- 19 août 2013, 00:47
#742820
Ta robe est magnifique. Une robe noire à bretelle avec un decolleté profond qui me révèle que tu n'as pas de soutien-gorge. Et quand tu t'assois sur le lit circulaire, je peux voir que tu a mis des bas. Tu es proprement irresistble, et terriblement excitante. L'ambiance de cette chambre appelle au plaisir, c'est un antre de l'érotisme, avec des murs rouges vif et en son centre un lit rond drapé de rouge sang ou seul un poteau solitaire finissant par un boucle depasse.
Je me jette sur toi, tu transpires le désir. Je t'embrasse fougueusement, barbouillant tes levres de ton rouge à levre brillant. Je t'ecrase contre le lit en passant ma main gauche sur ta poitrine. Je ne tarde pas à te suçoter le cou. Tu frissones, et ne sais comment réprimer les manifestations de ton trouble. Je fais tomber tes bretelles, et roule ta jolie robe jusqu'à tes hanches. Tes seins pointes vers moi de facon provocante et je m'empresse d'en lecher le mamelon délicatement. Tu sens la pointe de ma langue balancer le téton à droite et à gauche, puis en haut et en bas, et enfin tourner tout autour. Je donne ensuite de grande lapée, ou tu peux sentir ma langue rapeuse traverser ton sein de bas en haut, avant d'en souligner le dessin. Je t'embrasse le globe lourd et charnu, avant de m'abaisser ver des zones plus sensibles de ton anatomie.
Je te donne une série de baiser en parcourant le chemin des tes seins vers ton ventre. Ils s'attardent sur ta peau pour que je puisse te donner un petit coup de langue à chaque fois. Je ne donne que quelques petits baisers sur ton ventre, je vais rapidement sucer tes flancs, en caressant délicatement ton ventre. Je ne reste toutefois pas longtemps, l'envie grimpant tres rapidement en moi. Je t'enleve ta robe et la dépose au pied du lit, puis je roule tes bas doucement sur tes jambespuis les retires.
Je m'installe à tes pieds, car tu est toujours assise au bord du lit. Mes geste sont beaucoup plus délicats à présents. Mais je sens une énorme pulsion monter en moi. Je te leche l'intérieur des cuisse avec toute ma langue par de grand mouvement, puis aboutissant juste devant ta culotte, je me releve un peu. J'en attrape un coté et l'arrache vivement. Ton regard est étonné, mais je ne te laisse pas le temps de me dire quoi que ce soit. Je m'agenouille entre tes cuisse et entame un cunnilingus vif. Ma langue parcours ta vulve de haut en bas plusieurs fois, puis un petit coup de langue sonne le début d'une série de lappements rapides et circulaires sur le clitoris.
Je m'arrete alors que tu commence à peine à t'empourprer. Je ne voulais que gouter ton nectar. Je me dirige encore habillé vers une table de nuit adjacente au lit. Quand j'en ouvre le tiroir, tu essaies de regarder avec une légère appréhension ce qui t'attend, mais je le referme immédiatement après avoir pris une étoffe de tissu noir et des menottes avec du velour rouge. Je me dirige vers toi et te bande les yeux puis t'attache au poteau grace à sa boucle en cuir. Tu es complètement nue, aveugle et sanglé. Tu es à ma merci.
Tu m'entends me déplacer, puis le tiroir est à nouveau ouvert. Le lit s'affaisse près de toi et le bruissement des draps te confirme que je m'agenouille à ta droite. Tu sens ensuite une caresse très subtile sous ton oreille. Tu comprend qu'un plume cours autour de ton cou. Elle chemine lentement vers ta poitrine. La elle donne un ballet excitant qui te pousse au soupir, avant de descendre flatter tes hanches. C'est par de larges cercles que la pointe de la plume parcoure tes flancs. Pendant encore quelques secondes, la plume tournoie sur ta peau si soyeuse. Lorsque tu ne sens plus sa caresse, tu me sens me déplacer, et tu m'entends me déshabiller. Tu entends la boucle de ma ceinture, mais tu ne sais pas si je suis entierement nu. Je t'ecarte délicatement les cuisses, et m'agenouille entre elles.
