Merci chouchou d'avoir pris le temps de me lire et de me répondre
C'est vrai que physiquement je suis à bout de chez bout. Niveau hygiène de vie, on a connu mieux (sommeil perturbé, cauchemar à répétition, insomnie, repas sautés ou inexistants certains jours car impossible d'avaler quoi que ce soir, tabac à foison, l'alcool me rend triste maintenant malgré que je boive beaucoup moins qu'avant, je ne fais plus trop de sport hormis des randonnées avec mon chien...).
Et puis j'ai toujours cette crainte d'être envoyé en prison bientôt. Ce qui n'arrange rien vous pouvez bien le deviner...
Mais d'ici là, je compte me remuer. Déjà j'ai bien repris du poil de la bête au niveau de ma passion, l'organisation de concerts et c'est un leitmotiv qui me booste et me redonne gout à la vie. Reprendre une activité professionnelle complète car là, le chômage est tombé en même temps que cette rupture et j'en ai autant profité pour souffler que pour me laisser aller à l'enfermement et le renfermement sur moi même. J'en suis totalement conscient, c'est même arrivé au point où je n'ai plus envie de sortir de chez moi et ne plus voir personne, surtout si c'est pour croiser mon ex toute pimpante.
J'ai des projets de carrière, des ambitions bien précises. Ce qu'il me manque c'est la force car tout ceci m'a vidé jusqu'à la moelle. Je ne me suis jamais senti aussi faible de toute ma vie.
Mais me savoir écouté et compris fait un bien IMMENSE, savoir qu'on a confiance en moi et qu'on a envie de me pousser de l'avant fait vraiment chaud dans la carcasse.
Je ne me laisse pas abattre, j'ai juste du mal à me relever... Encore un genou au sol, mais plus pour longtemps j'espère et je vais tout faire pour te tenir bien droit pour voir loin à l'horizon au lieu d'être le nez dans ma propre mer**
Désolé pour la métaphore de mauvais gout...