- 20 nov. 2021, 19:04
#1330057
Bonjour à tous,
Je suis désespérée aujourd'hui. Je vous raconte mon histoire. J'ai rencontré il y a 8 mois le serveur du restaurant où je mangeais presque chaque midi. Il a fini un jour par me proposer un apéritif offert proposé par son resto et tout a commencé. Il m'a dit qu'il me cherchait depuis ces 8 mois sur les réseaux, sans succès.
Nous sommes deux personnes qui nous mettons rarement en couple, et tombons rarement voire jamais amoureux. En une semaine, il me disait je t'aime, en deux semaines me donnaient les clés de son appartement, m'envoyait des messages tout le temps, voulait me voir tout le temps, jusqu'à ce que je passe presque toutes mes soirées chez lui. Tout se passait excessivement bien, c'était passionnel. Je suis tombée malade (maladie longue durée - arrêt d'un mois). Il a voulu que je vienne passer mon arrêt chez lui. Puis, il a fini par "regretter". J'ai senti que je finissais par l'oppresser, il m'a rapproché d'annuler des rdv avec ses potes (sans me le dire pour apparemment pas me contrarier comme j'étais seule chez lui toute la journée à attendre que mon arrêt se passe). Il a fini par me faire comprendre qu'il était heureux avec moi mais n'arrivait pas à conjuguer sa vie entre moi et ses amis en même temps (il a un cercle d'amis qu'il connait depuis x années). Puis, rapidement tout s'est cassé la gueule. Je sentais limite que je le faisais chier quand j'étais là, (ex : il me regardait plus jamais en face quand je lui parlais,. Au bout de deux semaines d'arrêt, je suis repartie chez moi, pour le laisser respirer. Mais rien n'a changé, la situation s'est détériorée, j'ai essayé de lui parler à plusieurs reprises pour essayer d'améliorer la situation. Mais, malgré tout, il me disait qu'il serait brisé sans moi, qu'il ne pouvait pas vivre sans moi. Puis deux jours plus tard, quand je l'ai appelé au lendemain d'une de ses soirées où je l'ai laissé tranquil avec ses amis pour lui demander comment ça s'est passé il m'a hurlé dessus que j'étais trop là, trop oppressante et qu'il n'en pouvait plus et que c'était terminé. On s'est vus pour en discuter il m'a dit qu'il m'aimait beaucoup moins qu'au début et que ne plus voir ses potes ce n'était plus possible, et qu'il se sentait comme obligé de se justifier à chaque fois sur son planning. Je l'ai très mal pris. Sachant que quelques jours plus tôt, je lui avais dit que si ça allait pas on pouvait arrêter que je voyais bien qu'il n'était plus dedans. Il a refusé et a accouru chez moi. Je suis rentrée chez moi dans un mal immense. Malheureuse d'avoir tant donné dans une relation, en 30 ans je ne l'avais pas fait, et étais encore moins tombée amoureuse et lui également. J'ai essayé de lui écrire de chez moi, plusieurs même énormément de messages, essayé de l'appeler. Il ne répondait pas. Je suis devenue folle j'ai fini par envoyer des messages ultra agressifs, méchants, toujours sans réponse. Le lendemain, un agent de police m'appelait pour me dire qu'il avait porté plainte pour harcèlement moral et que je risquais gros. Une heure plus tard, il m'a envoyé un texto (le dernier) pour me dire que les messages envoyés étaient particulièrement dégueulasses et qu'il retirerait sa plainte s'il voyait que je m'étais calmée avec le temps. Je me suis excusée et ai fini par entrer en silence radio, depuis maintenant une semaine. De toute façon, je suis bloquée de partout ..
Que faire ?
Je suis désespérée aujourd'hui. Je vous raconte mon histoire. J'ai rencontré il y a 8 mois le serveur du restaurant où je mangeais presque chaque midi. Il a fini un jour par me proposer un apéritif offert proposé par son resto et tout a commencé. Il m'a dit qu'il me cherchait depuis ces 8 mois sur les réseaux, sans succès.
Nous sommes deux personnes qui nous mettons rarement en couple, et tombons rarement voire jamais amoureux. En une semaine, il me disait je t'aime, en deux semaines me donnaient les clés de son appartement, m'envoyait des messages tout le temps, voulait me voir tout le temps, jusqu'à ce que je passe presque toutes mes soirées chez lui. Tout se passait excessivement bien, c'était passionnel. Je suis tombée malade (maladie longue durée - arrêt d'un mois). Il a voulu que je vienne passer mon arrêt chez lui. Puis, il a fini par "regretter". J'ai senti que je finissais par l'oppresser, il m'a rapproché d'annuler des rdv avec ses potes (sans me le dire pour apparemment pas me contrarier comme j'étais seule chez lui toute la journée à attendre que mon arrêt se passe). Il a fini par me faire comprendre qu'il était heureux avec moi mais n'arrivait pas à conjuguer sa vie entre moi et ses amis en même temps (il a un cercle d'amis qu'il connait depuis x années). Puis, rapidement tout s'est cassé la gueule. Je sentais limite que je le faisais chier quand j'étais là, (ex : il me regardait plus jamais en face quand je lui parlais,. Au bout de deux semaines d'arrêt, je suis repartie chez moi, pour le laisser respirer. Mais rien n'a changé, la situation s'est détériorée, j'ai essayé de lui parler à plusieurs reprises pour essayer d'améliorer la situation. Mais, malgré tout, il me disait qu'il serait brisé sans moi, qu'il ne pouvait pas vivre sans moi. Puis deux jours plus tard, quand je l'ai appelé au lendemain d'une de ses soirées où je l'ai laissé tranquil avec ses amis pour lui demander comment ça s'est passé il m'a hurlé dessus que j'étais trop là, trop oppressante et qu'il n'en pouvait plus et que c'était terminé. On s'est vus pour en discuter il m'a dit qu'il m'aimait beaucoup moins qu'au début et que ne plus voir ses potes ce n'était plus possible, et qu'il se sentait comme obligé de se justifier à chaque fois sur son planning. Je l'ai très mal pris. Sachant que quelques jours plus tôt, je lui avais dit que si ça allait pas on pouvait arrêter que je voyais bien qu'il n'était plus dedans. Il a refusé et a accouru chez moi. Je suis rentrée chez moi dans un mal immense. Malheureuse d'avoir tant donné dans une relation, en 30 ans je ne l'avais pas fait, et étais encore moins tombée amoureuse et lui également. J'ai essayé de lui écrire de chez moi, plusieurs même énormément de messages, essayé de l'appeler. Il ne répondait pas. Je suis devenue folle j'ai fini par envoyer des messages ultra agressifs, méchants, toujours sans réponse. Le lendemain, un agent de police m'appelait pour me dire qu'il avait porté plainte pour harcèlement moral et que je risquais gros. Une heure plus tard, il m'a envoyé un texto (le dernier) pour me dire que les messages envoyés étaient particulièrement dégueulasses et qu'il retirerait sa plainte s'il voyait que je m'étais calmée avec le temps. Je me suis excusée et ai fini par entrer en silence radio, depuis maintenant une semaine. De toute façon, je suis bloquée de partout ..
Que faire ?