- 09 janv. 2016, 01:30
#1115153
Bonsoir,
J'ai pris un congé d'une bonne semaine de ce forum. Ayant besoin de réfléchir à tout ce que j'ai vécu, tout ce que j'ai lu ici, tout mon cheminement.
Ma relation pourtant "parfaite" s'est clôturée après 18 mois de passion. Sans me laisser douter de quoi que ce soit, il me quitte brusquement un jour pour une autre, m'ayant dit la veille encore un "je t'aime ", sans la moindre "froideur " ou "distance" pour que je me doute de quoi que ce soit... J'ai sombré.
Lorsqu'une telle chose nous arrive....c'est l'enfer, littéralement, sur Terre. Et je l'ai vécu l'enfer. En un mois j'ai perdu 10 kilos. Je ne mangeais plus, passait des journées complètes en état de crise, pleurant jusqu'à l'épuisement, m'endormant dans mes larmes. J'ai fais plein d'interdits : l'appeler au secours les jours qui ont suivi la rupture (il était gentil, disant qu'il ne me sortait pas de sa vie, qu'on serait amis). Je lui ai fait des déclarations enflammées, ne croyant pas qu'il pouvait avoir arrêté de m'aimer ainsi, d'un claquement de doigt.
Les deux premières semaines donc, je sentais que j'étais en train de mourir, tout simplement. Je manquais d'air. Je manquais de tout ce qu'il ne me fournissait plus : me sentir aimée, désirée, belle et intéressante.
J'ai dévoré tous les articles sur les méthodes pour récupérer son ex. J'ai écris ici, parlé à des gens qui m'ont donnée du courage pour tenir, qui m'ont aidée à voir plus clair dans mon histoire, qui m'ont fait comprendre que l'amitié avec mon ex était plus utile à lui qu'à moi. Que je devais lâcher prise pour survivre. Lâcher prise... plus facile à dire qu'à faire. Mais c'est pourtant la clé. Bien qu'on ne soit pas près encore sans la période de choc/déni.
Après 5 semaines , jai réussi à couper les ponts avec lui. Du moins je lui ai spécifié que je n'écrirais plus. Que j'étais heureuse de son nouveau bonheur. Je l'ai fais autant pour lui que pour moi : lui aussi doit tourner la page, comme moi. Aujourdhui, une semaine après cette décision, je fais la découverte de certains faits qui ne sont pas nouveaux, car j'ai bien sûr lu tout ça dans divers articles ici et ailleurs, mais je suis heureuse de constater que ce n'est pas que du "blabla". Ce qu'on dit sur la rupture amoureuse, ses étapes, comment la surmonter est tout à fait véridique ! Et notre plus grand ennemi pour y parvenir est nous même..... Uniquement nous-même.
J'ai donc découvert que :
Durant le déni, il parait impossible d'avancer parce qu'on se nourri d'espoirs. Il est trop tôt pour prendre la moindre décision. Notre rationalité a dit "bye". On est incapable de voir clairement les faiblesses de notre ancienne relation car on vient de subir une des pires choses qu'un humain peut vivre : l'abandon. Cette période est la pire. Mais elle est nécessaire. Notre cerveau empêche la douleur de nous pénétrer complètement. Il nous met en mode "veille" et ça dure de quelques jours à quelques semaines (pour moi, 3 semaines environ). C'est le temps de pleurer. Et il faut le faire. Pleurer épuise, mais évacue aussi ces émotions ultra difficiles que l'on ressent. Pendant ces premiers jours, il faut donc pleurer autant qu'on en a besoin.
Lorsqu'on émerge de cette période, on a les idées un peu plus claires et souvent, c'est le moment où on devient en colère. Alors qu'on n'avait pas les armes pour évaluer avec justesse ce qui s'est passé dans le choc/déni, soudainement on se met à tout analyser. Et dépendant la façon dont notre ex nous a quitté (avec douceur ou brusquement, avec explications claires ou sans elles), on ressent une colère intense. Cette période fait du bien. Elle nous change un peu de notre désespoir initial. Toutefois, si on est agressive et que l'on risque d'être insultante avec notre ex, vaut mieux attendre pour demander des explications supplémentaires s'il manque des morceaux du casse tête. Car on risque de regretter notre intervention ensuite et on a pas besoin de ça en plus. Pas besoin de sentir qu'on s'est enfoncé davantage et de devoir résister à l'envie de s'excuser. Car insulter l'autre nous culpabilise. S'excuser nous humilie. Je le disais : nous sommes nos propres ennemies.