La plume réapparait, courant à présent sur l'intérieur de ta cuisse, parcourant de petite distances sinueuses, zigzagant sur ta peau fine et sensible. Tu ne peux réprimer un soupir profond. La plume passe sur l'autre cuisse mais emprunte un chemin différent. Elle pratique de larges allers-retours sur toute la longueur de ta peau. Enfin, alors que le plaisir procuré par ces vague de doux chatouillis approche l'insupportable, la plume se dépose sur ton mont de Vénus. Elle en balai la surface consciencieusement par de courts trajets transversaux, avant de tomber dans ton aisne droite puis de remonter par celle de gauche.
Je te met sur le ventre. La plume n'en a pas finis d'éprouver tes papilles tactiles. Je pars du sommet du dos et suis la colonne vertébrale. Je remonte ensuite et balance la plume de droite à gauche, comme pour épousseter ton dos. Arrivé à ta chute de rein, ma plume est moins sage. Je tiens la plume verticalment à la surface de tes fesses, et de la pointe, trace de petits cercles au sommet. Tu te laisse aller, envouté par l'effet quasi hypnotique des vagues de plaisir qui te submergent, et troublé par l'immense désir qui monte en toi. La plume dessine le galbe de tes fesses, avec la pointe qui court sur le pli et la longueur qui caresse la parti inférieure. Tu contracte tes muscles et replie la jambe, surprise par cette sensation nouvelle. Je passe à l'autre fesse et cette fois-ci tu est plus docile, jouant le jeu. Et tu en récolte un bonheur difficile à décrire. Mon instrument caresse à présent calmement le sillon de tes fesses. Je la met de coté et c'est la chaleur de mes paumes que tu sens à présent sur tes fesses. Elles sont pétries, caressées, puis écartées, pour que ma bouche puisse atteindre la valée que je convoite.
Ma langue mouille le sommet du sillon, et glisse vers ton anus. Par reflexe, il se contracte. Je continue mon trajet au-dela de ton orifice anal, puis descend aussi bas que ta position me le permet. Je remonte et donne un petit coup de langue à ta rondelle rose. Mais contre toute attente, je me leve, et tu entends à nouveau, le tiroir. Ton coeur commence à battre la chamade, et tu demande ce qui va t'arriver. Les doigts que je pose sur tes bras te rassure. Je te détache, mais t'empeche de retirer ton bandeau. A moitié rassurée, tu te laisse faire quand je t'allonge de facon à ce que tu me tendes ton postérieur et que j'y pose tes propres mains dessus. Tu commences à comprendre ce que je veux faire, quoique...
Je m'agenouille derriere toi, et introduit doucement mon index dans ton sexe. Si tu n'avais pas de bandeaux, tu sais que tu aurais fermé les yeux. Apres quelques allées et venues de mon doigt, tu sens ma langue fouiller les alentours de ton anus. Dans ton vagin, tu sens que je te caresses les parois, en particulier une partie pratiquement externe de ton sexe, qui semble particulierement sensible. Au niveau de ton anus, ma langue chatouille consciencieusement ta peau si peu habituée à ce traitement. Une grande chaleur t'envahit bientot et c'est du bout des levres que tu me demandes d'arreter, presque à contrecoeur.
Tu te mets sur le dos et tu me sens venir te serrer contre moi. Tu sens du tissu contre ton bassin, j'ai donc encore mon calecon. A peine remise de tes emotions, tu m'embrasse tendrement, enlève ton bandage, et dépose plein de petits baisers sur mon corps en te dirigeant vers mon bassin. Avant que tu n'y arrive, je m'assoie au bord du lit et tu t'agenouille à mes pieds. Pour une fois, parce que tu sais que cette nuit est particuliere, et de toute facon je t'ai bien émoustillé, tu ne patientes pas en regardant mon sexe, par ailleurs exceptionellement épilé. Tu en attrape la base et en me regardant avec un regard gourmand et tres évocateur, tu mets le gland dans ta bouche. Tu le suçote, puis donne quelque coups de langue sur le frein. Toujours plongé dans mes yeux, tu engloutis toute ma verge doucement. Tu la lache et pose ta main sur le coté de ma fesse. Tu passe quelque minute à me sucer de cette facon, délicatement, en prenant garde de ne pas enfoncer mon sexe trop loin dans ta bouche. Je sens que sexe n'est plus que plaisir, quand tu attrape mon gland et souleve mon sexe, pour t'offrir mes bourses. Tu les lèches par petit coup de langues, puis attrape un testicule et le garde dans ta bouche.
