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BY Souricette
#1340001
J’ai 28 ans, lui 40. Rencontre et mise en couple immédiate il y a 4 ans (grâce a un site de rencontre).

Au début il était plus amoureux et attentionné que moi, même un peu trop, moi j’ai mis plus de temps, j’étais sur la réserve.
Nous habitons loin l’un de l’autre mais moi finissant mes études puis trouvant un poste de professeur rapidement, j’avais de longues vacances que je passais avec lui. Il était très amoureux.

Mais peu à peu la tendance s’est inversée au bout de deux ans. J’ai senti qu’il prenait de la distance lorsque nous n’étions pas ensemble (il était peu disponible en visio et on échangeait de moins en moins de messages) et lorsque nous nous voyions il semblait rapidement frustré et exigeant, se plaignant de tout et de rien. C’est moi qui suis devenue collante avec lui alors qu’avant c’était lui qui avait cette attitude. Je pense que c’est parce qu’il s’éloignait de moi que j’ai tenté des rapprochements. Je me sentais mal par rapport à ça, et pour lui le problème ne venait pas de lui, mais de moi. Je n’étais plus « merveilleuse » comme au début pour lui, je n’avais plus que des défauts. Il rentrait dans des colères noires, que je n’avais jamais vu auparavant. Il disait avoir ce problème de colère depuis longtemps, qu’il pensait l’avoir résolu mais que c’était revenu par ma faute. Il reconnaît qu’il est trop exigeant parfois mais ne fait rien pour changer.

Je serais aussi selon lui trop en demande c’est à dire dépendante affective mais je n’ai mis des mots dessus que plus tard. Il m’a reproché d’être comme lui à nos débuts, je lui avais reproché d’être collant, c’est vrai.

Il en a profité pour tirer la situation à son avantage. Il fallait toujours faire ce que lui voulait et mes besoins à moi étaient niés. Ses critiques envers moi étaient quotidiennes. Je vivais dans une sorte d’attente, car il me promettait parfois qu’il allait arrêter d’être cassant. Je pensais juste à une mauvaise passade.

Je me remets en question et prend la décision de voir un psy car je souffre de son manque d’attention et de nos fréquentes disputes.
Lui ne souhaite pas en voir un de son côté ce que j’aurais souhaité.

Je trouve un psy à côté de chez moi mais cela ne se passe pas bien car il n’était pas très interessé par ma vie actuelle, il semblait plus intéressé par mon passé. Je persiste à lui parler de ce qui me gêne sur le moment. Mes histoires de boulot ou de disputes de couple ne semblent pas le passionner. Je lui explique que je n’aime pas mon travail et j’ai du mal à m’imaginer faire ça toute ma vie. Et aussi que psychologiquement je me sens plus jeune dans ma tête, je n’ai pas la carrure pour faire ce métier exigeant.
- Je pense arrêter et prendre une année sabbatique. Je ne me sens pas de travailler actuellement de toute façon, je fatigue beaucoup trop
- Il faudrait donc qu’on vous nourrisse ? 
Pensant à une blague je ris, mais le psy ne rit pas du tout. Je me sens encore plus mal, il semble porter un jugement négatif sur moi. Justement ce dont je souffre aussi avec mon copain, le fait d’être jugé négativement malgré mes efforts.

Il ne m’aide pas beaucoup concernant ma relation amoureuse non plus. Je lui parle de DA. Il me demande pourquoi je suis comme ça. Je réponds que j’ai du mal à ne pas entendre de mots doux, que ça me manque trop. J’explique qu’il ne ne fait rien pour me rassurer.
Ma réponse semble le décevoir. Je parle de peur de l’abandon. Il me réponds que personne n’aime être abandonné mais cela ne m’aide pas beaucoup.

Il souhaite rapidement espacer les rendez vous. J’argumente que c’est compliqué d’avancer avec seulement deux séances par mois. Il me remets une séance par semaine. Je rentre chez moi et pleure car le psy ne me comprend pas. Je finis sur les conseils d’un proche par annuler mes rdv, car ces séances empiraient mon état et j’ai compris que ce n’était pas un bon psy.

Mon copain est déçu de voir que ça n’a rien apporté et que je n’ai pas changé. Sa mauvaise humeur s’amplifie.
On continue de se faire des reproches, et il ne me dit plus qu’il m’aime. Il explique cela par le fait que nos débuts sont loin. Il ne le dit plus aussi facilement qu’avant, tous les jours pour un oui ou un non comme il dit. Ce serait à cause de mon comportement qu’il ne le dit plus. Ça lui a coupé l’envie .

-pourquoi on reste ensemble ? Je demande
- Je ne sais pas
- quoi ?
- C’est une blague

- As tu des sentiments ? Je demande
- Est-ce que je serai là si je n’avais plus de sentiments ?
Il répond à la question avec une autre question. Il n’est pas clair, toujours flou.

Il oublie sans honte la saint Valentin.
Arrive des vacances et je décide d’aller dans la résidence secondaire de ma grand mère, qui va la vendre.

Mon copain est fâché que je ne vienne pas chez lui, je me dis que c’est positif il veut toujours me voir, et cela nous mets a mi-chemin l’un de l’autre II n’a qu’à faire la route pour me rejoindre. Il accepte.
Mais c’est à nouveau le cauchemar sur place : disputes, reproches de sa part.

A un moment donné il décide de faire un tour tout seul. Il m’appelle au tel pour savoir si je peux lui prendre des tickets sur un site.
Je réponds
- c’est pas plus simple d’acheter sur place ces tickets
- peux tu me prendre des tickets sur internet oui ou non ?! »
J’essaye de le raisonner mais il continue de poser la même question sur un ton méchant.
Je finis par céder
- C’est quoi le site en question ? 
Je trouve ça stupide, je ne comprends pas ce qu’il veut vraiment.
Je ne dis pas non pour ne pas le fâcher mais j’anticipe déjà lui dire que je n’allais pas mettre mon numéro de carte bleue sur un site pour des tickets qu’on peut acheter sur place. Quand est ce qu’on les aurait reçu en plus ? Il partait quelques jours après!
Il semble chercher le nom du site ! Il ne le connaît même pas. Je trouve ça louche. Il finit par me le donner mais en disant qu’il allait s’en occuper lui même finalement.
Il revient et le soir revient sur cette histoire de tickets. Je dis que je n’ai rien compris. Il m’explique que c’était un test. Voir si je faisais quelque chose pour lui. Je trouve ça ridicule et je ne réponds même pas. J’ai réussi son test à la con puisque j’ai dit que j’allais le faire et il n’est même pas content.

A la fin des vacances il me demande de lui changer sa pile de 10 pièces d’un euro en billet de 10 car ça l’encombre et je refuse car je ne suis pas un vide-poches.
- mais tu as besoin de prendre le bus toi
- non, j’ai un pass tu sais bien
Il se fâche pour de bon car j’ai osé lui dire non.
On décide de faire un break de retour chez nous, nous échangeons juste quelques minutes par jour avant qu’il aille travailler. J’accepte à contre cœur. Je sens que ça n’a pas de sens de faire ainsi.

Comme je l’avais anticipé nous perdons notre complicité à force de ne plus se parler. Il me reproche de ne pas avoir le moral mais je n’ai pas le moral à cause de lui!
Je lis un article sur les relations qui fonctionnent et les conseils sont de se remémorer des souvenirs heureux communs ainsi que d’avoir des projets ensemble.
J’essaye d’appliquer cette idée mais cela ne marche pas du tout. Il me reproche de ne parler que du passé et de l’avenir mais pas du présent. Car les souvenirs sont passés et les projets futurs !

Je n’en peux plus, surtout que quand je lui demande ce qu’il me reproche (en dehors de la DA) ce sont des choses qui datent du début de la relation, dont je me rappelais à peine (la première nuit qu’il est venu chez moi je n’ai pas voulu qu’on dorme ensemble et il a dormi par terre dans un sac de couchage).
- Tu ne t’es pas plaint à l’époque je ne peux pas changer le passé
- Oui tu ne peux pas.

La seule chose qu’il me reproche quand je lui demande vraiment ce qu’il y a c’est de ne pas l’appeler par son prénom. En effet son prénom est Gustave et j’ai du mal à le dire. j’ai tenté un surnom GUGU mais il trouve que c’est ridicule. J’avoue que je n’ai pas su gérer ce problème, j’ai préféré l’occulter car pour moi ce n’était pas le fond du problème.

Je trouve une psy plus à l’écoute que le précédent, et décide de quitter mon travail. Elle comprend que je n’ai pas les épaules pour ce métier.
Je lui parle aussi de ma DA, je comprends qu’il faut que je m’épanouisse seule et sans lui. Elle me parle d’emprise, et de violence psychologique, de perte d’estime de soi lié à tout cela, et je commence à prendre conscience que je devrais le quitter, mais j’ai du mal à prendre la décision, et lui laisse encore une chance. Je crois éviter l’échec en ne partant pas, j’ai pourtant conscience de ce problème de lâchez prise que ma psy a pointé du doigt.

Je m’inscris à un cours de salsa. Malheureusement nous sommes un nombre impair. Les hommes choisissent une partenaire et je suis la seule à ne pas être choisie. Je me retrouve avec la prof, qui me fait sentir que je suis lente et non douée. Cela ne me plaît pas du tout et j’arrête mais je n’en parle pas à mon copain qui trouvait l’idée de la salsa très bonne. Je ne veux pas qu’il sache que j’ai vécu cet échec. Il sent quand même que j’évite de parler de la salsa.

