Sunwoo a écrit : ↑02 août 2022, 22:00
Bonsoir/Bonjour.
Pas spécialement le cœur à raconter quelque chose d'aussi intime d'une traite, mais il faut le faire pour contextualiser la chose.
J'ai déjà vécu un déboire sentimental dans le passé. Un amour, le premier qui a duré presque deux ans. Elle a rompu, j'ai mis deux ans à m'en remettre. Deux ans durant lesquels j'ai sûrement développé voire surdéveloppé une capacité à m'autodétruire si intense et si présente que ça me suit encore aujourd'hui. Non cette histoire ne me poursuit plus, j'ai déjà fait le deuil, mais c'est le point d'ancrage de ce qui me conduit aujourd'hui à réécrire un petit peu aujourd'hui.
Deux ans de soufrance pour deux ans de relations, déjà le ratio est pas terrible.
Cette fois, il s'agit d'une histoire qui a duré presque 10 ans. Vie commune, pas d'enfant(s), ni de contraintes à part entière. Disons qu'on s'aimait en restant dans les normes.
C'est quoi les "normes" ? Qui a écrit ce réglement ? Ta façon de voir les choses c'est la seule qui existe ?
Seulement voilà, après presque 10 ans, ma dulcinée s'est empressée d'imposer une pause.
Empressée aprés 10 ans ? Y'a comme un paradoxe, tu veux tellement paraître "littéraire" que tu écris n'importe quoi. Et ton style ampoulé approximatif est trés pénible à lire, tu manques de spontanéité.
Pause durant laquelle, de nombreuses choses interagissent.
Des choses que les "hommes" en tant que tel , ne pourraient supporter si les sentiments sont encore présents. Et c'est mon cas. Une pause est une situation dans laquelle nous sommes censés se concentrer sur nous-mêmes, réfléchir aux bonnes et mauvaises choses. Faire peser la balance et décider après un temps imparti si oui ou non nous devons réitérer ou tout briser. Mais là, la pause à servi d'échappatoire à la dulcinée pour qu'Elle s'ébahisse de sa liberté pour découvrir, pour pouvoir découvrir ou que sais je encore, d'autres hommes. En gros s'évader d'un vécu implanté et développé, pour succomber désormais aux dévolus d'autres éphèbes. Peut-être qu'il fallait qu'Elle fasse un point de son côté. Un truc bien à Elle et juste ça.
C'est de la merde et c'est incoérent, tu t'es relu ?
Je ne suis pas dupe. j'ai lu des histoires, j'ai lu tout court aussi.
J'ai vécu, j'en ai encore à apprendre.. Seulement. Bordel, ce que ça peut faire mal de savoir que la femme qu'on a aimé et qu'on aime encore, se laisse autant de liberté pour tout découvrir après des déconvenues en couple.
Ben non c'est un humain, elle fait ce qu'elle veut.
Tout ça part de beaucoup de choses que je ne pourrais résumer en quelques lignes.
Vraiment..
Mais, essayons.
Et ça recommence " je dis que je vais pas dire mais je dis quand même..."
Ca s'appelle une prétérition, tu lis beaucoup, mais le journal de Mickey ça compte pas.
On s'aimait. On s'aime probablement encore, à moins que je ne sois totalement désillusionné.
Je pense que tu veux dire déludé, utilises des mots simlples que tout le monde comprenne. Toi le premier.
Mais, Elle a besoin que je change beaucoup de ma personnalité :
Elle "avait" besoin, t'as rien fait, tu ne peux t'en prendre qu'à toi.
Que je sois plus présent (malgré le travail, les sales coups durs de la vie.)
Euh autodestruction je reléve même pas, le travail le stress les coups durs ?? tu veux dire comme ce que TOUT le monde subi? Tu me sembles avoir un ego trés surgonflé....
- Ce truc de mon passé qui me bouffe depuis toujours et qui m'a laissé une marque. Donc un psy s'impose selon Elle. (Traumatisme d'une enfance qui perdure : abandon, violence conjugale, déboires familiaux..)
Selon elle ? ben non selon toute personne censée, à lire le menu ça n'a pas l'air trés appétissant, quand on est malade on va voir le docteur, si tu t'étais cassé le bras tu mettrais juste du scotch?
Si tu lis comme tu le prétends jettes un oeil du côté de Boris Cyrulnik et de ses textes sur la résilience si tu fais un rejet catégorique des psys (ce que je peux comprendre)
- Régler mon alcoolisme qui a été engendré par l'autodestruction. (Soyons fous, ce ne serait pas drôle sinon.)
Une bouteille de sky par semaine ce n'est pas être alcoolique.
Ça en fait déjà assez pour poser une base et réfléchir sur la situation, je dois avouer.
La pause est active depuis peu, mais comme un bon méchant garçon, j'ai opté pour une rupture après pas mal d'attente, pas mal de verres dans le nez et surtout parce que je ne cautionne pas qu'une pause soit juste une situation pour trouver des plans Q à tout va.
FIn' voilà à peu près, sans les détails concrets de mon histoire. (Que je peux étayer point par point si besoin est.)
Un truc sombre, qui me fait tellement de mal que réfléchir et poser des mots dessus, n'arrange rien.
Comme le dit la copine plus haut, elle temporise la rupture, parce que tu m'as l'air sacrément instable et cérébral et elle veut pas que tu te jettes sous un train. Enrfin pas tout de suite, mais à te lire tu ne devrais pas tarder à lui en donner l'envie.
Oui j'ai déjà vécu la solitude à son paroxysme. Ce que je ne souhaite à personne par ailleurs.
Mais, avoir aimé une Femme pendant 10 ans environ.. Et se faire tej' comme un moins que rien, même si c'est justifié, ça pique. Et j'suis dépourvu de moyens là.
Genre, vraiment.
On nait seul et on meurt seul, fin de l'histoire.
Arrêtes de geindre et de contempler ton nombril.
Tu sais que c'est justifié
Tu es comme nous tous, tu n'es pas exceptionnel.
Beaucoup de masturbation intellectuelle, d'apitoiement et de prétention dans ton post.
Secoues toi tu m'as pas l'air d'être un mauvais bougre. Si t'es sur Bordeaux on boit un coup ensemble t'as besoin d'une amitié virile et de te faire secouer un peu.
Avec toute ma bienveillance.