'hier, c'était des nouvelles et qu'elle ressemblait à une autre de mes paires et qui trainait sans cesse dans le couleur de chez nous. Je ne relève pas.
C. ton ami et le mien également pose pas mal de questions et je me rend compte que tu n'as absolument oublié aucun détail de ma vie et de mes petites mimiques. Alors que moi, je ne me souviens plus forcément de toutes ces petites choses.
On part au marché de Noël, tu fumes une cigarette et tu jettes ton paquet par terre, tu me regardes en me disant "oui je sais ce que tu vas dire" je n'avais rien dit du tout mais tu te rappelles que je n'aime pas quand tu jettes quelque chose par terre. Puis on se dirige vers le bar dans lequel tu travailles de nouveau.
Et là, j'ai détesté la personne que j'avais en face de moi. Tu faisais ton intéressant dans le bar alors que tes collègues travaillaient. D'ailleurs, ton collègue à qui tu as donné l'autorisation la veille de me draguer. Et quand je te demande pourquoi tu as fait ça, tu m'as répondu : "de toute façon, il ne t'aura jamais, c'est certain, il est bien trop bas pour toi". Je t'ai demandé pourquoi tu fais ça parce que tu n'en savais rien. Tu m'as répondu que non, je ne te ferai pas ça, que tu avais confiance en moi et que ça le décevrait énormément. Je crois que c'est à ce moment-là que j'ai compris que tu faisais genre que tout allait bien avec tout le monde, que tu faisais croire à tout le monde que tu avais bien plus que tourné la page alors qu'en fait, la veille tu pleurnichais sur mon épaule tellement que tu étais mal de notre rupture. Mais en tout cas, tu fais ton intéressant et tu me gonfles à un point inimaginable. Tu rigoles hyper fort, tu fais en sorte que tout le monde t'entende. Mais moi, je t'ignore complètement car je déteste cette facette-là de toi bien que j'ai appris à l'accepter. Et plus je t'ignorais et pire tu étais.
Je finis par me calmer.
On part dans un autre bar et je t'offre un verre pour fêter nos un an de rencontre (car oui, c'était le jour même). Je ne t'ignore plus donc tu es redescendu un peu. Je t'avoue que je ne sais plus trop tout ce qu'on s'est dit à ce moment-là.
Une fois de plus, on part dans un autre bar que tu connais très bien. Je commence à enlever mon manteau et à danser, tu reviens me donner un verre. A chaque fois que je disparaissais loin de toi, tu revenais me chercher et/ou me surveiller du regard mais je ne restais pas très longtemps loin. Je danse quand d'un coup, tu me dis que ça te faisait très plaisir de me voir comme ça danser et sourire car j'étais très belle, que tu retrouvais la fille que tu as toujours aimé.
L'alcool faisant, je décide de te prendre par la main et de sortir avec toi pour fumer une cigarette.
Là, je te demande de reprendre tout doucement, que je veux que tu arrêtes de voir toutes ses filles pour qu'on reprenne tranquillement notre histoire mais cette fois, qu'on ne s'étouffe pas. Que je veux garder ma vie et que tu te sortes de tes problèmes. Qu'on n'habitera pas pour l'instant sur le même toit. Enfin qu'on peut tout au moins essayer. Tu me regardes stupéfait. Tu t'arrêtes et tu me dis que ça devrait me valoriser mais que je vais surement mal prendre ce que tu vas me dire. Tu me réponds que toutes ses filles que tu vois, tu t'en fous donc tu t'amuses bien car tu t'en fiches de les perdre mais que moi, tu refuses juste d'essayer. Je te répond "ok" et je repars dans le bar mais tu me prends par le bras. Tu me dis que nous deux, ça fonctionnerait beaucoup trop bien, qu'on est trop bien ensemble. Que si tu me dis non c'est justement parce que je ne suis pas du tout comme les autres, que je suis ton amour et que tout est bien plus fort avec moi. Tu me répètes que tu m'as demandé en mariage, que tu voulais garder notre enfant. Tu me dis que dans la situation dans laquelle tu es, ça ne fonctionnera pas et que tu ne veux pas gâcher ça. Car tu sais que si ça ne fonctionne pas une deuxième fois alors je partirai définitivement.
Tu me dis une nouvelle fois que tu ne t'en sors plus, que toutes tes dettes sont peut être soldées mais que tu sors sans arrêt et que tu te tapes n'importe qui juste pour oublier tout ça et passer le temps. Tu me dis que tu as une vie de merde et que tu as peur de rendre ma vie aussi merdique que la tienne tant que tu ne t'es pas sorti de là.