Je décide de le tester comme il l’a fait avec moi.
Car même s’il disait qu’il va faire des efforts de son côté pour changer aussi dès le lendemain c’est oublié, je n’ai plus confiance en lui.

Nous avons finalement une conversation dans laquelle je lui dis que les activités que j’ai faites m’ont ouvert des horizons et je pense qu’on devrait se séparer. sa réponse :
- ok, de toute façon on était plus vraiment ensemble. Aucun de nous ne veut changer !
Je suis choquée de sa réponse, et nous nous séparons.
Après une phase de tristesse et de stress intense, je m’aperçois tout de même que je me sens mieux sans lui.

Ai-je vraiment été en DA ?
Ou est-ce qu’il m’a manipulée depuis le début ?
Quelle attitude adopter lorsqu’il me laisse un message ? Je réponds une fois sur deux (quelque chose de vague) . Il semble avoir du mal à couper le contact et s’énerve quand je mets du temps à répondre.

Je ne veux plus le récupérer mais l’oublier et je sais que j’ai pris la bonne décision de le quitter.
Modifié en dernier par Souricette le 13 mai 2024, 17:21, modifié 10 fois.
Avatar du membre
BY admin
#1359548

Salut Souricette!

C’est Antoine Peytavin, fondateur de jerecuperemonex.com, le premier site sur la rupture amoureuse selon The Times.
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BY Elieza
#1340006
Bonjour, déjà, ça me paraît être une bonne base.

Ensuite cette histoire des pièces de 1e j’ai pas tout compris mais ça en dit long sur votre mécanique, ou chacun veut « avoir le dessus ».
Pareil pour le surnom. J’ai un prénom un peu particulier et je n’aime pas du tout un de ses diminutifs, je prendrais assez mal que quelqu’un persiste à l’utiliser alors que je lui ai dit que je ne l’aime pas, a fortuit la personne qui partage ma vie.

Alors dépendante affective je ne sais pas mais en tous cas vous êtes tous les deux bien relous et pas compatibles, ça c’est une évidence.
BY Selmasultane
#1340007
bonjour ,

Tu es prof de quoi ?

Ce qui me frappe ( paf ) à la lecture de ton récit , c ' est que tu relates, sans aucune perspective ni hiérarchisation, des dialogues , des micro évènements ( cette histoire improbable de pièces de 1 euro qui dure trois plombes ) , des évènements majeurs ( tu quittes ton emploi , vite fait) .

Je ne pense pas que ce soit le reflet d' une difficulté d' expression écrite , mais plutôt d' une confusion mentale ( ou alors tu as écrit avec 2 grammes dans le sang et/ou en état de somnambulisme )

Bref

Ce qu' on nomme pompeusement la dépendance affective parfois, est juste la manifestation d' une relation qui se délite . Et clairement le gars n' est pas très investi.

Tu fais bien de ne pas vouloir le récupérer . Au lieu de ressasser sur cette histoire, construis toi une vie solide ( professionnelle , déjà ), qui te rendront moins dépendante ( de la validation d' un psy sur une éventuelle démission, de l'approbation de qqn sur tes cours de salsa , etc... )

Bon courage
BY Souricette
#1340011
Bonjour, je vous remercie de m’avoir répondu.

Je n’ai pas insisté pour l’appeler par un surnom qui ne lui plaisait pas. Je ne l’appelais plus par aucun nom, car quand je l’appellais par son prénom il me reprochait de parler du nez (c’est possible que cela a été vrai au début, sans que je le réalise sur le moment). j’ai tout essayé, diminutif , le dire vite en enchaînant sur une phrase, je trouve que quand je le dis, je ne le sens pas, j’ai l’impression de jouer une pièce du moyen âge.
Il avait choisi de m’appeler chérie mais à arrêté de le dire, ce qui a fait que je n’ai plus essayé de faire d’efforts non plus.

J’ai rajouté les anecdotes des tickets en dernier, après avoir tout lu je trouvais qu’il manquait des anecdotes pour illustrer la façon bizarre dont il se comporte et que je trouve manipulatrice. j’espérais avoir des avis sur sa la fait qu’il s’agisse de manipulation? C’est aussi depuis ces vacances avec l’histoire des tickets que notre relation a fortement empiré.
J’ai lu les histoires des autres et certains on ajouté des dialogues pour aider à comprendre certaines situations.

Ce que j’ai essayé de retranscrire pour cette histoires de pièces, c’est que chaque réaction de ma part était critiquée, même quand j’acceptais ses demandes farfelues. C’est une explication, le fait qu’il cherchait à avoir le dessus, je n’y avais pas pensé! J’ai essayé de ne pas me laisser faire, car je crois qu’au fond je me sentais manipulée!

J’étais prof de gestion en lycée technologique, aujourd’hui j’ai changé de voie. Je crois que cet echec pro a participé à l’échec de mon couple à cause du stress engendré par le travail car notre couple a commencé à se déliter après la prise de poste. J’étais fatiguée et n’avait pas d’entrain pour d’autres activités et il a commencé à me regarder sous un autre œil, très négativement.

Il m’a fait croire que je pouvais améliorer notre relation en faisant certaines choses qu’il demandait. C’est pour cela que j’ai été voir un psy, suis allée à la salsa, et autres.
Sauf que quand je le faisais cela ne marchait jamais, et même, cela empirait la situation car le résultat attendu par lui n’était pas celui qu’il voulait.

c’était peut être juste la relation qui se délitait en effet et non pas une vraie DA. Merci de m’avoir éclairée ma lanterne.
C’est possible que j’ai été en DA mais le fait que le couple se délitait donnait à la DA une dimension exagérée?

J’ai du mal à comprendre ce qu’il s’est passé encore aujourd’hui je sais que c’est de sa faute si j’ai eu de la confusion mentale, qui perdure encore aujourd’hui. J’essaye de comprendre pour ne pas recommencer le même schéma ensuite.
BY Elieza
#1340012
Souricette a écrit : 19 févr. 2024, 11:27
Il m’a fait croire que je pouvais améliorer notre relation en faisant certaines choses qu’il demandait. C’est pour cela que j’ai été voir un psy, suis allée à la salsa, et autres.
Sauf que quand je le faisais cela ne marchait jamais, et même, cela empirait la situation car le résultat attendu par lui n’était pas celui qu’il voulait.

La réponse est là en fait. Tu ne fais pas des choses pour toi, pour t'épanouir, etc, tu les fais pour LUI...
BY Selmasultane
#1340013
Quand ben même y aurait il eu emprise et manipulation que tu ne gagneras rien à analyser ses comportements à lui.

En revanche analyser tes comportements à toi dans cette relation te fera avancer
BY Souricette
#1340022
Bonjour,
Merci de m’avoir répondu.j’ai quelques précisions à apporter.
Faire de la salsa et voir un psy étaient en réalité mes idées à moi, je le faisais pour moi.
Lui souhaitait que je fasse des activités pour moins le solliciter, c’est pour ça qu’il aimait l’idée de la salsa, et que je ne lui ai pas dit que j’arrêtais les cours. Je lui ai dit que je faisais plein d’activités comme le psy et la salsa en m’en servant de ces prétexte pour lui montrer que je me bougeais pour sortir de ma supposée DA, mais c’était bien mes idées personnelles avec une volonté d’épanouissement personnel. Cela aurait eu pour conséquence de me sortir de ma DA et donc d’améliorer notre relation, faire d’une pierre deux coups en quelque sorte. Mais ça c’est la théorie.

Mon comportement je l’analyse.J’étais dans une confusion mentale comme on me l’a justement fait remarqué ici. Notre vie n’était qu’une succession d’histoires improbables comme celles des pièces que j’ai relaté plus haut.
Mes comportements à moi sont liés aux siens car nous étions un couple.Quand j’analyse les miens je suis obligée d’expliquer comment j’ai compris les siens, car tout est corrélé.

Après avoir rompu je me suis demandée pourquoi j’allais voir un psy pour une DA, car je ne suis plus sure d’avoir été en DA et que nous avons peut être confondu cela avec le délitement de notre couple. Je me demande aussi si une manipulation peut causer une DA.
#1340023
Salut,
- Je pense arrêter et prendre une année sabbatique. Je ne me sens pas de travailler actuellement de toute façon, je fatigue
- Il faudrait donc qu’on vous nourrisse ?
Pensant à une blague je ris, mais le psy ne rit pas du tout. Je me sens encore plus mal, il semble porter un jugement négatif sur moi. Justement ce dont je souffre aussi avec mon copain, le fait d’être jugé négativement malgré mes efforts.
Je viens de tiquer sur ça.
- Il faudrait donc qu’on vous nourrisse ?
Ce que tu perçois comme un jugement c'est peut être une vraie question,
le "on" n'est pas forcément le contribuable.

Tu tu aurais pu répondre "j'ai des économies" ou "c'est pas votre problème", mais tu prends ça comme une attaque et je suppose que tu n'es pas retournée le voir, ne serait ce que pour éclaircir cette réflexion qui t'a dérangé.

Un psy qui te brosse dans le sens du poil, il est pas de mon école, c'est garanti.
Et si tu essayais de penser contre toi ?