Je fais une parenthèse sur le fait de demander des explications à l'ex. Alors que partout on dit qu'il FAUT un SR strict à tout prix dès la rupture, je fais partie des rares (je crois) qui pense le contraire. Oh je ne valorise pas l'amitié et encore moins de le harceler. Mais j'ai la conviction profonde qu'on ne pourra jamais passer à autre chose si on ne comprend pas ce qui s'est passé. L'ex nous a aimé pendant un temps. On mérite de savoir pourquoi on est quitté. C'est ce que j'ai dit au mien après quelques jours (ce n'est pas idéal de le faire dans le choc déni car on a pas l'esprit très vif à ce moment là, mais moi, j'avais besoin de ces réponses et je me suis écoutée. J'ai exigé des réponses à mes questions et j'ai eu la "chance" d'avoir un ex avec un minimum de respect pour me les dire). Un deuil ne peut se faire si on ne comprend pas ce qui s'est passé. Que nous soyons en cause ou pas dans la rupture. Car parfois il y a des conflits, mais dans mon cas, notre entente était parfaite alors je n'arrivais pas à "intégrer" que c'était fini.
Ensuite. .. La déprime. Une grande tristesse nous envahit. On se sent seule. On se sent parfois minable. On ne comprend pas encore que ce n'est pas parce que on est pas "aimable" que ça n'a pas fonctionné : l'autre vivait une relation différente de la nôtre. Et c'est à ce moment que l'on peut flancher et prendre de mauvaises décisions comme lui écrire, accepter les miettes d'une amitié (mon erreur au départ) ou pire encore . Mais on s'égare en faisant ça ! Il y a une grande vérité sur l'amour : l'amour suscite l'intérêt pour l'autre ! Si notre ex voulait de nous, il serait là. Peu importe que nous ayons fait un SR ou brisé les interdits . La vérité c'est qu'il nous a quitté. S'il nous aimait, il serait toujours là. En le comprenant, on se surprend soi-même en se levant un matin et en se disant : je dois accepter car je ne peux pas changer ça, que je reste dans le fond de mon lit ou que je prenne les moyens de rebondir. Le chemin sera long et ça ne se fera pas en un jour. Mais juste de se dire cette phrase : "C'est bien fini. Je dois l'accepter", on se dispose à le faire. C'est à ce moment là qu'il faut réussir à s'entourer, à se changer les idées, à ne surtout pas se nourrir de chimères comme celle d'un espoir de retour. Que vous soyez convaincue que personne ne l'aimera jamais comme vous l'aimez ne le ramènera pas. Et renoncer à ce genre d'espoir ne l'empêchera pas non plus de revenir si c'est ce qu'IL SOUHAITE un jour. C'est ça la clé : renoncer pour reprendre le pouvoir sur sa vie. Renoncer pour guérir enfin, ou plutôt pour se donner les moyens de guérir. Car l'espoir nous rattache à l'autre, nous emprisonne dans le passé de cette relation qui, de toute façon, n'existera plus JAMAIS telle qu'elle l'était. Si un possible retour se fait un jour, ce sera pour quelque chose de totalement nouveau. Mais quand vous aurez passé quelque temps dans la phase de l'acceptation (plus vite vous suivrez les conseils, plus vite vous l'atteindrez), vous vous surprendrez encore une fois en faisant quelque découvertes comme : est-ce que c'est lui comme personne qui me manque ou c'est le fait D'ÊTRE en relation ? ? Des trucs ne clochaient-ils chez lui par hasard? Car il n'est pas parfait. C'est un humain après tout ! C'est le temps de le voir avec réalité et de faire la liste de ce qui vous déplaisait, autant dans la relation que sur sa personne. Et, finalement, est-ce que je veux vraiment qu'une personne en qui je n'ai plus confiance dans son amour pour moi revienne ? Son amour n'a pas été assez fort cette fois... le serait-il une deuxième fois ? Il faut y réfléchir car un retour voudrait dire beaucoup de craintes, vivre dans la peur que ça se reproduise, de le perdre encore. D'ailleurs, surtout s'il revient vite. Car si la relation n'a pas fonctionnée, c'est qu'il y avait quelque chose qui clochait, qu'on ne vivait pas la même histoire et que les DEUX actants de cette relation doivent cheminer avant de penser pouvoir essayer à nouveau.
