- 04 avr. 2015, 02:47
#1016020
Dans un premier temps désolé si l'histoire est décousue, je suis un poil ivre
Ensuite, eh bien, mon ex et moi nous sommes embrassés pour la premiere fois un 4 avril, il y a un an
Avant elle, j'ai vécu quelques années avec une femme, qui contrôlait tout, alors que je ne contrôlais rien, je me laissais aller sur le fil de l'eau. comme posé sur une barque sans la moindre envie de ramer.
Nous avons rompus, car nos routes se séparaient, nous étions encore amoureux, mais nous savions que ça ne pouvais perdurer. J'étais vidé de sentiment, ni triste, ni malheureux, ni heureux, ni rien. Vide. Comme si mon cerveau avait préféré mettre mes ressentis sur off plutôt que de souffrir.
Je rencontre d'autres femmes, je réapprends a vivre, mais je contrôle a mon tour, tout. Pour ne pas souffrir pour être sur d'ou je vais.
Puis je rencontre Elle, mon ex, celle qui m'a ammennée ici. Je me laisse aller un 4 avril, j'oublie mes peurs et je pose mes lêvres sur les siennes.
A partir de là j'alterne : quand nous sommes ensemble je laisse les choses se faire :quel délice, quel bonheur.
Quand elle est loin, je réfléchis, je planifie, je cré l'avenir. Je ne veux pas qu'un imprévu gâche cette histoire
J'ai voulu trop contrôler, étouffer notre spontanéité.
Aujourd'hui, je suis sorti avec des amis, la première fois depuis un bail. Dans une salle ou nous étions allés, mon ex et moi. Ou nous avons dancés, ou nousnous sommes embrassés, ou elle m'a retenu d'aller cogner un gugus qui lui avait manqué de respect, ou elle m'avait dit "avec toi je me sens en sécurité"
J'ai peur.
Aujourd'hui j'ai la frousse de me laisser a nouveau aller, de ne plus contrôler. Car j'ai souffert terriblement, comme jamais !
Je n'ose plus tomber amoureux. J'ai eu des opportunités ce soir, je crois...j'en sais rien, ca m'intéresse pas. Elle est là présente, j'ai beau la chasser, la suplier de me laisser en paix elle revient.
la lettre n'est pas parvenue jusqu'à elle, je l'ai récupérée, l'ami commun n'aura plus l'occasion de la voire avant un bail.
Dimanche j'irai la porter moi même.
J'ai trop réfléchis, j'ai trop suivis de conseil. Rien ne marche RIEN, SR ou quoi
La récupérer ? Je n'y crois plus
ce que je veux c'est vivre ! VIVRE bordel de merde ! Ne plus avoir peur d'aimer, ne plus avoir peur de lacher prise
Tout ça me ronge tellement. Toutes ces douleurs qui font partie de la vie
Je n'ai pas pu empêcher mes grands parents de mourir, ca ne m'as jamais traversé l'esprit. La mort fait partie de la vie. Alors pourquoi ne pas admettre qu'il en va de même pour l'amour, que l'amour naît, que l'amour peut mourir.
Mais le reste continue.
Trois ans après la mort de mes grands parents je suis allé sur leur tombe, dire un dernier adieu.
J'ai eu des regrets, de ne pas leur demander plus sur comment ils avaient vécu sous l'occupation, j'ai appris après sa mort que mon grand père avait été résistant. Mais qu'importe, le passé n'est plus
Comme mon histoire avec mon ex.
Si ce soir je n'ai pas envie d'être tout seul, c'est parce que je réalise les valeurs qui sont les miennes, le besoin de partager, le besoin d'équité.
Ces valeurs, je ne les partageais pas avec elle, je ne sais pas quelles étaient les siennes, je crois qu'elle l'ignorait elle même. J'ai senti une grande affinité entre nous, je me trompe rarement là dessus. Je sais que nous avions des points communs fondamentaux, je sais que nous avions aussi des divergences fondamentales. Je sais qu'on aurait pu être un couple très fort, qu'on aurait pu vivre ce que peu ont l'occasion de vivre, si nous avions su faire cohabiter ces divergences et ces cohérences.
Nous avons loupés le coche
Ce soir je n'ai pas envie de l'appeler ni de la suplier, contrairement a ce que je craignais.
Ce soir j'ai envie de vivre, ce soir j'ai envie de ne plus avoir peur d'aimer (au risque de me répéter)
J'ai envie de dire et d'entendre "je t'aime"
De sentir mon coeur battre pour quelqu'un.
J'ai envie de me noyer dans des yeux qui se perdent dans les miens.
J'aspire au bonheur, a me délester de ces fardeaux qui me retiennent dans cette gadoue.
Dimanche, donc, je lui transmet la lettre, j'espère ne pas la voire, j'espère qu'elle la lira, j'espère que ce sera le dernier hommage posthume sur cette histoire que je devrai faire pour pouvoir, dire a miss B qu'elle me plaît, dire a cette jeune demoiselle que j'ai vu plusieurs fois ces derniers temps que je voudrais partager un verre avec elle. Retrouver qui j'étais, ce gars tonitruant, amoureux des phrases ampoulées, de vocabulaire suranné, d'humour acide et des femmes.