Je peux aussi voir dans cette phrase une allusion à l'écart d'age entre vous deux.
En tout cas pour creuser faut sortir une pioche et pas avoir peur de se salir, si tu recules dés que ça bouscule ta zone de confort (qui peut être une zone inconfortable, mais elle t'es connue) tu vas pas aller en profondeur.
BY Souricette
#1340024
Ce psy n’a pas vu que j’allais mal, très mal. Il y a avait nécessité de préserver ma santé mentale et physique dans ce projet de mise en retrait de la vie active. C’est parfois long, j’avais un projet précis.

Pourquoi la différence d’âge interférait t’elle là dans mes projets personnels? Je ne vivais pas avec mon copain, il le savait, il a dû penser que je voulais un arrêt de travail, je n’en sais rien, de toute les façons il fallait que je m’arrête, c’était vital. J’ai changé de psy parce que le premier me faisait me sentir mal et ne me comprenait pas. C’est une autre psy qui m’a aidé. Elle m’a dit que le psy ne doit au aucun cas émettre des jugements de valeur! Ce que le premier psy a dit était tout simplement une faute professionnelle.

Depuis que j’ai changé de psy j’ai était conforté dans l’idée de m’arrêter, je me suis reposée le temps qu’il a fallu, et j’ai fait une autre formation, et j’ai reconstruit avec succès ma vie professionnelle.
Il me reste maintenant à travailler ma vie affective.
BY Selmasultane
#1340026
Souricette a écrit : 19 févr. 2024, 20:20 Bonjour,
Merci de m’avoir répondu.j’ai quelques précisions à apporter.
Faire de la salsa et voir un psy étaient en réalité mes idées à moi, je le faisais pour moi.
Lui souhaitait que je fasse des activités pour moins le solliciter, c’est pour ça qu’il aimait l’idée de la salsa, et que je ne lui ai pas dit que j’arrêtais les cours. Je lui ai dit que je faisais plein d’activités comme le psy et la salsa en m’en servant de ces prétexte pour lui montrer que je me bougeais pour sortir de ma supposée DA, mais c’était bien mes idées personnelles avec une volonté d’épanouissement personnel. Cela aurait eu pour conséquence de me sortir de ma DA et donc d’améliorer notre relation, faire d’une pierre deux coups en quelque sorte. Mais ça c’est la théorie.

Mon comportement je l’analyse.J’étais dans une confusion mentale comme on me l’a justement fait remarqué ici. Notre vie n’était qu’une succession d’histoires improbables comme celles des pièces que j’ai relaté plus haut.
Mes comportements à moi sont liés aux siens car nous étions un couple.Quand j’analyse les miens je suis obligée d’expliquer comment j’ai compris les siens, car tout est corrélé.

Après avoir rompu je me suis demandée pourquoi j’allais voir un psy pour une DA, car je ne suis plus sure d’avoir été en DA et que nous avons peut être confondu cela avec le délitement de notre couple. Je me demande aussi si une manipulation peut causer une DA.
On ne fait pas du psy comme on fait de la salsa, et il est problématique de faire tout ca pour " montrer" quelque chose, ou de cacher qu' on a arrêté comme une petite fille prise en faute .

Au lieu de manipuler des concepts psy théoriques de magazine( " est ce qu' une manipulation peut causer une DA? " ) ou d' être en boucle sur lui, ses tickets, ses pièces , sa manipulation, apprends à dire " je" ( comme dit au dessus , c' est beaucoup moins confortable mais ça fait avancer ) .

A titre d' illustration, j' ai beaucoup avancé le jour où j' ai arrêté de diagnostiquer des pathologies psy à mon largueur( clairement un passif agressif narcissique :mrgreen: ) et de compter le nombre de ses conquêtes en milieu professionnel ( pourtant édifiant :mrgreen: ) et où j' ai eu le courage de m' avouer qu' après 13 ans de mariage immédiatement suivis de 2 ans de cette relation, j' étais terrifiée à l' idée d' être seule . ( ce n' était pas confortable car je me plais à me considérer comme féministe indépendante)

Edit : je ne pense pas qu' on puisse " travailler sa vie affective" ( se fixer cet objectif est également, selon moi, une façon d' éviter de se regarder en face )
BY Souricette
#1340028
Bonjour,

Je me suis peut être mal exprimée.
Quand je vais au psy ou à la salsa je suis dans une démarche d’émancipation.
j’aurais dû préciser dans l’histoire que je ne trouvais pas ça normal d’avoir dû cacher mon arrêt de la salsa. J’ai voulu exprimer la peur que j’avais eu d’envenimer son agressivité envers moi. Tu es parvenue à la même conclusion que ma psy j’avais été comme une petite fille, elle dit que mon copain m’avait infantilisée. En tant que psy, elle s’intéresse aussi à son comportement et pas qu’au mien, à comment on bascule dans une certaine emprise lorsque l’ont vit un moment où l’on ait affaibli et que l’on tombe sur quelqu’un qui veut en profiter.

Tu penses que j’évite de me regarder en face? Je fais de l’emdr en ce moment et je t’assure que l’on se regarde en face quand on fait cette démarche.
Tout est question de vocabulaire là où tu vois des histoires de pièces en boucle, un psy verra des flashbacks, et un patient un besoin de raconter quelque chose qu’il a mal compris sur le moment.

J’étais également terrifiée d’être seule, mais depuis la séparation je me sens mieux!
#1340033
Tu es parvenue à la même conclusion que ma psy j’avais été comme une petite fille, elle dit que mon copain m’avait infantilisée.
Et que le premier psy aussi, mais il a pas trouvé le ton juste pour te le dire, ou bien tu t'arrêtes à la forme alors que le fond peut être intéressant.
D'ou la remarque sur la différence d'âge également, tu t'es sentie comme une petite fille devant un adulte.
#1340035
Et ta psy c'est du bullshit, c'est toi le sujet, pas ton interprétation des actes et supposées réactions de ton ex, tu peux continuer à nous dénier tout bon sens, ou peut être la forme te choque, mais tu vas perdre du temps si tu cherches sincèrement à te comprendre et que tu t'arrêtes dés que ce que tu pourrais trouver pourrait te déplaire.....
BY Souricette
#1340036
Georges I. Abdamiaou a écrit : 20 févr. 2024, 19:57 Et ta psy c'est du bullshit, c'est toi le sujet, pas ton interprétation des actes et supposées réactions de ton ex, tu peux continuer à nous dénier tout bon sens, ou peut être la forme te choque, mais tu vas perdre du temps si tu cherches sincèrement à te comprendre et que tu t'arrêtes dés que ce que tu pourrais trouver pourrait te déplaire.....
J’ai trouvé beaucoup de bon sens dans les premiers messages, la confusion mentale, le fait de vouloir avoir le dessus, le fait que j’ai été comme une petite fille.
En disant « nous dénier tout bon sens », tu me mets en situation de porte-à-faux vis à vis des autres personnes dont j’ai apprécié les interventions! Je dissocie tes interventions des leurs.

Si j’ai bien compris le dernier message, la psy qui m’a aidée à comprendre que ma relation ne se passait vraiment pas bien et aussi que j’avais le droit de quitter mon boulot sans rendre des comptes à personne, c’est du bullshit?
Tandis que le psy qui me donnait mal au ventre et empirait mon état psychologique serait un bon psy et moi je n’aurais rien compris?
Je ne sais pas si je dois vraiment répondre à ce message!

La décision de quitter mon emploi a été une décision d’adulte mûrement réfléchie, je crois que je restais dans ce job pour être valorisée par mon ex, alors que je savais profondément que cela ne me correspondait pas. Je ne voulais pas qu’il pense que je n’étais pas capable! Je me suis regardée en face, qu’est-ce que je veux pour MOI?Depuis que j’ai quitté ce poste je suis libérée, et c’est ce qui m’a donné la force de quitter mon ex! Ce n’est pas du bullshit, c’est qui m’a sauvé à ce moment là!

La remarque sur la différence d’âge? Ce psy ne m’a jamais parlé de différence d’âge. Je ne pense pas qu’il se rappelait l’âge de mon ex, et il savait que je vivais toute seule.
BY Elieza
#1340037
J ai pas trop le temps pour élaborer la tout de suite mais sortir d’une séance de psy retournée c’est plutôt positif en fait, ça veut dire que ça creuse là où ça doit.
Un psy n’est pas là pour te brosser dans le sens du poil…
BY Souricette
#1340038
Je vois ce que tu veux dire Elieza! Ça m’arrive encore d’être retournée après une séance, tu te dis j’ai compris un truc, par exemple je me suis laissée faire comme une gamine. C’est positif!

Sauf que là avec ce premier psy là ce n’était pas du tout ça!
Je me dévalorisais et j’arrivais chez lui avec un discours négatif, je n’arrive à rien, incapable de ceci ou de cela… le discours de mon ex en fait!
J’avais peut être convaincue le premier psy que tout ce que mon ex disait de négatif sur moi était vrai.
Pour moi sa remarque était à côté de la plaque, parler de finance à ce moment là c’est minimiser la souffrance du patient, il va se sentir incompris!
En répondant ça à quelqu’un qui fait un épuisement professionnel tu le mets en danger, mais entre profs on a l’habitude de ce genre de ces préjugés aussi, c’est classique!


Ce n’était pas que cette remarque qui m’a fait douter de lui, il lisait ses textos en m’écoutant, voulait espacer les séances (en cmp ils manquaient de créneaux) et n’a pas été foutu de déceler que j’étais sous emprise, et avait un certain dédain en me parlant. Ça fait beaucoup!

