- 09 févr. 2014, 21:43
#834217
Vendredi, une nouvelle journée "soyons gentil".
À sa demande nous faisons ensemble le boulot que je fais normalement en binôme avec une autre collègue, il insiste pour partager avec moi les snacks qu'il a ramené à grignoter.
À midi, il bassine tout le monde à dire qu'il veut pas sortir le soir parce qu'il est fatigué et qu'il a une entorse en rémission, il m'entend dire que moi je vais au bar avec tout le monde et ensuite à la fête tournoi de babyfoot chez un ami commun, et là tout à coup il faut absolument qu'il y aille.
Avant ladite soirée babyfoot, première partie de soirée au bar pour le départ d'une collègue. Beaucoup de monde, je parle à d'autres gens, complètement de l'autre côté de la tablée. Je me lève et mets mon manteau pour accompagner mes interlocuteurs qui vont fumer une clope, hop monsieur accourt "vous partez maintenant pour l'autre fête ? Non, pas encore ? ok, tu me dis hein..." et il retourne s'asseoir... même cirque 3 fois de suite, dès que je me lève de ma chaise il vient me demander, même s'il connaît l'adresse et le mec qui tient la fête, que d'autres groupes sont déjà partis devant et qu'il peut très bien y aller quand il veut de son côté avec ses potes à lui.
Une fois aussi, il vient s'incruster à ladite pause clope, alors que comme moi il ne fume pas, et que contrairement à moi, il n'était pas en pleine conversation avec ces gens-là, il n'avait pas vraiment de raison ni besoin d'aller se cailler les miches pour venir s'immiscer dans une conversation francophone.
Regards croisés un peu toute la soirée (là je l'avoue, c'est souvent moi qui commence, et lui qui très rapidement sent mon regard et le croise, mais il ne l'évite pas. Moi quand je crois sentir le sien je ne tourne pas la tête.).
On bouge finalement vers la fête au babyfoot, rires, blagues, je suis bourrée, je bois le shooter qu'il vient de se servir pendant qu'il rebouche la bouteille (-_-')...
Tout le monde rentre chez-soi, moi dors sur place, mal, ventre serré. Le matin le pote qui tenait la fête joue les psys.
Faut avant tout que je me protège et que je fasse ce qui me préserve moi, que je laisse passer un peu de temps aussi. Mais vraisemblablement, chez lui la tête dit non, le cœur dit oui, il faut donc se débarrasser de sa tête (au fond d'un caniveau, oui !), miser sur l'ivresse et sur l'absence de confrontation directe, et titiller le cœur, l'alternance chaud/froid que je fais plus ou moins involontairement jusqu'ici semble avoir du bon, vu ses réactions. La jalousie a aussi des chances de donner des résultats, le soucis c'est juste que je ne suis pas une malhonnête, j'irai jamais jusqu'au bout du concept.
Hier, pour penser à autre chose et m'égayer un peu, virée à Québec-city pour le carnaval avec mes amis (sans lui), beaucoup de froid et de fun, j'y pense plus pour la journée. Ah, si, tous les morceaux de musique interprétés dans le concert en plein air parlent de nous (nan mais je veux dire, au point qu'une de mes amies m'a fait part de sa sollicitude parce que même elle se rend compte que la playlist a presque l'air de me viser). Mais bon, ça va, on rigole, on danse, on rentre...
Je me réveille d'une courte nuit, ventre serré encore. Dans mes actualités facebook, il parle du voyage d'1 ou 2 mois qu'il veut faire cet été. Un bout de moi se dit que vu son attitude, tout est possible entre nous il s'agit juste du temps qu'il baisse sa garde. Un autre bout se dit "ta gueule, tu vas encore te faire mal, et il va partir loin de toi.".