Pour ma part, s'il revenait ce soir à genou, je crois que je serais touchée et déchirée. C'est difficile de me l'admettre, mais je sais que c'est beaucoup mieux qu'il y a 3 semaines où je l'aurais épousé aussitôt ! J'ai découvert à quel point j'ai cheminé à travers la relecture du journal que j'ai tenu depuis le premier jour de ma rupture (je vous conseille FORTEMENT de faire ça. Écrire est salutaire mais ça permet aussi de poser un regard sur notre évolution et de s'en féliciter). Qu'est ce que ce sera dans 1 mois ? Je crois que dans quelque temps, oui, je serai dans la capacité de me dire à moi même un "Non je ne veux plus de lui !" symbolique. Je serai capable de dire que c'est fini pour MOI AUSSI !
Et c'est pour ça que ce site devrait plutôt s'appeler "Je survi au départ de mon ex" plutôt que "je récupère mon ex". Car au final, ce qu'il faut, c'est se "récupérer soi même". C'est se remette au centre de notre propre vie. C'est profiter de l'occasion, quand le choc déni et la colère s'estompent, pour découvrir qui l'on est, ce que l'on veut (en dehors de vouloir "une personne :p) et ce que. .. l'on ne voudra plus jamais.
Plein d'amour
Marianne
J'ai pris un congé d'une bonne semaine de ce forum. Ayant besoin de réfléchir à tout ce que j'ai vécu, tout ce que j'ai lu ici, tout mon cheminement.
Ma relation pourtant "parfaite" s'est clôturée après 18 mois de passion. Sans me laisser douter de quoi que ce soit, il me quitte brusquement un jour pour une autre, m'ayant dit la veille encore un "je t'aime ", sans la moindre "froideur " ou "distance" pour que je me doute de quoi que ce soit... J'ai sombré.
Lorsqu'une telle chose nous arrive....c'est l'enfer, littéralement, sur Terre. Et je l'ai vécu l'enfer. En un mois j'ai perdu 10 kilos. Je ne mangeais plus, passait des journées complètes en état de crise, pleurant jusqu'à l'épuisement, m'endormant dans mes larmes. J'ai fais plein d'interdits : l'appeler au secours les jours qui ont suivi la rupture (il était gentil, disant qu'il ne me sortait pas de sa vie, qu'on serait amis). Je lui ai fait des déclarations enflammées, ne croyant pas qu'il pouvait avoir arrêté de m'aimer ainsi, d'un claquement de doigt.
Les deux premières semaines donc, je sentais que j'étais en train de mourir, tout simplement. Je manquais d'air. Je manquais de tout ce qu'il ne me fournissait plus : me sentir aimée, désirée, belle et intéressante.
J'ai dévoré tous les articles sur les méthodes pour récupérer son ex. J'ai écris ici, parlé à des gens qui m'ont donnée du courage pour tenir, qui m'ont aidée à voir plus clair dans mon histoire, qui m'ont fait comprendre que l'amitié avec mon ex était plus utile à lui qu'à moi. Que je devais lâcher prise pour survivre. Lâcher prise... plus facile à dire qu'à faire. Mais c'est pourtant la clé. Bien qu'on ne soit pas près encore sans la période de choc/déni.