Tu ne le relache que par un suçotement sonore. Tu prend mes testicules et tu les ecartes de la partie si douce et si sensible qui est entre mes fesses et mes bourses. Tu l'embrasse, puis la leche tendrement avant d'y plaquer la bouche et de la suçoter. Ensuite tu embrasses mes bourses et engloutis à nouveau mon sexe, mais cette fois en jouant avec mes testicules. Mes mains se posent sur ta tete et te caresse tendrement les cheveux. Evidemment, tes levres sont tellement douces et ta langue caresse d'une maniere si frenétique mon gland que je ne peux pas tenir plus longtemps sans deverser mon jus d'amour dans ta bouche. Je t'arrete. Visiblement, l'érotisme est monté d'un cran, et tu viens de me donner envie d'etre terriblement lubrique avec toi ce soir.
Je te remet ton bandeau et tes menottes t'attachent à nouveau au poteau. Je vais un fois de plus chercher quelque chose dans le tiroir. Je m'installe entre tes cuisses et tu entends un bruits visqueux. Tu sens ensuite mon sexe te pénétrer avec douceur, envahir tes chaires délicatement et aller sonder tes profondeurs. Mes allées et venues sont lentes et je m'arrete régulièrement. A chaque pause que je fais je te suce le bout des seins avec ardeur, parfois plus tendrement, ou je te leche les aisselles. Le plaisir reviens rapidement, et une chaleur surnaturelle irradie ton bassin. Tout ton corps frissonne quand ma langue vient explorer le pavillon de tes oreilles. Tu me sens profondément en toi, et je suis resté délicat jusque là.
Je me relève brusquement, me retire en partie, ne laissant que le gland être entouré de ta chaleur. Je me met sur les genoux, attrape ta cuisse droite et met ta jambe gauche sur mon épaule. Je te pénètre doucement, me retire entierement, puis me réintroduit en entier. Cette fois-ci, mes allers-retour sont rapide et superficiels, je ne te prénètre pas de toute la longueur de mon pénis. Je donne quelque coups de bassins, puis m'arrete. Je repars tout aussi rapidement, et bientot tu commence à apprecier ma frenesie. Je choisis le moment ou tu soupires pour essayer quelque chose de plus sportif.
Toujours avec ta cuisse gauche sur mon épaule, je fais mine de m'allonger sur toi. Prenant peur, tu regrettes d'être attachée. Tu aurais voulu m'empecher de t'ecraser, emportant ta jambe avec moi. Mais je suis très raisonnable et en fait, ce n'est même pas douloureux. Tu sens juste le muscle dans ta cuisse etre tiré. Je te pénètre, et reprende mon rythme saccadé de tout à l'heure. Tu te sens prise, impuissante, et cela te trouble à un point que tu sens d'un coup le plaisir monter.
"- Tu veux aller jusqu'au bout? demandes-tu
- Pas encore. Je m'arrete là?
- Oui, si tu veux."
Je me retire doucement et te laisse t'en remettre. Je ne suis pas passé loin non plus à plusieurs reprises. Mais la nuit n'est pas finie. Je te fais mettre sur les genoux, alors que entend encore une fois ce bruit de gel visqueux, et je fais doucement entrer mon pénis dans ton sexe bien rose et ouvert. Je m'invite en toi, et tu sens le plaisir qui grimpait tout à l'heure reprendre son chemin presque à l'arrivée. Mais je ne fais qu'être en toi et te caresser les fesses. Je ne donne que rarement un délicat coup de rein. Alors ton plaisir redescend à un niveau convenable. Tu me le signales, et je commence à aller et venir lentement en toi tout en laissant mes mains te tripoter les hanches et les fesses. Mais bientot c'est moi qui n'en peux plus. Je me retire prestement, t'embrasse les fesses et te remet sur le dos, en t'écartement largement les cuisses. Tu entends à nouveau le bruit visqueux.