Tu me répètes qu'on se retrouvera et que c'est certain. A ce moment-là, tu me parles de la fameuse S. que je pensais être ta next. Tu me dis que t'en foutais, qu'il s'est passé des trucs mais qu'à l'heure actuelle, c'était une amie, car en plus elle cherche quelqu'un qui a de la notoriété. Et là, tu me parles du fait que moi, je n'ai jamais été avec toi pour la musique et que c'était pour ça que tu m'aimais. Tu me dis que j'ai su voir en toi tout ce qu'il y avait derrière la carapace car j'avais creusé. Puis tu me dis que j'ai tout changé à ta vie, absolument tout. (Apparemment pas le fait que tu te tapes des millions de gonzesses quand tu es célibataire) et tu me parles de G. Cette fille avec qui je m'entend super bien depuis deux jours. Personne n'arrivait à me le dire mais cette fois, c'est toi qui me le dit : tu l'as embrassé.
Ok, alors là, je me crois dans un épisode de Dallas, ça devient du n'importe quoi. Entre temps, tu as voulu mettre une claque à ton ami C. qui m'a touché vite fait les fesses alors qu'il était démonté.
A ce moment-là, je vois une flaque de sang par terre. HEUREUSEMENT, on va pouvoir arrêter cette conversation qui n'a ni queue ni tête et qui commence doucement à m'énerver. Un mec avait donné un coup de poing dans une vitre et il pissait le sang. Je lui ai donc fait une compression sur sa plaie en attendant les pompiers car je ne savais pas quoi faire d'autres.
Les secours sont arrivés rapidement et tu me prends par le manteau car j'avais un peu de sang sur mes mains. Tu m'emmènes me les laver à l'intérieur du bar puis tu me sors une nouvelle fois pour discuter. Tu me répétais en boucle la même chose. Et là, tu me donnes un détail de ma vie mais complètement insignifiant de ce que j'ai fait la semaine dernière. Je t'ai demandé comment tu avais su ça car rien n'était sur facebook, snapchat ou autre plateforme. Tu me réponds que tu es en contact avec une personne très proche de moi et que tu savais absolument tout ce que je faisais. Et soudain, je n'ai plus su contenir ma colère. Je t'ai dit une nouvelle fois que je t'aimais mais que tu faisais complètement du n'importe quoi ! Comment tu pouvais m'épier comme celà alors que tu me dis non pour qu'on retente quelque chose tout doucement ?!
Je ne sais plus très bien ce que je t'ai dit mais je sais que je t'ai interdis de prendre de mes nouvelles par quelqu'un d'autre ! que si tu voulais me parler c'était à moi et à moi seule. J'ai pété un plomb sur toutes ces nanas puis tu as pété un plomb sur mon ex et un autre ami que j'avais revu quand j'étais à Paris (pareil tu n'étais pas censé le savoir tout ça) alors que moi, je ne fais absolument rien ! Tu me dis que tu reviendras vers moi mais je te répond que ce jour-là, ça sera sûrement trop tard et que quand je tourne la page, c'est même pas la peine de m'offrir la lune, ça ne fonctionnera pas. Tu l'as tellement mal pris... Tu m'as dis des choses invraisemblables du style que j'étais là uniquement parce que j'étais amoureuse de toi et que ce n'était pas pour toi que j'étais là. (Logique ? je ne crois pas)
Enfin bref après une violente altercation, N. décide de me ramener à l'appartement car je suis saoule et je ne contrôle plus trop mes paroles. Je déballe tout ce que j'ai à dire et peut être pas de la bonne façon. Tout comme toi. Je pleure sur le chemin du retour et N. m'allonge sur le canapé, je m'endors à poings fermés.
Je me réveille le lendemain matin. J'entend ta voix. J'apprend que tu as dormi juste à côté de moi. Mais je fais en sorte de ne rien calculer. Je ne parle pas, de toute façon, j'ai un mal de crâne abominable. Lorsque tu te lèves pour me dire au revoir car tu pars travailler, je ne bouge pas. Tu as dû t'allonger sur moi pour me faire un bisous sur la joue. Je n'ai pas relevé la tête et je sentais ton regard qui me fixait pendant un petit moment. Puis tu es parti et moi, je n'avais toujours pas relevé la tête.
VOILA ! THE END ahah.
Je suis désolée, j'ai essayé d'enlever pas mal de détails car évidemment, il y a eu encore plus que tout ça mais voilà toute l'histoire. Ca fait un peu dallas non ? Hihi !
Dans tous les cas, à l'heure actuelle, je ne fais rien du tout. il a mis un truc sur facebook aujourd'hui par rapport à notre rencontre mais j'ai vite fermé les réseaux sociaux ^^.
Je retourne en SR et pendant un bon moment. Ayant été à Copenhague, j'ai changé beaucoup ma vision de la vie et je vais beaucoup mieux depuis ce voyage. Je ne nie pas ce lien que nous avons mais je veux dire, ça ne sert à rien de me dire tout ça si derrière il n'y a rien. Donc je continue mon chemin en essayant de faire en sorte qu'il n'est pas trop de mes nouvelles (c'est pour celà que je vais faire un break des réseaux sociaux en plus du fait d'avoir prévenu tous mes proches de cesser de lui raconter mes moindres faits et gestes.) voilà.
Je cherche d'ailleurs si je ne peux pas aller travailler là-bas un temps car j'ai vraiment adoré l'ambiance danoise