Après 5 semaines , jai réussi à couper les ponts avec lui. Du moins je lui ai spécifié que je n'écrirais plus. Que j'étais heureuse de son nouveau bonheur. Je l'ai fais autant pour lui que pour moi : lui aussi doit tourner la page, comme moi. Aujourdhui, une semaine après cette décision, je fais la découverte de certains faits qui ne sont pas nouveaux, car j'ai bien sûr lu tout ça dans divers articles ici et ailleurs, mais je suis heureuse de constater que ce n'est pas que du "blabla". Ce qu'on dit sur la rupture amoureuse, ses étapes, comment la surmonter est tout à fait véridique ! Et notre plus grand ennemi pour y parvenir est nous même..... Uniquement nous-même.
J'ai donc découvert que :
Durant le déni, il parait impossible d'avancer parce qu'on se nourri d'espoirs. Il est trop tôt pour prendre la moindre décision. Notre rationalité a dit "bye". On est incapable de voir clairement les faiblesses de notre ancienne relation car on vient de subir une des pires choses qu'un humain peut vivre : l'abandon. Cette période est la pire. Mais elle est nécessaire. Notre cerveau empêche la douleur de nous pénétrer complètement. Il nous met en mode "veille" et ça dure de quelques jours à quelques semaines (pour moi, 3 semaines environ). C'est le temps de pleurer. Et il faut le faire. Pleurer épuise, mais évacue aussi ces émotions ultra difficiles que l'on ressent. Pendant ces premiers jours, il faut donc pleurer autant qu'on en a besoin.
Lorsqu'on émerge de cette période, on a les idées un peu plus claires et souvent, c'est le moment où on devient en colère. Alors qu'on n'avait pas les armes pour évaluer avec justesse ce qui s'est passé dans le choc/déni, soudainement on se met à tout analyser. Et dépendant la façon dont notre ex nous a quitté (avec douceur ou brusquement, avec explications claires ou sans elles), on ressent une colère intense. Cette période fait du bien. Elle nous change un peu de notre désespoir initial. Toutefois, si on est agressive et que l'on risque d'être insultante avec notre ex, vaut mieux attendre pour demander des explications supplémentaires s'il manque des morceaux du casse tête. Car on risque de regretter notre intervention ensuite et on a pas besoin de ça en plus. Pas besoin de sentir qu'on s'est enfoncé davantage et de devoir résister à l'envie de s'excuser. Car insulter l'autre nous culpabilise. S'excuser nous humilie. Je le disais : nous sommes nos propres ennemies.
Je fais une parenthèse sur le fait de demander des explications à l'ex. Alors que partout on dit qu'il FAUT un SR strict à tout prix dès la rupture, je fais partie des rares (je crois) qui pense le contraire. Oh je ne valorise pas l'amitié et encore moins de le harceler. Mais j'ai la conviction profonde qu'on ne pourra jamais passer à autre chose si on ne comprend pas ce qui s'est passé. L'ex nous a aimé pendant un temps. On mérite de savoir pourquoi on est quitté. C'est ce que j'ai dit au mien après quelques jours (ce n'est pas idéal de le faire dans le choc déni car on a pas l'esprit très vif à ce moment là, mais moi, j'avais besoin de ces réponses et je me suis écoutée. J'ai exigé des réponses à mes questions et j'ai eu la "chance" d'avoir un ex avec un minimum de respect pour me les dire). Un deuil ne peut se faire si on ne comprend pas ce qui s'est passé. Que nous soyons en cause ou pas dans la rupture. Car parfois il y a des conflits, mais dans mon cas, notre entente était parfaite alors je n'arrivais pas à "intégrer" que c'était fini.