Cela me fait penser aux victimes de viol, a qui l’ont disait encore il y a quelques années, mais ne l’avez vous pas cherché, que faisiez vous à minuit en minijupe dans cette ruelle?
A force de s’autoflageller et de se donner tous les tords, même s’il ne s’agissait que de violence psychologique, on risque de passer à côté d’une situation de danger pour le patient!


Est-ce qu’elle me brosse dans le sens du poil parce qu’elle a trouvé ma décision de quitter mon emploi bonne? Je ne pense pas car elle n’est pas là à te dire oui à toutes tes idées, ce n’est pas son rôle, elle t’amène à réfléchir par toi même en fait, à te faire comprendre que tu dois t’écouter et te respecter!
Il est possible que le fait qu’elle soit une femme et donc plus sensible aux violences psychologiques faites aux femmes explique pourquoi elle a mieux compris ma situation!
BY Souricette
#1340052
Bonjour,

Je viens donner de mes nouvelles, ce fut une bonne thérapie pour moi de venir écrire, et aussi me relire ici, une manière de tout évacuer. J’ai encore des flashbacks, du ressentiment envers mon ex ce qui est normal, et devrait s’estomper avec le temps, il paraît.

En relisant cette ridicule histoire des tickets j’ai réalisé que c’était la première fois que j’avais osé lui dire non, m’affirmer, j’ai senti que les rôles s’étaient inversés, c’était lui l’enfant avec son caprice d’assouvissement de désir immédiat, je commençais tout juste à sortir de cet état où je me laissais faire, voilà pourquoi les choses se sont tellement dégradées depuis, j’ai enfin mis un mot dessus, je n’osais pas dire non avant, et il n’a pas supporté, la relation ne fonctionnait au départ que tant que j’acceptais ce rôle où je me laissais guider, mais cela ne pouvait marcher tant que ses demandes à lui étaient raisonnables, elles ne l’étaient plus, il y a eu d’autres histoires du même type.

J’ai repensé aussi à cette période où j’étais affaiblie, j’ai osé franchir la porte d’un psy, qui n’a pas été à la hauteur, pas qu’une question de forme mais aussi de fond, méprisant, froid, avec le recul maintenant j’étais incapable de me présenter sous un bon jour, trop mal dans ma peau.
Il semble avoir confondu dépendance affective pour laquelle je cherchais des informations, et dépendance financière, qui n’a rien à voir et ne me concernait pas, c’était ça la répartie qu’il fallait avoir, c’est facile de se dire, ah si j’avais été en meilleur forme j’aurais répondu ceci ou cela. Rire de façon gênée à été ma réponse, aujourd’hui je réagirais différemment, pour moi cela ne pouvait être qu’une blague d’être aussi à côté de la plaque, je me suis justifiée comme j’ai pu ensuite, je n’en ai pas vraiment souvenir, j’espère qu’il se sera remis en cause en voyant l’annulation de tous mes rdvs.
Il s’est écoulé du temps entre les deux psys, j’ai beaucoup souffert en attendant de voir ma psy, il me fallait cette aide pour quitter mon ex, pour m’ouvrir les yeux.

A présent, je fais de l’emdr pour m’aider à gérer les flashbacks.

J’explique comment ça se passe : je dois fixer son stylo que la praticienne bouge latéralement, tout en pensant à un moment traumatisant avec mon ex.
j’ai du mal à faire les deux en même temps. Soit je pense au souvenir et je perds le stylo de vue, soit je suis le stylo et en oublie de me concentrer sur le souvenir, surtout qu’elle bouge le stylo vite.
Cette technique est censé me faire digérer mes mauvais souvenirs, j’ai décidé d’aller au bout, on ne sait jamais.

La dernière fois que nous avons parlé avec mon ex cela s’est mal passé, il m’a dit une critique comme d’habitude et je me suis encore défendue, exit la petite fille, je lui ai dit que ça le changerait de dire un truc gentil pour une fois, essaie de dire un truc gentil pour changer. Sa réponse :
- gentil, gentil, gentil
- tu fais quoi là?
- tu m’as dit de dire un truc gentil !
Je sais qu’il a l’air très très bête, pourtant il ne l’est pas, j’ai l’impression qu’il cherchait à me retourner le cerveau, et on peut se demander pourquoi je lui ai donné tellement de secondes chances, j’ai cru que je l’aimais mais en fait non, quand je l’ai rencontré j’étais encore très jeune dans ma tête, c’était la première fois que quelqu’un m’aimait, me disait qu’il m’aimait, j’en avais besoin, cela me faisait du bien, voilà pourquoi je suis restée bêtement avec lui.

Je ne sais pas si c’était de la DA, certains ici semblent maîtriser ce concept mais pas moi, je sais juste qu’il y avait emprise, j’avais donc une difficulté à me détacher.
Pourtant aujourd’hui je suis tellement mieux sans lui, à présent il faut vraiment que je le coupe de ma vie de façon définitive et nette.
J’ai changé de téléphone la semaine dernière, et il n’aura pas mon nouveau numéro.
BY Souricette
#1340062
Bonjour,

Pourrais-tu expliciter ta phrase s’il te plaît? Je n’ai pas bien compris.
Selmasultane a écrit : 20 févr. 2024, 08:08

Edit : je ne pense pas qu' on puisse " travailler sa vie affective" ( se fixer cet objectif est également, selon moi, une façon d' éviter de se regarder en face )
est-ce ma formulation qui t’a dérangée?
Quand je vais à ma séance d’emdr, elle me demande sur quels traumatismes je voudrais travailler, j’ai répondu d’abord des choses de ma vie professionnelle, ensuite j’ai voulu travailler sur ma vie amoureuse, affective. Elle n’a pas eu l’air de trouver ça anormal non plus comme formulation, comment tu penses que j’aurais dû exprimer les choses?

Merci.
BY Ethan101
#1340098
Bonjour,

Juste pour te dire que j'ai trouvé ton histoire intéressante. Perso, j'aime bien les détails, on dit que le diable s'y cache, c'est pas pour rien XD Tu continues l'emdr, tu trouves toujours ça efficace ?
BY Souricette
#1340103
Bonjour,
Merci de m’avoir répondu.

L’emdr n’a pas été efficace sur moi, malheureusement.

Concernant les anecdotes et les dialogues, c’était pour donner une idée des futilités qu’il me reprochait au quotidien.
#1340104
Souricette a écrit : 19 mars 2024, 21:10
L’emdr n’a pas été efficace sur moi, malheureusement.
Bonjour, a la lecture de ce message j’ai eu envie de te répondre « étonnant, non ? »
Mais comme tu n’aimes pas les ellipses et que tu vas prendre ça pour un agression gratuite je vais essayer de développer un peu.
Depuis ton premier message, tout me laisse à penser que les « convictions » qui te tiennent debout sont aussi les chaînes qui t’empêchent d’avancer.
On ne construit rien quand on ne déconstruit pas tout d’abord, à moins d’être un oisillon fraîchement éclôt, le poids de notre habitus influence notre perception et nos pensées.
Et toi t’es une tête de lard, fière et orgueilleuse, me trompe je ?
Ce n’est pas une attaque, ça me semble un constat juste quand je te lis. Tu es sur la défensive et tu a des justifications à tout. Comme par exemple le fait d’écrire que tu as brillamment réussi ta reconversion alors que ça me paraît un poil prématuré en tenant compte de la durée de l’expérience.
Ce qui me porte à croire que ces traits de caractère, qui te définissent, te rendent plutôt rétive à l’emdr.
Tu devrais assumer ta fragilité, tu es comme tout le monde, on n’est pas à l’aise quand on doit porter des habits trop grands pour soi.
BY Ethan101
#1340110
Souricette a écrit : 19 mars 2024, 21:10
Concernant les anecdotes et les dialogues, c’était pour donner une idée des futilités qu’il me reprochait au quotidien.
Oui, c'est comme ça que je l'avais compris. J'ai moi-même écrit mon histoire avec beaucoup de détails et je trouve que ça permet de prendre un immense recul sur la situation.

Tu vois un autre psy du coup ?
BY Souricette
#1340113
Georges I. Abdamiaou a écrit : 20 mars 2024, 11:00
Souricette a écrit : 19 mars 2024, 21:10
L’emdr n’a pas été efficace sur moi, malheureusement.
Bonjour, a la lecture de ce message j’ai eu envie de te répondre « étonnant, non ? »
Mais comme tu n’aimes pas les ellipses et que tu vas prendre ça pour un agression gratuite je vais essayer de développer un peu.
Depuis ton premier message, tout me laisse à penser que les « convictions » qui te tiennent debout sont aussi les chaînes qui t’empêchent d’avancer.
On ne construit rien quand on ne déconstruit pas tout d’abord, à moins d’être un oisillon fraîchement éclôt, le poids de notre habitus influence notre perception et nos pensées.
Et toi t’es une tête de lard, fière et orgueilleuse, me trompe je ?
Ce n’est pas une attaque, ça me semble un constat juste quand je te lis. Tu es sur la défensive et tu a des justifications à tout. Comme par exemple le fait d’écrire que tu as brillamment réussi ta reconversion alors que ça me paraît un poil prématuré en tenant compte de la durée de l’expérience.
Ce qui me porte à croire que ces traits de caractère, qui te définissent, te rendent plutôt rétive à l’emdr.
Tu devrais assumer ta fragilité, tu es comme tout le monde, on n’est pas à l’aise quand on doit porter des habits trop grands pour soi.
Je suis réceptive à la psychothérapie et moins à l’emdr, tu peux faire des hypothèses très personnelles sur le pourquoi du comment, je n’ai pas de réponse.

