- 19 déc. 2018, 09:56
#1295673
Merci Eva pour ton message "urgences premiers soins"
Tu as sans doute raison, il ne me correspond pas. Pas en ce moment du moins, car "on n'est pas sur les mêmes trajectoires" m'a-t-il dit. Et ce "moment" peut durer plusieurs mois, plusieurs années... je n'entends pas l'attendre.
Mais la situation fait que c'est très difficile pour moi de me dire c'est définitif, au revoir, et passer en mode rupture. Je le fais autant que faire se peut, mais il a laissé la porte ouverte délibérément, et c'est très dur de ne pas la regarder.
Je n'ai pas réussi à lui parler de tout ce qui ne me convenait pas. Il m'a dit qu'il ne pouvait pas m'apporter tout le soutien que je lui demandais, j'ai expliqué que je commençais à comprendre que ça n'était pas à lui de me l'apporter. J'ai voulu expliquer que j'avais commencé à changer plein de choses et que j'étais sur une bonne lancée, et sa réaction m'a franchement vexée "Ah bon ? En deux semaines, tout va mieux, coup de baguette magique ?". C'était peut-être maladroit de ma part. Il a ajouté "si ça va déjà mieux, tu ne crois pas que c'est bizarre comme timing ? Ca va mieux depuis cette fameuse soirée ?". J'ai l'impression qu'il essaye de me faire dire quelque chose qu'il n'arrive pas à dire.
J'ai réussi à dire que la relation qu'on avait ces dernières semaines, je n'en voulais plus. J'ai réussi à lui dire que j'étais contente de cette pause (sincèrement), mais quand il a tourné ça en "rupture-réversible" je me suis un peu énervée, ça ça ne me convient pas (mais ai-je le choix comme tu dis ??). Je n'ai pas réussi à aller au-delà. Tu as raison, mais je pense m'être affirmée sur les points essentiels. Ca ne m'empêche pas de subir le truc c'est sûr.
Pour te répondre, non, ça ne me ferait pas spécialement plaisir de me rapprocher de mes parents pour les fêtes de fin d'année. Enfin le mot "plaisir" n'a pas de sens pour moi dans cette situation. J'ai longtemps vu ma maison d'enfance et ma ville natale comme un refuge, et il y a quelques temps, les relations se sont tellement envenimées que j'ai perdu ce refuge précieux. Je n'y retourne plus que 2 ou 3 fois par an, alors même que j'adore ma ville, j'adore les lieux où j'ai grandi, et j'aime passer (un PETIT PEU) de temps avec mes parents. C'est très difficile, c'est une épreuve supplémentaire quelque part. Mais c'est un lieu de repos que j'accueille avec reconnaissance en cette période.
Désormais je considère que nous ne sommes plus ensemble, je veux l'oublier et vivre pour moi, quels que soient ses mots.
Tu as sans doute raison, il ne me correspond pas. Pas en ce moment du moins, car "on n'est pas sur les mêmes trajectoires" m'a-t-il dit. Et ce "moment" peut durer plusieurs mois, plusieurs années... je n'entends pas l'attendre.
Mais la situation fait que c'est très difficile pour moi de me dire c'est définitif, au revoir, et passer en mode rupture. Je le fais autant que faire se peut, mais il a laissé la porte ouverte délibérément, et c'est très dur de ne pas la regarder.
Je n'ai pas réussi à lui parler de tout ce qui ne me convenait pas. Il m'a dit qu'il ne pouvait pas m'apporter tout le soutien que je lui demandais, j'ai expliqué que je commençais à comprendre que ça n'était pas à lui de me l'apporter. J'ai voulu expliquer que j'avais commencé à changer plein de choses et que j'étais sur une bonne lancée, et sa réaction m'a franchement vexée "Ah bon ? En deux semaines, tout va mieux, coup de baguette magique ?". C'était peut-être maladroit de ma part. Il a ajouté "si ça va déjà mieux, tu ne crois pas que c'est bizarre comme timing ? Ca va mieux depuis cette fameuse soirée ?". J'ai l'impression qu'il essaye de me faire dire quelque chose qu'il n'arrive pas à dire.
J'ai réussi à dire que la relation qu'on avait ces dernières semaines, je n'en voulais plus. J'ai réussi à lui dire que j'étais contente de cette pause (sincèrement), mais quand il a tourné ça en "rupture-réversible" je me suis un peu énervée, ça ça ne me convient pas (mais ai-je le choix comme tu dis ??). Je n'ai pas réussi à aller au-delà. Tu as raison, mais je pense m'être affirmée sur les points essentiels. Ca ne m'empêche pas de subir le truc c'est sûr.
Pour te répondre, non, ça ne me ferait pas spécialement plaisir de me rapprocher de mes parents pour les fêtes de fin d'année. Enfin le mot "plaisir" n'a pas de sens pour moi dans cette situation. J'ai longtemps vu ma maison d'enfance et ma ville natale comme un refuge, et il y a quelques temps, les relations se sont tellement envenimées que j'ai perdu ce refuge précieux. Je n'y retourne plus que 2 ou 3 fois par an, alors même que j'adore ma ville, j'adore les lieux où j'ai grandi, et j'aime passer (un PETIT PEU) de temps avec mes parents. C'est très difficile, c'est une épreuve supplémentaire quelque part. Mais c'est un lieu de repos que j'accueille avec reconnaissance en cette période.
Désormais je considère que nous ne sommes plus ensemble, je veux l'oublier et vivre pour moi, quels que soient ses mots.