Bonsoir !
Suite à ma fabuleuse épopée chez mon cher et tendre ex, celui-ci m'a envoyé un sms (on est très sms voui, ça a toujours été !)
"Je suis sincèrement navré de tout cela..."
Direct je me suis dit "Ouais. Ca me fait une belle jambe."
J'ai quand meme répondu le lendemain, je vous mets toute la conversation, très ubuesque je trouve comme d'habitude !
Moi : Navré de quoi ? Que je sois toujours autant attachée à toi jusqu'à me ridiculiser en venant te voir alors que tu t'en fous ? Bah t'y peux rien, c'est comme ça.
Lui : Non je ne m'en fous pas... Mais j'aurais voulu que ça se passe autrement... Mais je n'y peux rien, en effet... Ca me fait mal.
[Pauvre petit chouchou ! Ca lui fait mal ! Alors que moi évidemment je danse la macarena nuit et jour tellement ma vie pétille ! Bref.]
M : Que la rupture se passe autrement ? J'vois pas comment elle aurait pu etre différente..
L : Bon, bah c'était utopique alors.
M : Oui complètement. Tu ne m'aimes plus, moi je ne pense qu'à toi du matin au soir et je suis malheureuse. C'est ça la réalité.
L : Ca me rend triste. J'ai conscience que jamais quelqu'un ne m'aimera autant que tu m'aimes. Mais malheureusement cela ne fait pas tout. Je sais ne pas pouvoir te rendre heureuse.
M : Si tu le dis.. Moi je me demande juste pourquoi je me lève encore chaque matin.
L : Ne dis pas de bêtises...
M : Je n'ai jamais été aussi sérieuse je crois. J'y arrive pas c'est tout.
L : [Attention, le sms qui suit est très drôle!] Est ce que je suis en mesure de pouvoir t'aider ?...
M : Non. Ce qui pourrait m'aider tu ne veux plus me le donner.
L :

M : Tu vois, hier quand je suis venue te voir, j'ai essayé d eme faire jolie, me disant que peut être ça te ferait quelque chose de me voir, mais non j'ai vraiment tout essayé et tout a foiré. J'suis juste un peu.. à bout.
L : Evidemment que ça m'a fait quelque chose de te voir... Mais tu ne vois pas que j'essaye de ne pas faire pire que mieux ?!
M : Pire que quoi ?...
L : Pire que maintenant. Oui ça peut l'être, c'est sûr.
M : Pour toi sans doute. Pour moi non. Bon je te laisse je me suis assez lamentée comme ça, d'habitude je garde tout ça pour moi.
L : Pour toi aussi, surtout pour toi même. Tu ne te lamentes pas, mais je me sens tellement impuissant face à tout ça... :/
M : Je persiste : non, ça ne peut pas être pire.
Tadaaam il est très très fort hein quand même ?