Bon, salut lucidité, c'était sympa de te connaître. Je suis toute perdue. En début de semaine je vais remettre un petit coup de distance.
http://www.youtube.com/watch?v=S9tKwSboJeg
À sa demande nous faisons ensemble le boulot que je fais normalement en binôme avec une autre collègue, il insiste pour partager avec moi les snacks qu'il a ramené à grignoter.
À midi, il bassine tout le monde à dire qu'il veut pas sortir le soir parce qu'il est fatigué et qu'il a une entorse en rémission, il m'entend dire que moi je vais au bar avec tout le monde et ensuite à la fête tournoi de babyfoot chez un ami commun, et là tout à coup il faut absolument qu'il y aille.
Avant ladite soirée babyfoot, première partie de soirée au bar pour le départ d'une collègue. Beaucoup de monde, je parle à d'autres gens, complètement de l'autre côté de la tablée. Je me lève et mets mon manteau pour accompagner mes interlocuteurs qui vont fumer une clope, hop monsieur accourt "vous partez maintenant pour l'autre fête ? Non, pas encore ? ok, tu me dis hein..." et il retourne s'asseoir... même cirque 3 fois de suite, dès que je me lève de ma chaise il vient me demander, même s'il connaît l'adresse et le mec qui tient la fête, que d'autres groupes sont déjà partis devant et qu'il peut très bien y aller quand il veut de son côté avec ses potes à lui.
Une fois aussi, il vient s'incruster à ladite pause clope, alors que comme moi il ne fume pas, et que contrairement à moi, il n'était pas en pleine conversation avec ces gens-là, il n'avait pas vraiment de raison ni besoin d'aller se cailler les miches pour venir s'immiscer dans une conversation francophone.
Regards croisés un peu toute la soirée (là je l'avoue, c'est souvent moi qui commence, et lui qui très rapidement sent mon regard et le croise, mais il ne l'évite pas. Moi quand je crois sentir le sien je ne tourne pas la tête.).
On bouge finalement vers la fête au babyfoot, rires, blagues, je suis bourrée, je bois le shooter qu'il vient de se servir pendant qu'il rebouche la bouteille (-_-')...
Tout le monde rentre chez-soi, moi dors sur place, mal, ventre serré. Le matin le pote qui tenait la fête joue les psys.
Faut avant tout que je me protège et que je fasse ce qui me préserve moi, que je laisse passer un peu de temps aussi. Mais vraisemblablement, chez lui la tête dit non, le cœur dit oui, il faut donc se débarrasser de sa tête (au fond d'un caniveau, oui !), miser sur l'ivresse et sur l'absence de confrontation directe, et titiller le cœur, l'alternance chaud/froid que je fais plus ou moins involontairement jusqu'ici semble avoir du bon, vu ses réactions. La jalousie a aussi des chances de donner des résultats, le soucis c'est juste que je ne suis pas une malhonnête, j'irai jamais jusqu'au bout du concept.
Hier, pour penser à autre chose et m'égayer un peu, virée à Québec-city pour le carnaval avec mes amis (sans lui), beaucoup de froid et de fun, j'y pense plus pour la journée. Ah, si, tous les morceaux de musique interprétés dans le concert en plein air parlent de nous (nan mais je veux dire, au point qu'une de mes amies m'a fait part de sa sollicitude parce que même elle se rend compte que la playlist a presque l'air de me viser). Mais bon, ça va, on rigole, on danse, on rentre...
Je me réveille d'une courte nuit, ventre serré encore. Dans mes actualités facebook, il parle du voyage d'1 ou 2 mois qu'il veut faire cet été. Un bout de moi se dit que vu son attitude, tout est possible entre nous il s'agit juste du temps qu'il baisse sa garde. Un autre bout se dit "ta gueule, tu vas encore te faire mal, et il va partir loin de toi.".
Bon, salut lucidité, c'était sympa de te connaître. Je suis toute perdue. En début de semaine je vais remettre un petit coup de distance.
http://www.youtube.com/watch?v=S9tKwSboJeg