Je veux prendre ma place, c'est tout
Bonne nuit chers gens du forum, puissiez vous trouver le bonheur qui vous échoit
Ensuite, eh bien, mon ex et moi nous sommes embrassés pour la premiere fois un 4 avril, il y a un an
Avant elle, j'ai vécu quelques années avec une femme, qui contrôlait tout, alors que je ne contrôlais rien, je me laissais aller sur le fil de l'eau. comme posé sur une barque sans la moindre envie de ramer.
Nous avons rompus, car nos routes se séparaient, nous étions encore amoureux, mais nous savions que ça ne pouvais perdurer. J'étais vidé de sentiment, ni triste, ni malheureux, ni heureux, ni rien. Vide. Comme si mon cerveau avait préféré mettre mes ressentis sur off plutôt que de souffrir.
Je rencontre d'autres femmes, je réapprends a vivre, mais je contrôle a mon tour, tout. Pour ne pas souffrir pour être sur d'ou je vais.
Puis je rencontre Elle, mon ex, celle qui m'a ammennée ici. Je me laisse aller un 4 avril, j'oublie mes peurs et je pose mes lêvres sur les siennes.
A partir de là j'alterne : quand nous sommes ensemble je laisse les choses se faire :quel délice, quel bonheur.
Quand elle est loin, je réfléchis, je planifie, je cré l'avenir. Je ne veux pas qu'un imprévu gâche cette histoire
J'ai voulu trop contrôler, étouffer notre spontanéité.
Aujourd'hui, je suis sorti avec des amis, la première fois depuis un bail. Dans une salle ou nous étions allés, mon ex et moi. Ou nous avons dancés, ou nousnous sommes embrassés, ou elle m'a retenu d'aller cogner un gugus qui lui avait manqué de respect, ou elle m'avait dit "avec toi je me sens en sécurité"
J'ai peur.
Aujourd'hui j'ai la frousse de me laisser a nouveau aller, de ne plus contrôler. Car j'ai souffert terriblement, comme jamais !
Je n'ose plus tomber amoureux. J'ai eu des opportunités ce soir, je crois...j'en sais rien, ca m'intéresse pas. Elle est là présente, j'ai beau la chasser, la suplier de me laisser en paix elle revient.
la lettre n'est pas parvenue jusqu'à elle, je l'ai récupérée, l'ami commun n'aura plus l'occasion de la voire avant un bail.
Dimanche j'irai la porter moi même.
J'ai trop réfléchis, j'ai trop suivis de conseil. Rien ne marche RIEN, SR ou quoi
La récupérer ? Je n'y crois plus
ce que je veux c'est vivre ! VIVRE bordel de merde ! Ne plus avoir peur d'aimer, ne plus avoir peur de lacher prise
Tout ça me ronge tellement. Toutes ces douleurs qui font partie de la vie
Je n'ai pas pu empêcher mes grands parents de mourir, ca ne m'as jamais traversé l'esprit. La mort fait partie de la vie. Alors pourquoi ne pas admettre qu'il en va de même pour l'amour, que l'amour naît, que l'amour peut mourir.
Mais le reste continue.
Trois ans après la mort de mes grands parents je suis allé sur leur tombe, dire un dernier adieu.
J'ai eu des regrets, de ne pas leur demander plus sur comment ils avaient vécu sous l'occupation, j'ai appris après sa mort que mon grand père avait été résistant. Mais qu'importe, le passé n'est plus
Comme mon histoire avec mon ex.
Si ce soir je n'ai pas envie d'être tout seul, c'est parce que je réalise les valeurs qui sont les miennes, le besoin de partager, le besoin d'équité.
Ces valeurs, je ne les partageais pas avec elle, je ne sais pas quelles étaient les siennes, je crois qu'elle l'ignorait elle même. J'ai senti une grande affinité entre nous, je me trompe rarement là dessus. Je sais que nous avions des points communs fondamentaux, je sais que nous avions aussi des divergences fondamentales. Je sais qu'on aurait pu être un couple très fort, qu'on aurait pu vivre ce que peu ont l'occasion de vivre, si nous avions su faire cohabiter ces divergences et ces cohérences.
Nous avons loupés le coche
Ce soir je n'ai pas envie de l'appeler ni de la suplier, contrairement a ce que je craignais.
Ce soir j'ai envie de vivre, ce soir j'ai envie de ne plus avoir peur d'aimer (au risque de me répéter)
J'ai envie de dire et d'entendre "je t'aime"
De sentir mon coeur battre pour quelqu'un.
J'ai envie de me noyer dans des yeux qui se perdent dans les miens.
J'aspire au bonheur, a me délester de ces fardeaux qui me retiennent dans cette gadoue.
Dimanche, donc, je lui transmet la lettre, j'espère ne pas la voire, j'espère qu'elle la lira, j'espère que ce sera le dernier hommage posthume sur cette histoire que je devrai faire pour pouvoir, dire a miss B qu'elle me plaît, dire a cette jeune demoiselle que j'ai vu plusieurs fois ces derniers temps que je voudrais partager un verre avec elle. Retrouver qui j'étais, ce gars tonitruant, amoureux des phrases ampoulées, de vocabulaire suranné, d'humour acide et des femmes.
Je veux prendre ma place, c'est tout
Bonne nuit chers gens du forum, puissiez vous trouver le bonheur qui vous échoit