Mais cette fois, ce n'est pas mon sexe qui vient fouiller tes chaires, mais un objet. Le contact est tiede, presque froid, et moins souple que mon sexe, mais il est plus large et plus long, d'apres ce que tu sens quand je te l'enfonce entierement en toi à la troisieme pénétration. Mes mouvement d'abord délicat au début se font plus frénétiques, et un plaisir mécanique allié à une excitation lubrique s'empare de toi. Tes membres semblent engourdis et tu ne penses ne pas avoir la volonté de me dire d'arreter. L'objet se retire et ma langue le remplace un court instant, puis plus rien. Tu n'oses me demander de continuer.
Tu sens une boule, de la taille d'une balle de ping-pong, se glisser en toi, suivi d'une de ses soeurs, puis une troisieme. Elle ressortent, tirées par un fil. Je renouvelle l'opération, et si cela ne t'emmene pas à l'orgasme, tu trouve les sensations troublantes mais agréables. Je retires les boules une bonne fois pour toute, et te fais mettre à quatre pattes. Tu sais que je vais m'occuper de ton anus, et cela te rend réellement anxieuse. Tu serre les dents mais obtempère sans renacler. En effet tu entend à nouveau un bruit visqueux un premiere fois, puis une seconde fois ou tu sens un gel froid etre étalé dans le sillon de tes fesses. Tu esperes que je ne vais pas te mettre le gros godemiché tout de suite, ni que je vais te sodomiser trop brutalement. Tu est presque rassurée quand tu sens que c'est mon doigt qui tente de se frayer un chemin dans ton rectum.
C'est une sensation inédite qui s'empare de toi, un plaisir qui n'assouvit pas ton désir mais qui en allume d'autre qu'on ne peut assouvir. La douleur est absente pour l'intsant et tu ne sens que mon doigt se faufiler dans tes entrailles. Tu essaye de détendre ton anus encore plus afin d'apprécier au maximum cette nouvelle sensation. Quant à moi, te voir ainsi t'abandonner dans ce plaisir interdit m'emoustille au plus haut point. Tu aimerais que je continue encore un peu, mais je retire mon index. A ce moment, tu te sens prete à me recevoir, quelque soit la douleur, pour explorer cette nouvelle facette de la sexualité. Mais je suis patient et consciencieux.
Tu m'entend déposer du gel mais ce n'est pas mon sexe qui vient de te toucher entre les fesses. Tu te demandes si je suis prudent d'utilise le godemiché, tu vas même me demander ce que je fais, au moment où je commence à enfoncer mon jouet en toi. Il est plus grand que mon doigt et bien plus petit que l'autre godemiché, il est plus petit que mon sexe. Alors tu savoures chaque centimètre, car je les fais défiler lentement. Je m'arrete même au milieu du chemin et te demande comment ca va. Tu me répond que tu gère pour l'instant. En vérité, la douleur commence à arriver, mais tu te délectes de sentir quelque chose en toi par cet endroit. Je continue ma lente progression, introduisant mon petit pal avec beaucoup de délicatesse. Je le ressort bientot, remet du lubrifiant, et le réintroduit. Ton anus s'est dilaté d'un bon diamètre à présent. Tu te dis que ca dois être agréable de sentir mon sexe dans ton rectum.
Je retire le godemiché. Je prend quelque précaution, en mettant du lubrifiant autour de ton anus et sur mon gland, puis je me met debout derriere toi. Je plie met genoux et commence à te pénétrer doucement. Je m'arrete à peine rentré, attendant tes protestations, mais tu m'attend. Mon sexe est dur comme de la pierre, et je sens bien que ce plaisir la est bien trop fort pour moi. Je me contiendrais de mon mieux, mais je ne penses pas tenir longtemps. Mon sexe est entré au maximum à présent, et toute la chaleur de ton etre m'enveloppe. Tes fesses rebondies me caressent le bassin, et j'aurais envie de rester toute la nuit comme ca, à faire des aller-retour de 1 cm dans ton dos. Toi tu a réussi à mettre la douleur de coté et tu prend vraiment tout le plaisir que la sodomie peut apporter. Comble de la chose, tu ecartes les cuisses, et commence à te caresser. Je ne peux le voir, mais je le devine en voyant que tu te tiens en equilibre sur un bras. Alors, j'entame une douce série d'aller-retour assez pénible pour moi, dans le sens où mon plaisir est si intense que je ne sais comment je vais me retenir. Quant à toi, tu oublie ton attitude impudique, et te masturbe vigoureusement. Tu sens plusieurs points de plaisir eclater, entre tes fesses, entre tes cuisses, le long de ta colonne vertébrale, et tu gémis.