Je me suis reconvertie avec succès, c’est une expression, ça veut dire que tout s’est terminé favorablement, j’occupe maintenant un emploi que j’aime. Le terme « brillamment », c’est ton mot, pas le mien.

Ma fragilité je l’accepte c’est pour ça que j’ai quitté mon poste de prof.
Il me reste le stress post traumatique à travailler, il paraît que ça prend du temps!
BY Selmasultane
#1340118
Souricette a écrit : 07 mars 2024, 11:27 Bonjour,

Pourrais-tu expliciter ta phrase s’il te plaît? Je n’ai pas bien compris.
Selmasultane a écrit : 20 févr. 2024, 08:08

Edit : je ne pense pas qu' on puisse " travailler sa vie affective" ( se fixer cet objectif est également, selon moi, une façon d' éviter de se regarder en face )
est-ce ma formulation qui t’a dérangée?
Quand je vais à ma séance d’emdr, elle me demande sur quels traumatismes je voudrais travailler, j’ai répondu d’abord des choses de ma vie professionnelle, ensuite j’ai voulu travailler sur ma vie amoureuse, affective. Elle n’a pas eu l’air de trouver ça anormal non plus comme formulation, comment tu penses que j’aurais dû exprimer les choses?

Merci.
J' adore cette façon que tu as de répondre à chaque message dans une apparence de dialogue en mode CNV ( " oh vraiment, je lis mais je ne comprends pas, peux tu mieux expliquer , etc..." ) qui est en fait une manière de réfuter tout ce qui t' est dit ( sous des dehors très très polis ) .

Plus d' une fois d' ailleurs, tu utilises les propos de ta psy pour indiquer que ce qui t' est dit ici n' est pas pertinent ( à nouveau , sous des dehors très polis )

Au final, tu ne vas pas au fond des choses , et comme le dit G. , tu ne donnes pas une impression de réceptivité . Je comprends tout à fait que tous les psys ne conviennent pas à tout le monde, en ayant fait l' expérience , mais je pense que tu as une fâcheuse tendance à ne prendre que ce qui t' arrange dans le " conseil" ( au sens large ) , à éviter l' inconfort de la contradiction et de la remise en question .

Bonne route !
BY Souricette
#1340124
Selmasultane a écrit : 21 mars 2024, 08:22
Souricette a écrit : 07 mars 2024, 11:27 Bonjour,

Pourrais-tu expliciter ta phrase s’il te plaît? Je n’ai pas bien compris.
Selmasultane a écrit : 20 févr. 2024, 08:08

Edit : je ne pense pas qu' on puisse " travailler sa vie affective" ( se fixer cet objectif est également, selon moi, une façon d' éviter de se regarder en face )
est-ce ma formulation qui t’a dérangée?
Quand je vais à ma séance d’emdr, elle me demande sur quels traumatismes je voudrais travailler, j’ai répondu d’abord des choses de ma vie professionnelle, ensuite j’ai voulu travailler sur ma vie amoureuse, affective. Elle n’a pas eu l’air de trouver ça anormal non plus comme formulation, comment tu penses que j’aurais dû exprimer les choses?

Merci.
J' adore cette façon que tu as de répondre à chaque message dans une apparence de dialogue en mode CNV ( " oh vraiment, je lis mais je ne comprends pas, peux tu mieux expliquer , etc..." ) qui est en fait une manière de réfuter tout ce qui t' est dit ( sous des dehors très très polis ) .

Plus d' une fois d' ailleurs, tu utilises les propos de ta psy pour indiquer que ce qui t' est dit ici n' est pas pertinent ( à nouveau , sous des dehors très polis )

Au final, tu ne vas pas au fond des choses , et comme le dit G. , tu ne donnes pas une impression de réceptivité . Je comprends tout à fait que tous les psys ne conviennent pas à tout le monde, en ayant fait l' expérience , mais je pense que tu as une fâcheuse tendance à ne prendre que ce qui t' arrange dans le " conseil" ( au sens large ) , à éviter l' inconfort de la contradiction et de la remise en question .

Bonne route !
Tu pars de l’hypothèse que TOUT ce qui est dit ici est pertinent, c’est pour ça que pour toi, rien n’est à réfuter. Je comprends mieux, et j’adore aussi ta façon de communiquer, au moins toi tu n’inventes pas des propos, que je n’ai jamais dit, pour faire des élucubrations, qui me rendent forcément moins réceptive que pour d’autres interventions.

Comme toi je pense que je dois creuser plus.
C’est ce que j’ai commencé à faire, car l’emdr n’a pas été inutile, cela m’a permis d’apprendre sur moi.
Ethan101 a écrit : 20 mars 2024, 21:24
Tu vois un autre psy du coup ?
Je vois aussi une psy depuis 1 an et demi, en psychothérapie.
#1340133
Inventer des propos...
Tu te donnes trop d'importance ma belle, j'ai pas mis des guillemets ou un SIC pour te citer précisément,
j'ai juste essayé de renvoyer la vibe générale de ton message, ou celle que je perçois en tout cas,
sans ériger mon avis comme une vérité absolue.

Et je peux te garantir que Selma ne me trouve pas pertinent sur tous les sujets, d'ailleurs les TOUT et les RIENS c'est pour les enfants.

Sur ce je cesse de pisser dans une contrebasse, il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre.
Bonne continuation.
BY Souricette
#1340135
Georges I. Abdamiaou a écrit : 23 mars 2024, 13:24 Inventer des propos...
Tu te donnes trop d'importance ma belle, j'ai pas mis des guillemets ou un SIC pour te citer précisément,
j'ai juste essayé de renvoyer la vibe générale de ton message, ou celle que je perçois en tout cas,
sans ériger mon avis comme une vérité absolue.

Et je peux te garantir que Selma ne me trouve pas pertinent sur tous les sujets, d'ailleurs les TOUT et les RIENS c'est pour les enfants.

Sur ce je cesse de pisser dans une contrebasse, il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre.
Bonne continuation.
Ressenti de « vibe » ou pas, qu’on me porte des propos que je n’ai pas tenu pour me prêter une personnalité fière, est une argumentation fallacieuse. Je passe sur ton « doute » sur la rapidité de ma reconversion, et ton interprétation supposée concernant les propos du premier psy, qui relève du fantasme.

C’est censé être un forum d’entraide, pas un déversoir de critiques infondées construites au pifomètre!

Contrairement à tes remarques, j’ai apprécié celles de Selma, d’Ethan et d’Elieza.

Je reconnais même avoir été très polie (c’est difficile à doser, le degré de politesse), et aussi de citer ma psy « bullshit » pour expliciter mes propos.
Pourquoi, tout simplement parce qu’une explication de psy a souvent plus de poids que celle d’un patient, ou d’un forumeur, mais je vais essayer d’éviter de le refaire!
BY Souricette
#1340141
Bonjour,

Comme vous le savez j’ai décidé de creuser plus mon histoire, surtout l’idée de la petite fille qui ne réagissait pas, et qui restait là bêtement à ne rien comprendre.
Je m’excuse d’avance pour le pavé et le fait que je suis parfois confuse.

Au départ je n’ai pas compris que j’avais des réactions de petite fille. Pourquoi, car le fait que j’étais en couple avec une personne plus âgée que moi me faisait me sentir adulte, bien que c’était un leurre car il est assez immature (on le voit dans nos dialogues).
Je ne voyais pas à mal non plus le fait qu’il me fasse partager son expérience.

Lorsqu’il a commencé à m’imposer ses vues et façons de faire, j’étais très prise par mes problèmes de boulot et ma crainte de le perdre, donc pas très lucide!
J’ai été dépassée par les événements. Il a lancé la piste de la DA, j’ai confondu ça avec le délitement du couple, comme disait Selma. Je cherchais des solutions, j’essayais de comprendre ce qu’il disait, je cherchais un psy, ça faisait que je me sentais réagir de façon adulte par rapport à lui.

Si je quittais mon job je n’étais plus rien, à mes yeux et surtout à ses yeux. La première chose qu’on m’a répondu ici c’est de me refaire tout de suite une vie pro, ce qui est déjà fait, mais pour illustrer à quel point c’est une situation presque déshonorante et que cela peut pousser à tenir le coup coûte que coûte, on fait tout pour ne pas quitter son job ni son mec, j’ai cru bêtement que c’est ça être adulte, tenir le coup sur tout, alors qu’être adulte c’est de ne pas se laisser dicter sa conduite comme une petite fille naïve. Sur le moment je croyais bien faire, je ne savais pas que j’étais sous emprise!

Ce qui me rendait confuse c’était aussi que quelques unes de ses critiques me semblaient vraies, si on me dit je ne suis pas capable d’être prof, c’est vrai. J’avais du mal à distinguer le vrai le faux et l’inacceptable!

