- 21 mars 2017, 09:43
#1234423
Bonjour ma belle,
Triste nouvelle. Mais autant qu'elle te fasse souffrir maintenant, je peux te promettre que ça te fera avancer.
Pour ce qui est du ici et maintenant, la priorité est de t'entourer, et de prendre soin de toi.
Il est probable que cette fille ne soit rien du tout, comme tu dis tu vas souvent à des concerts avec un mec, moi aussi, donc ça peut ne rien être du tout. Mais en fait ça changerait quoi ? Qu'il soit avec une nouvelle fille ou pas, de toute façon ça ne change rien au fait que tu dois continuer à faire ton deuil. La douleur est vive évidemment, et rien qu'à te lire et au souvenir de telles nouvelles qui me sont tombées dessus, je sais à quel point tu as envie de vomir, de mourir, de t'anéantir dans le premier truc qui passe et j'ai les larmes aux yeux en t'écrivant ça parce que je souhaiterais que tu te sentes heureuse, et que c'est juste trop nul ce genre de nouvelles.
Si tu étais sur Paris je sauterais dans le premier métro pour t'offrir un café.
Tu vas vivre dans un monde irréel pendant quelques jours, avec l'impression de revivre la rupture. C'est ça qui sera le plus dur. Mais ça passe, ça passe toujours, et à ce moment-là tu pourras essayer de comprendre ce que tu ressens : dégoût ? colère ? déception ? etc etc.
L'urgence pour le moment est de tenir jusqu'à ce que la vague passe.
Reviens ici autant de fois que tu veux, je serai là.
Je t'embrasse
Triste nouvelle. Mais autant qu'elle te fasse souffrir maintenant, je peux te promettre que ça te fera avancer.
Pour ce qui est du ici et maintenant, la priorité est de t'entourer, et de prendre soin de toi.
Il est probable que cette fille ne soit rien du tout, comme tu dis tu vas souvent à des concerts avec un mec, moi aussi, donc ça peut ne rien être du tout. Mais en fait ça changerait quoi ? Qu'il soit avec une nouvelle fille ou pas, de toute façon ça ne change rien au fait que tu dois continuer à faire ton deuil. La douleur est vive évidemment, et rien qu'à te lire et au souvenir de telles nouvelles qui me sont tombées dessus, je sais à quel point tu as envie de vomir, de mourir, de t'anéantir dans le premier truc qui passe et j'ai les larmes aux yeux en t'écrivant ça parce que je souhaiterais que tu te sentes heureuse, et que c'est juste trop nul ce genre de nouvelles.
Si tu étais sur Paris je sauterais dans le premier métro pour t'offrir un café.
Tu vas vivre dans un monde irréel pendant quelques jours, avec l'impression de revivre la rupture. C'est ça qui sera le plus dur. Mais ça passe, ça passe toujours, et à ce moment-là tu pourras essayer de comprendre ce que tu ressens : dégoût ? colère ? déception ? etc etc.
L'urgence pour le moment est de tenir jusqu'à ce que la vague passe.
Reviens ici autant de fois que tu veux, je serai là.
Je t'embrasse