Je me retire. T'entendre gémir c'en était trop. Je prend quelque seconde pour me calmer, alors que tu garde la même position, m'attendant. Mais je te demande de te mettre sur le dos. Tu obéis. Je vais chercher quelque chose dans le tiroir, et me place entre tes genoux. Tu t'attend à ce que la fête ne s'achève, mais je décide de mettre tes jambes à la verticale et de continuer un peu la sodomie. Je suis lent et délicat, tu ne le vois pas mais je ferme les yeux pour penser à autre chose. Tu réécarte les cuisses et recommence à te caresser. Cette fois ton plaisir viens beaucoup plus rapidement et tu arrete de te masturber. La sodomie ne fais pas monter le plaisir, mais il le maintient. Je m'arrete, et je vais m'essuyer. Tu est prete à éclore, le plaisir au bord du corps. Je te pénètre sans brutalité, mais sans délicatesse non plus.
Je fais quelques allées et venues, mais je te demande bien vite de t'allonger sur le coté. Je pourrais recommencer à te sodomiser, mais je veux juste pouvoir te caresser des parties d'habitude inaccessibles. Je te fais l'amour, et je sens tes fesses me ralentir à chaque fois que je m'enfonce en toi. Je bous intérieurement. Je te caresse les flancs, et te pelote les fesses régulierement. Puis je me met derriere toi, légèrement en dessous, et continue de te donner du plaisir, qui ne cesse de monter doucement en toi. Tu es d'ailleurs bientot au point de non retour. Je prend ton sein dans ma mains et le pétris. Je m'arrete quand mon plaisir à moi ne peux augmenter sans etre définitif. Je t'allonge sur le dos.
Je suis en toi mais je ne me suis pas encore allongé sur toi. Tu me sens me pencher sur le coté pour prendre quelque chose. Intrigué tu es tentée de soulever le bandeau, mais tu garde en tete que ca sera plus drole si tu reste aveugle, et n'en fais rien. Je donne quelques petits coups de rein, en remuant vigoureusement ce que je viens d'attraper. Ensuite, tu sens quelquechose d'onctueux et froid sur le sein droit. De la chantilly...
Je la leche doucement tout en continuant à explorer ton ventre grace à mon pénis. Tu en frissone, à la fois par le geste et le froid. Je m'attarde evidemment et suçote un peu ton teton. Je renouvelle l'opération avec le seins gauche, donnant des coups de langue plus intenses. Puis je pulvérise la chantilly sur ton aisselle, et passe un petit moment à la netoyer. Je recommence d'ailleurs au meme endroit.
Ca y est, cette fois tu a compris que nous allions achever notre voyage. Ton anus est encore engourdis par le plaisir etrange et inédit que je t'ai procuré, et tout ton corp est hypersensible et manque d'explosé à chacun de mes coups de langues. Or, je continue de jouer avec la chantilly, sur l'autre aisselle, puis sur ton cou. Tu me sussures que tu le vas pas tarder, alors je balance la bombe et retire ton bandeau. Je te regarde un instant en prodiguant de douces et profondes caresse à ton sexe avec mon pénis, puis j'accélère et perd quasiment le controle de mes gestes. Tu es toujours attachée, alors tu te contente de tirer très fort sur tes liens pendant que tu jouis. Cette fleur de plaisir que tu as réprimé tout au long de cette nuit si voluptueuse, tu l'acceuille avec bonheur et soulagement. Ton orgasme se répand dans tout ton corps nonchalament, et t'engourdis à mesure que tu soupires en te retenant de gémir.
Je t'entends soupirer mais juste après je sens ma peau faire eclater à diverses endroits des points de chaleur, alors que ma colonne vertébrale subit un frisson. Mon sexe semble ne plus en finir de se raidir, et au moment ou je deviens sourd à tout tellement mon cerveau bourdonne, je sens un plaisir brutal exploser dans mon bas-ventre. Je me vide violemment en toi, tant physiquement que métaphysiquement. Je continue de te faire l'amour encore un peu, en te regardant dans les yeux, alors que tu viens de les rouvrir, un peu perdue et très reconnaissante de recevoir autant de plaisir.