Ensuite. .. La déprime. Une grande tristesse nous envahit. On se sent seule. On se sent parfois minable. On ne comprend pas encore que ce n'est pas parce que on est pas "aimable" que ça n'a pas fonctionné : l'autre vivait une relation différente de la nôtre. Et c'est à ce moment que l'on peut flancher et prendre de mauvaises décisions comme lui écrire, accepter les miettes d'une amitié (mon erreur au départ) ou pire encore . Mais on s'égare en faisant ça ! Il y a une grande vérité sur l'amour : l'amour suscite l'intérêt pour l'autre ! Si notre ex voulait de nous, il serait là. Peu importe que nous ayons fait un SR ou brisé les interdits . La vérité c'est qu'il nous a quitté. S'il nous aimait, il serait toujours là. En le comprenant, on se surprend soi-même en se levant un matin et en se disant : je dois accepter car je ne peux pas changer ça, que je reste dans le fond de mon lit ou que je prenne les moyens de rebondir. Le chemin sera long et ça ne se fera pas en un jour. Mais juste de se dire cette phrase : "C'est bien fini. Je dois l'accepter", on se dispose à le faire. C'est à ce moment là qu'il faut réussir à s'entourer, à se changer les idées, à ne surtout pas se nourrir de chimères comme celle d'un espoir de retour. Que vous soyez convaincue que personne ne l'aimera jamais comme vous l'aimez ne le ramènera pas. Et renoncer à ce genre d'espoir ne l'empêchera pas non plus de revenir si c'est ce qu'IL SOUHAITE un jour. C'est ça la clé : renoncer pour reprendre le pouvoir sur sa vie. Renoncer pour guérir enfin, ou plutôt pour se donner les moyens de guérir. Car l'espoir nous rattache à l'autre, nous emprisonne dans le passé de cette relation qui, de toute façon, n'existera plus JAMAIS telle qu'elle l'était. Si un possible retour se fait un jour, ce sera pour quelque chose de totalement nouveau. Mais quand vous aurez passé quelque temps dans la phase de l'acceptation (plus vite vous suivrez les conseils, plus vite vous l'atteindrez), vous vous surprendrez encore une fois en faisant quelque découvertes comme : est-ce que c'est lui comme personne qui me manque ou c'est le fait D'ÊTRE en relation ? ? Des trucs ne clochaient-ils chez lui par hasard? Car il n'est pas parfait. C'est un humain après tout ! C'est le temps de le voir avec réalité et de faire la liste de ce qui vous déplaisait, autant dans la relation que sur sa personne. Et, finalement, est-ce que je veux vraiment qu'une personne en qui je n'ai plus confiance dans son amour pour moi revienne ? Son amour n'a pas été assez fort cette fois... le serait-il une deuxième fois ? Il faut y réfléchir car un retour voudrait dire beaucoup de craintes, vivre dans la peur que ça se reproduise, de le perdre encore. D'ailleurs, surtout s'il revient vite. Car si la relation n'a pas fonctionnée, c'est qu'il y avait quelque chose qui clochait, qu'on ne vivait pas la même histoire et que les DEUX actants de cette relation doivent cheminer avant de penser pouvoir essayer à nouveau.
Pour ma part, s'il revenait ce soir à genou, je crois que je serais touchée et déchirée. C'est difficile de me l'admettre, mais je sais que c'est beaucoup mieux qu'il y a 3 semaines où je l'aurais épousé aussitôt ! J'ai découvert à quel point j'ai cheminé à travers la relecture du journal que j'ai tenu depuis le premier jour de ma rupture (je vous conseille FORTEMENT de faire ça. Écrire est salutaire mais ça permet aussi de poser un regard sur notre évolution et de s'en féliciter). Qu'est ce que ce sera dans 1 mois ? Je crois que dans quelque temps, oui, je serai dans la capacité de me dire à moi même un "Non je ne veux plus de lui !" symbolique. Je serai capable de dire que c'est fini pour MOI AUSSI !
Et c'est pour ça que ce site devrait plutôt s'appeler "Je survi au départ de mon ex" plutôt que "je récupère mon ex". Car au final, ce qu'il faut, c'est se "récupérer soi même". C'est se remette au centre de notre propre vie. C'est profiter de l'occasion, quand le choc déni et la colère s'estompent, pour découvrir qui l'on est, ce que l'on veut (en dehors de vouloir "une personne :p) et ce que. .. l'on ne voudra plus jamais.
Plein d'amour
Marianne
Modifié en dernier par Marianne07 le 09 janv. 2016, 03:59, modifié 4 fois.