Il a fallu que je quitte mon poste et que je trouve une psy pour y voir plus clair, j’avais un bandeau sur les yeux. Je croyais bêtement qu’il m’aimait, et que les fortes disputes étaient normales (j’ai vécu dans une famille où il y a eu des fortes disputes)

On m’a dit que dans les cmp il y a des « cassos »comme disent les élèves, j’ai vu une fois un sdf infiltré dans la salle d’attente, je ne pense pas que sa remarque sur me faire nourrir par d’autres soit à prendre personnellement, mais ça prouve que je laissais dire n’importe quoi à l’époque, un vrai paillasson, j’aurais dû réagir plus fermement, il a fallu que mon entourage me dise que c’était un c.. car j’avais tellement l’habitude d’être critiquée injustement que je ne réagissais plus!

Ça explique que j’ai mal pris que quelqu’un me fasse la remarque que j’aurais dû persévérer avec ce premier psy. Si je suis pas d’accord c’est que je suis une tête de tard = pile je gagne face tu perds.

Il y a une chose que je n’ai pas racontée encore. Après la rupture j’ai consulté sa boîte mail à laquelle j’ai toujours accès. Je sais que je n’aurais pas dû le faire, et je ne le fais plus, mais c’est là que j’ai découvert qu’il discutait avec une fille, encore étudiante aussi! elle avait l’air de ne pas aller bien car elle parlait d’anti-dépresseur. J’ai compris qu’il s’était cherché une autre proie que moi, sitôt après notre rupture!
C’est pour ça que j’en suis venue à la piste de la manipulation.

Merci de m’avoir lu.
BY Selmasultane
#1340142
hello,

Tu tiens des pistes intéressantes.

Je rectifie toutefois : " La première chose qu’on m’a répondu ici c’est de me refaire tout de suite une vie pro, ce qui est déjà fait, mais pour illustrer à quel point c’est une situation presque déshonorante"

Tu transformes la réponse qui t' a être faite( par moi). Il n' était en aucun cas question d' un quelconque déshonneur à être sans emploi mais bien de te construire une vie à toi en priorité( professionnelle, car c' est aussi le moyen de la non dépendance, sauf si tu es rentière, mais pas que ). En priorité et pas en urgence.
BY Souricette
#1340150
Merci Selma. Ok.
Je pense comme toi, c’est important d’avoir son indépendance financière pour s’émanciper.

J’ai donc changé de psy, non pas par peur de me confronter à des choses déplaisantes, tant qu’à faire autant m’habiller pour l’hiver (je serais nourrie ET blanchie), mais pour trouver une personne qui me comprenne et ne m’accuse pas de devenir une assistée.

On m’a conseillé de prendre une psy dans le privé, donc je paye les séances, et miracle, je suis respectée, comprise, on en revient à cette histoire d’argent, sans argent on est traité comme un moins que rien dans la société!

Donc je pense que ce qui a entretenu cette confusion mentale c’est le fait d’avoir rencontré des gens qui m’ont dévalorisée comme mon ex, comme le premier psy, la prof de salsa alors que j’avais besoin de rencontrer des personnes qui me témoignaient du respect et de la confiance, pour pouvoir comprendre que je n’étais pas nulle, que je méritais mieux comme relation amoureuse.
BY Christophe0059
#1340151
J’ai compris que Les personnes qui son ici ,sont là pour nous donner un avis extérieur , c’est vrai que des fois ca peut être mal prit mais je pense que le but c’est de nous aider a nous remette en question.
Ma psy est comme la tienne très compréhensive et de mon côté,ça me fait du bien surtout quand on se sens victime et je pense que c’est ton cas,
Aussi maintenant c’est vrai que le but c’est de guérir nos traumas et peut être des fois il faut être secouer !
J’ai vu plusieurs fois aussi le sujet salsa pour en faire depuis longtemps, tu as pas choisis la danse la plus facile et selon l’école que tu as choisis tu peux tomber sur des prof plus ou moins strict
Ne bloque pas sur ça et change juste de club et tu verra que ça peut être une expérience complètement différente

Dans la suite de ton histoire tu ne parle quasiment plus de ton ancienne relation , as tu réussi à tourner la page ?
Si c’est le cas bravo à toi
BY Souricette
#1340153
Merci Christophe.

J’ai l’habitude d’être secouée, entre l’emdr et la psychothérapie.
Comme je le disais si par hasard on te fait aussi une remarque à côté de la plaque, elle ne va pas te secouer, ni t’aider à te remettre en question, mais elle peut t’agacer, surtout si on ne te laisse aucune place à la contestation.

J’ai essayé un cours de salsa il y a 1 an et demi, dans un état d’épuisement malheureusement. J’aimerais en refaire dans de bonnes conditions, dès que j’aurai le temps!

La page continue de se tourner petit à petit. Dans les périodes où ça va bien, je n’y pense plus, mais quand ça va moins bien, j’y pense, je fais des cauchemars dans lesquels il me méprise et je n’arrive pas à le quitter.
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BY Powercath
#1340154
Salut Souricette,
Je suis ton histoire depuis le début. Tu sembles savoir tout ce qui est bon pour toi et te convient. Je pense que personne ici arrivera a te conseiller s'il ne parle pas en ton sens. Honnetement, je pense que tu es un peu psychorigide ce qui te rends difficile a voir d'autre facette d'une situation et qui est la raison pourquoi tu abandonnes certaines choses rapidement et que selon ma fenêtre, tu manques un peu de résilience. La résilience ce n'est pas la capacité d'encaisser tout ce qui nous arrive et rester dans une situation qui te rends malheureux, mais t'adapter au situation pour en apprendre quelque chose et évoluer. Bref je te souhaite bonne continuation et j'espere que tes démarches de traitement te permettrons de te sentir mieux.
BY Elieza
#1340155
Je suis plutôt d’accord avec Powercath (coucou!) et je ressens un certain victimisme dans tes écrits (tu subis beaucoup et sans forcément accepter que tu peux avoir une part de responsabilité dans les situations, parce que tu as choisit/dis/reagit d’une certaine manière).
A part dans des cas extrêmes de violences, un couple c’est 50/50, il n’y a pas une gentille victime et un méchant bourreau. Pareil dans le monde professionnel en fait. On a presque toujours le choix, mais choisir c’est renoncer.
Et prendre ses responsabilités dans ce qui nous arrive c’est le premier pas vers une meilleure connaissance de quoi même, et donc s’offrir la possibilité de ne pas réitérer les mêmes erreurs encore et encore.
BY Souricette
#1340156
Merci Powercath.

J’ai 1 an et demi de psychothérapie dans les pattes, ça peut donner l’impression d’arriver avec sa réflexion, peut être d’être psychorigide, je ne sais pas. Je suis plutôt ouverte aux points de vues extérieurs, je suis toujours preneuse de conseils, pour atteindre le stade de la résilience un jour, c’est bien mon but aussi.

Je n’ai pas bien compris, tu dis que j’abandonne les choses rapidement? Par les choses, tu veux parler de la salsa, ou d’autres choses?
J’ai tendance à m’accrocher aux choses justement, à ne pas lâcher prise. Par exemple je ne lâchais pas mon mec, ni mon poste de prof, et tout le monde me conseillait de lâcher, je savais aussi qu’au fond il fallait que j’abandonne et je ne le faisais pas! J’ai quand même progressé depuis, j’ai appris à lâcher plus rapidement quand ça ne va pas.
Tout ça pour dire que je n’ai pas du tout compris ton message.

Elieza, merci aussi de m’avoir répondu.
Si, j’ai bien conscience de ma responsabilité dans l’histoire. Je me suis trouvée très nulle dans certaines de mes réactions, je pensais en avoir parlé.
En attendant, je souffre d’un stress post traumatique, et pas lui.
BY Souricette
#1340157
Je voulais ajouter qu’une situation d’emprise est effectivement une situation entre bourreau et victime, donc c’est logique que l’on perçoit aussi ces notions là dans mon histoire!

J’explique ce que c’est :

« L'emprise psychologique est une forme de violence, d'ascendance, de manipulation mentale, voire de torture psychique utilisée par une personne sur sa victime pour parvenir à ses fins. C'est un mécanisme souvent progressif, insidieux et récurrent, qui brouille les pistes et finit, dans les cas extrêmes, par dépouiller la victime de son libre arbitre et de sa personnalité. »

Cela ne m’empêche pas de travailler sur moi et sur mes failles qui ont conduit à cette situation.
BY Selmasultane
#1340160
Souricette a écrit : 05 avr. 2024, 22:47 On m’a conseillé de prendre une psy dans le privé, donc je paye les séances, et miracle, je suis respectée, comprise, on en revient à cette histoire d’argent, sans argent on est traité comme un moins que rien dans la société!
Hello Souricette,

je rebondis juste sur ce passage . Je ne pense pas que l'aspect payant entraine nécessairement du respect. Dans ma multi consultations de psys de toute sorte en 2018-2020 , ma pire expérience est celle vécue avec une psychiatre qui m'avait très très vite dirigée vers son appareil à carte bleue en me gratifiant d'un "bon, allez, ça passera avec le temps" ( :lol: )
BY Allys
#1340161
Souricette a écrit : 05 avr. 2024, 22:47 J’ai donc changé de psy, non pas par peur de me confronter à des choses déplaisantes, tant qu’à faire autant m’habiller pour l’hiver (je serais nourrie ET blanchie), mais pour trouver une personne qui me comprenne et ne m’accuse pas de devenir une assistée.

