- 15 juil. 2014, 08:06
#914587
Bonjour tout le monde,
Je ne sais pas si vous vous souvenez de mon histoire et aussi de mon pseudo, que je n'arrive toujours pas à changer...
Sous forme d'épilogue je vous livre la fin de l'histoire fort prévisible...
Evidemment si je suis ici c'est pour être lu, conseillé, orienté mais cette fois ci aussi pour si des personnes se sont engagées sur le même chemin que moi leur servir d'exemple ou de contre exemple et les conseiller à mon tour...
D'abord merci à tout le monde pour les conseils déjà donnés et vous aviez raison...
Je suis allé au bout de ma connerie, j'en paie les conséquences...
Je vous tutoie dans ce résumé car c'est un copier coller de ce que j'ai déjà fait parvenir à une amie....
Malgré tout ce que je sais et tous les conseils pris ici nous nous sommes revus. J'ai replongé...
Je te raconte juste la semaine.
Nous nous sommes revus mais chaque deux ou trois jours, elle répétait les plombs et m'a viré de chez elle, insultes à l'appui... Je ne suis pas du genre violent je te jure, donc je ne réponds pas aux insultes par des insultes.
Lundi dernier, je ne l'ai pas vue du week end mais je retombe dans le piège et je retourne la voir. Cela se passe bien.
Mardi, elle semble distante, passe la journée à être dans une pièce quand moi je suis dans une autre et elle fait des tas de conneries sauf être vraiment avec moi. Je suis déjà très mal à l'aise.
Je te passe les détails.
Mercredi, elle se lève bien avant moi. Sans me dire bonjour ou je me lève.
Jusqu'au repas de midi le même manège continue. Je suis très très mal à l'aise.
Je lui en parle elle me dit que tout va bien de ne pas m'inquiéter. Qu'on peut être ensemble en faisant des choses différentes. Je suis entièrement d'accord. Je suis un peu rassuré.
Nous mangeons je vais sur le canapé et elle ne me rejoint pas. je m'endors
15 heures elle me réveille brusquement.
Je lui demande de me faire un bisou, pas eu de la journée (lol),
elle me dit non, je demande pourquoi elle répond qu'elle n'en a pas envie... Je sens que ça tourne au vinaigre, je ne comprends rien, je me prépare à rentrer chez moi.
Elle m'insulte copieusement, me dit qu'elle va m'effacer de ses mails, du téléphone et de Skype que je viens à peine d'installer...
Jeudi mon portable éteint.
Vendredi je le rallume, après les textos classiques d'insultes.
Elle me propose d'aller dîner chez elle.
Je lui dis très poliment que c'est gentil mais que ma mère ne va pas bien et suite aux conseils de l'infirmière il vaut mieux que je passe la nuit à ses côtés.
Je coupe le portable pour la nuit.
Samedi soir je rallume,
Elle me demande de la rejoindre à une espèce de fête en ville.
Elle me dit qu'il ne reste que pour cent de charge sur son tel.
Je lui réponds qu'un portable ça peut se recharger.
Je lui envoie aussi un mail très gentil où je lui explique qu'il faut qu'on parle, qu'on remette les choses à plat et qu'on reparte sur de nouvelles et bonnes bases.
Elle répond par texto que son ordi est éteint et qu'elle n'a pas envie de l'allumer pour me lire.
Que le compte à rebours a commencé qu'il ne reste que 5 pour cent sur le téléphone. Qu'il faut que je me dépêche de lui dire si je la rejoins en ville ou pas.
Je lui réponds que j'ai envie de la voir pour parler, mais pas dans une fête.
Elle me fait du chantage, me dit qu'elle va sortir à cette fête, que son portable va se couper, et qu'après il sera trop tard car elle compte sortir sans son portable...
Je répète que je veux qu'on parle mais pas dans une fête, (je te rappelle aussi son problème avec l'alcool) et qui dit fête dit alcool.
Je te signale aussi que j'avais déjà eu l'impression qu'elle est incapable de rester chez elle et que dès qu'on ne se voit pas elle sort, soit dans un bar, soit dans une boîte...
Je coupe mon portable. il est 20h 30
Avant Hier matin dimanche 13 juillet donc je rallume, textos d'insultes de la veille.
Au milieu un gentil, "ai envie de te voir ce soir", mais je n'ai pas compris si c'était pour hier soir ou pour le samedi en question.
Puis re textos :
"j'ai tiré un trait sur notre histoire hier soir, n'essaye surtout pas de me contacter je coupe le portable".
Je ne réponds pas puis elle me relance, elle donc !
"Insultes, sale merde, sombre con"...
Je lui demande se calmer qu'il faut vraiment qu'on en parle.
Elle me dit que c'est trop tard. Que ce n'est pas une poupée et que je ne faisais que ce que je voulais sans tenir compte d'elle.
Je lui dis qu'elle se trompe qu'il suffisait de me le dire qu'on en aurait et qu'on pouvait encore en parler...
Elle me dit que non...
Je pose la question fatidique toujours par texto... Très poliment...
"As tu rencontré quelqu'un, dis moi le et je ne t'embêterai plus"
Réponse immédiate :
"Si tu veux savoir si je t'ai trompé, je confirme oui, je t'ai trompé si ça peut t'aider à oublier notre relation qui ne menait à rien. Et oublie moi je ne réponds plus à tes textos".
Excuse moi j'ai plein de larmes dans les yeux en écrivant ça à nouveau.
Sur le coup c'était dimanche 11h du mat. Je m'effondre complètement, je ne veux pas que ma mère handicapée me voit pleurer. J'appelle une amie elle vient me chercher.
Tu te doutes de ce que je ressens, j'ai plein de questions à lui poser mais je décide de ne plus la contacter selon ses vœux.
Je vais pleurer chez mon amie, je lui raconte tout...
Vers 16h texto d'elle "je pars en vacances à l'aventure mercredi, veux tu qu'on se voie avant en toute amitié ?"
3 minutes plus tard, retexto "oublie ce que je viens de te dire ça n'a aucun sens"
Puis vers 16h30 :
"je vais mardi (donc demain), visiter un duplex pour l'acheter, veux tu venir avec moi stp"
Il n'y a rien de cohérent. Je n'ai répondu à aucun de ses textos depuis qu'elle dit m'avoir trompé. Je suis resté chez mon amie, je n'ai toujours pas dormi, je suis rentré chez moi vers 11h ce matin. Je ne comprends rien à rien. Depuis je ne dors pas, je me morfonds dans ma chambre c'est aussi pour ça que je te raconte tout ça. J'ai encore et toujours envie d'en parler à quelqu'un. Merci d'être là.
P.S. J'ai coupé mon portable depuis ce matin. Je n'ose pas le rallumer.
Encore mille fois merci.
Amicalement,
José