On m’a conseillé de prendre une psy dans le privé, donc je paye les séances, et miracle, je suis respectée, comprise, on en revient à cette histoire d’argent, sans argent on est traité comme un moins que rien dans la société!
Je ne suis pas d'accord. Un/e psy qui te convient n'est pas une histoire d'argent, mais une histoire de méthode.
Personnellement je déteste les psychanalystes. Freud, et toutes ces merdes de fiston veut épouser maman et tuer papa, et les méthodes qui explicitement disent "La circulation d’argent constitue un des paramètres importants de la psychanalyse", et le côté pervers du "j'écoute sans rien dire et j'encaisse le blé". Je trouve ces spécialistes encroûtés dans des croyances qui relèvent pour moi d'une secte. Bref s'il y a écrit psychanalyste sur la plaque gratuit ou payant je n'y vais pas.
Par contre j'aime les psy qui utilisent les méthodes modernes, qui font du cognitif et comportemental, qui sont informés des dernières découvertes en neuro science car je sens que ça me correspond mieux.
Finalement qu'importe au fond que j'ai raison ou tort dans mes choix, l'important c'est d'être suivi par quelqu'un qui nous correspond, gratuit ou payant.
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BY Powercath
#1340162
Un chose est sur souricette, c'est que si on raconte a notre entourage combien on est malheureux avec un psy, avec des cours de salsa, on niveau de sa vie professionelle, ben le réflexe premier de cet entourage c'est de dire de laisser tomber ! Mais de ton côté, il serait intéressant de creuser pourquoi tu te met toujours en position de victime. Je vais dire comme Georges, c'est la vibe général de ton thread qui m'a porté a dire que tu avais peut-etre pas beaucoup d'autocritique. Je ne suis pas psychiatre, mais personnellement, dire que tu souffres d'un syndrome post-traumatique a cause de ta relation avec l'ex dont tu étais sous l'emprise comme un bourreau, c'est un peu gros. A moins que tu nous a caché une certaine forme de violence et que tu as sentit que ta vie était en danger, ou celle d'un de tes proches. Je te recommendes de lire sur ce sujet. Encore la, s'autodiagnostiqué un PTSD c'est aussi se mettre en position de victime d'une situation sur laquelle tu n'aurais jamais eu de controle. Et je continue a penser que tu poursuis dans la vie avec ce qui te remu le moins... Mais bon, on pisse tous dans un violon ici.
BY Souricette
#1340165
Merci Selma et Allys pour vos réponses.

Je suis d’accord avec vous. Ce serait bête de faire des généralités sur les psys de cmp.
On doit y trouver des bons et des moins bons psys comme partout ailleurs.
Je n’ai peut être tout simplement pas eu de chance, et je suis mal placée pour critiquer les fonctionnaires.

J’ai trouvé d’autres avantages au privé, les délais sont plus courts, et ils prennent tout le monde.
Le psy que j’ai vu voulait que réduise mes séances à 2 séances par mois, ce qui faisait grand maximum 50 minutes pour un mois entier!

Vous me faites penser qu’il devait avoir une approche psychanalytique aussi, peut être, car il voulait que je parle uniquement de mon passé, et ne s’intéressait pas à mes problèmes de couple actuels.

Comme le dit Allys, l’essentiel est de trouver quelqu’un qui nous correspond, et comme toi Selma je crois qu’il ne faut pas hésiter à changer de psy. Tu en as vu combien avant de trouver la bonne personne? Au bout de combien de séances tu te dis, que ça ne le fait pas en fait?
BY Souricette
#1340166
Powercath,

Ce n’est pas un auto-diagnostic, désolée.

Ma psy m’a dit au vu de ce que je lui ai raconté que j’avais été sous emprise.
Il y a sûrement des gens chez qui la situation est plus grave, ce n’est pas une raison pour minimiser mon cas. Non je n’ai pas tout raconté, et ma vie n’était pas en danger, mais une emprise n’est pas forcément lié à la violence physique, mais peut être uniquement psychologique.

Je n’ai jamais dit que j’étais victime de la prof de salsa, j’ai dit qu’elle m’avait manqué de respect en disant devant tout le monde que je n’étais pas douée. Je n’ai jamais raconté cette histoire à quiconque avant de venir ici.

Je pense que toi et ton ami Georges devraient tourner 7 fois la langue dans vos bouches avant de parler.

J’ai reçu un MP d’une personne ici qui m’a mise en garde contre certains, et prévenu qu’il fallait faire le tri dans les interventions. C’est ce que je fais, et je pense avoir réussi à discerner les deux personnes à ignorer!
Modifié en dernier par Souricette le 11 mai 2024, 14:51, modifié 1 fois.
BY Elieza
#1340167
Mais Souricette, a chaque fois que quelqu'un te dit quelque chose qui ne te plait pas (ta prof de salsa ou ici Georges ou Powercat), tu montes sur tes grands chevaux...C'est quand même interpellant...
BY Souricette
#1340168
Dis-moi Elieza, tu voudrais que je lui réponde comment?
Merci, j’ai bien aimé que tu sèmes le doute sur la véracité de mon diagnostic? Ça me gêne que ces deux personnes tiennent des propos mensongers assez virulents à mon égard.
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BY Powercath
#1340172
Oui la victime encore une fois.
Je commence a me demander ton objectif ici puisque aucun commentaire qui ne va pas en ton sens te rebute. Aucune recommendation ou conseil ne te conviennent. Tu es venu ici pour qu'on te plaigne ? Ca sent le Caliméro de plus en plus. Pauvre petite chose. Et puis le message en privé qui te prévient des interventions de certains participants comme moi. Wow c'est du lourd ca. Personne sur ce forum n'est dangereux pour toi. Aucune intervention est dans l'intention de te blesser ou de te nuire. Loin de. Je te laisse continuer ton chemin parce que ce n'est pas mon genre d'alimenter le sentiment de victimisation.
BY Souricette
#1340174
Powercath a écrit : 09 avr. 2024, 13:34 Oui la victime encore une fois.
Je commence a me demander ton objectif ici puisque aucun commentaire qui ne va pas en ton sens te rebute. Aucune recommendation ou conseil ne te conviennent. Tu es venu ici pour qu'on te plaigne ? Ca sent le Caliméro de plus en plus. Pauvre petite chose. Et puis le message en privé qui te prévient des interventions de certains participants comme moi. Wow c'est du lourd ca. Personne sur ce forum n'est dangereux pour toi. Aucune intervention est dans l'intention de te blesser ou de te nuire. Loin de. Je te laisse continuer ton chemin parce que ce n'est pas mon genre d'alimenter le sentiment de victimisation.
Il y a vraiment des gens qui ne sont gênés par rien. Maintenant je serais venue ici pour qu’on me plaigne!

Comme Georges, tu essayes de te cacher derrière un « nous ». Tu devrais assumer que ce sont tes propos à toi, qui ne font pas mouche, parce que tu es la seule personne, avec Georges, à inventer des choses.

Tu te demandes ce que je fais ici. J’apprécie de partager mes expériences avec des personnes sur ce forum, l’esprit d’entraide.
Grâce à Selma je me suis remise sur la piste de la petite fille. Grâce à Allys j’ai pris du recul sur les psys de cmp, et j’ai compris que je fonctionnais mieux avec les méthodes cognitives.
Ethan m’a encouragée dans l’écriture détaillée pour une prise de recul.
Le fait d’avoir eu a parler de mon diagnostic ici m’a aidée à mieux l’accepter.

Tu parles d’aller dans mon sens, mais je n’ai pas vraiment de sens, si ce n’est ce que j’ai déjà compris à l’aide de ma psy.
Tu me demandes surtout de ne pas être rebutée par des mensonges, qui de surcroît sont très dénigrants à mon égard, c’est ça la question!

Quand mon entourage a été obligé d’aller me chercher aux urgences car j’avais fait un malaise, a remarqué que j’avais perdu du poids et que j’étais très pâle, on m’a conseillé de lever le pied. J’avais tendance à ne pas parler de ma détresse, à cette époque là. Mes collègues ont vu que ça n’allait pas non plus.

Tu préfères te faire un film, dans lequel je me serais victimisée auprès d’eux, à leur dire que j’étais « malheureuse ». J’ignore où tu vas fantasmer tout ça.
Que ça m’agace ou pas, on s’en fiche, mais tu devrais réfléchir à ce que ça comble chez toi ce besoin de venir dénigrer des inconnus? Tu gagnerais à analyser ton propre comportement, parce que visiblement, tu n’es pas prête à apporter une contribution un minimum cohérente, basée sur des faits réels.

Personne n’a jamais parlé d’être « dangereux », tu continues encore dans ton délire.
J’ai parlé de ce MP car je pense que c’est utile de se passer l’information comme quoi des personnes comme toi se sont glissées parmi les autres intervenants.
BY Elieza
#1340175
Des personnes comme Powercath ou George, que ça te plaise ou non, aident les gens qui viennent ici depuis des années. Ils ont peut être une manière de faire qui te déplaît , mais il n’en reste pas moins que ce sont des membres précieux de ce forum.
Se victimiser ce n’est pas forcément aller se plaindre à tout le monde, c’est aussi entretenir en soi même que ce sont les autres qui sont méchants et rejeter sa propre responsabilité, le fait qu’on puisse avoir des schémas néfastes, se complaire dans un état d’esprit.
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BY Powercath
#1340176
Souricette, tu dis qu'on invente des trucs, mais pourtant je bases mon opinion sur ce que tu dis seulement. Tu manipules depuis le début de ton fil des notions de psychologie de comptoir comme la DA, etc. Pour un psychologue, quelqu'un qui arrive dans son bureau avec des concepts et un autodiagnostique de DA ou autre, c'est tres fréquent et oui, ils sont sur la défensives et peuvent tenter de questionner la personne en ce sens pour comprendre d'ou viennent ces idées. Non, ce n'est pas une faute professionnelle de ton psy d'avoir demandé qu'elle était ton plan (assurance invalidité ou autre) pour subsister pendant ton année sabathique si peutde temps apres la fin de tes études. Elle t'as pas posé une question douce, mais une question pour te secouer, c'est une méthode, ce n'est aucunement une faute professionnelle. Impossible que le nouveau psy est indiqué cela. Pour ce qui est du SSPT, je doutes fortement que tu es eu un diagnostique par un psychiatre. C'est un trouble que je connais très bien qui se développe dans des circonstances très particulière. Avec une recherche google tres rapide, j'ai trouvé ceci:
Quel type de traumatisme conduit au syndrome de stress post-traumatique (SSPT) ?
1. Exposition à :
Mort réelle ou menace de mort (par exemple, témoin d'un meurtre, d'un tremblement de terre, d'un grave accident de voiture, d'une guerre)
Blessures graves (par exemple, hospitalisations prolongées, brûlures graves)
Violence sexuelle (par exemple, agression sexuelle, viol)

Voila. Alors au moins que tu nous caches quelque chose, je n'en croit rien. Je ne doutes pas que tu es des symptômes qui peuvent lui ressembler, mais dire que tu souffres d'un SSPT a cause de la petite histoire que tu nous décrites de long en large et en travers dans ton premier message, c'est tres improbable.

Donc avant de dire qu'on invente des trucs, tu devrais peut-etre te regarder en face un peu.
BY Souricette
#1340177
Elieza,

Tout le monde n’est pas d’accord avec ton analyse, sinon je n’aurais pas reçu de MP en ce sens.


Powercath.
Je ne vais plus discuter avec toi, mais je ne laisserais pas dire que je suis une menteuse.
La DA n’a rien à voir. C’était une idée de mon ex et qui m’a traversé l’esprit aussi, qui n’a jamais été validée par qui que ce soit, et je ne pense pas que ça soit un diagnostic.

J’ai un diagnostic de syndrome de stress post-traumatique. Quel intérêt j’aurais à m’inventer un diagnostic? C’est quand même incroyable!
Je sais que les articles de vulgarisation sur la question aborde surtout les cas graves type guerre et j’ai aussi été étonnée d’avoir ce diagnostic au départ, mais j’ai bien eu les symptômes et si je vis une vie presque normale aujourd’hui, j’ai encore des symptômes en plus léger, et tu ne sais pas ce que j’ai traversé.

Je concède que j’ai un peu minimisé mon histoire parce que j’avais honte d’être restée avec lui, je ne voulais pas discuter de certains aspects de ma relation avec lui, car j’en avais déjà fait le tour avec ma psy.

J’ai un papier officiel qui le prouve, SSPT consécutif à des violences psychologiques prolongées, état de stress chronique prolongé, diagnostiqué à l’hôpital en consultation pluridisciplinaire avec 3 praticiens dont un psychologue et un cardiologue. Le troisième était peut être psychiatre mais je ne me rappelle plus.


J’aimerais que l’on ferme cette parenthèse, ça ne sert à rien de discuter si ma parole est mise en doute, je continuerais de discuter avec ceux que mon histoire intéresse.
#1340178
Bon....
Comme tu cites beaucoup mon nom je me sens "obligé" de venir "laver" mon "honneur"
ça fait beaucoup de crochets pour dire que j'en ai pas grand chose à faire de ton opinion.
On ne peut juger qu'à l'aune de sa propre intelligence et à ce niveau là tu ne m'as pas l'air forcément bien dotée,
donc à moins de faire des dessins je n'ai pas de moyen d'entrer en communication avec toi, et je ne suis pas doué en dessin.

Ici c'est une auberge espagnole chacun amène ce qu'il a et chacun mange ce qu'il veut, tes gesticulations n'y changeront rien je resterais qui je suis.
Je peux te donner mon nom mon adresse mon numéro de téléphone, comme certaines personnes ici l'ont déjà si ils en ont besoin.
Je ne me cache derrière personne, je suis un individu monolithique.
Mal nommer les choses c'est rajouter du malheur au monde disait Camus,
et si "ton" monde a décidé de qualifier de PTSD une petite histoire de coeur à deux balles, sache que je ne vis pas dans ce monde là
Dans mon monde on meurt, on est malade, on est mère célibataire de 3 gosses.

Tes petites piques à deux balles "ton ami Georges" georces ci" "Georges là" tu te les gardes,
c'est le prénom de mon grand père tu arrêtes de le salir en l'écrivant avec tes doigts.
Je ne suis plus intervenu sur ton sujet pourquoi tu continues à parler de moi
T'es amoureuse ?

Tu es simplement une petite bourgeoise trop gâtée et mal élevée.
Et tu veux péter plus haut que ton cul.
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BY Powercath
#1340179
J’ai un diagnostic de syndrome de stress post-traumatique. Quel intérêt j’aurais à m’inventer un diagnostic? C’est quand même incroyable!

- non pas si incroyable. Ca ne fait que démontrer ton besoin de jouer a la victime et de faire pitié.

Je sais que les articles de vulgarisation sur la question aborde surtout les cas graves type guerre.

- Parce que c'est seulement quand on a été en danger de mort (ou une atteinte importante a ton intégrité physique) ou qu'un proche a été en danger de mort (ou une atteinte importante a son intégrité physique) que ce diagnostique est valable.

J’ai un papier officiel qui le prouve, SSPT consécutif à des violences psychologiques prolongées, état de stress chronique prolongé, diagnostiqué à l’hôpital en consultation pluridisciplinaire avec 3 praticiens dont un psychologue et un cardiologue. Le troisième était peut être psychiatre mais je ne me rappelle plus.

- un psychologue ne peut pas émettre un tel diagnostique, un cardiologue non plus et le 3e tu te rappelles même plus si c'était un psychiatre... voyons....

J’aimerais que l’on ferme cette parenthèse, ça ne sert à rien de discuter si ma parole est mise en doute, je continuerais de discuter avec ceux que mon histoire intéresse.

-Je n'interviendrai plus sur ton fil non plus parce que de toute facon ca ne fait que te permettre de geindre et de jouer a la victime, ce que je ne veux pas encourager. D'autant plus que ton histoire c'est tellement gros que je commences a me demander si tu n'es pas un troll....
BY Souricette
#1340180
J’ai regardé la terminologie exacte : trouble psycho traumatique consécutif à des violences psychologiques prolongées, état de stress chronique.

Je sais, il y a une différence minime dans la formulation par rapport à ton terme, mais c’est peu ou prou la même chose, car les symptômes et le traitement sont en tout point identiques. Ma psy emdr ne fait pas la distinction dans sa pratique au quotidien, elle traite le stress post-traumatique, point barre.

Je ne suis pas venue pour me plaindre, pour la énième fois. Si je voulais le faire, je ne viendrais pas ici!

J’ajoute que le premier psy n’a pas demandé comment allez-vous vous nourrir, il a dit faudrait qu’on vous nourrisse, ce qui est bien plus méprisant et n’a pas le même sens.
Depuis quand faudrait-il secouer les gens qui font un épuisement professionnel? C’est nouveau! je ne doute pas qu’il soit intéressant de secouer un patient au profil flemmard, mais une prof on se doute que je ne suis pas flemmarde, pour en être arrivée là, entre les diplômes et le concours.

J’aurais dû répondre oui tiens, je suis pour un minimum de protection sociale en cas d’épuisement ou burnout.

Cela m’a bien été confirmé qu’il s’agissait d’une faute professionnelle, dans ce contexte!

Pour ta gouverne en France lorsque l’on est en arrêt maladie on touche 50 % de son salaire, il n’y a pas d’assurance invalidité a contracter et la vie n’est pas un mauvais film anglo-saxon.



Difficile de répondre à la pauvreté argumentaire d’Abdamiaou.

Je suis une petite bourgeoise peut-être parce que j’ai vu un psy dans le privé? Affligeant, vraiment. C’est quoi ton problème, un complexe de classe sociale?
Quant à la pique sur « mal élevée », sûrement parce que j’ai souffert d’ infantilisation de mon ex, c’est un coup bas auquel je ne répondrai même pas!

Ce que vous semblez ne pas vouloir comprendre c’est que j’ai fait tout un travail psychologique pour comprendre l’emprise subie. C’est un mécanisme insidieux dont il est difficile de s’extirper. Libérer la parole est nécessaire, et cela n’a rien à voir avec se plaindre ou se complaire.

Pensez-vous aussi que les personnes de metoo exposent leurs histoires pour se se plaindre? J’espère que non.

C’est vrai qu’il faut aussi creuser dans ses failles pour éviter que la situation ne recommence. Mais pas n’importe comment non plus, et surtout avec une personne de confiance, qui vous fait aussi confiance.

Si d’autres personnes ont été dans la même situation que moi n’hésitez pas à témoigner. Ce n’est pas parce que quelques personnes sont à côté de la plaque qu’il faut jeter le bébé avec l’eau du bain. Je serai ravie de discuter avec vous sur mon sujet ou en MP.
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