- 04 août 2008, 12:58
#4925
Voici qq lignes tirées du Mars et venus refont leur vie, je pense que cela pourra vous aider a désormais avancer sans lui/elle... et puis nous savons tous que si vous etes passé à la phase reconquette, c'est que vous avez réussit à accomplir déja beaucoup de choses, que vous avez changer, que vous pouvez vivre sans lui / elle et que désormais une nouvelle s'ouvre à vous.
si vous avez tjr encore des ressentiments vis a vis de votre histoire passée, je vous laisse ces qq lignes
"Pour se délivrer de son attachement à un être ou à une relation, il faut laisser monter en soi quatre émotions curatives : la colère, la tristesse, la peur et le regret. Tant que l’on continue à se sentir triste ou en colère, on est encore d’une manière ou d’une autre prisonnier du passé. La peur et le regret indiquent quant à eux que l’on n’est pas encore ouvert aux nouvelles possibilités qui s’offrent à soi. Chacune de ces quatre émotions est essentielle pour parvenir à se libérer du passé afin de refaire sa vie, et toutes jouent un rôle primordial dans le processus par lequel on se délivre d’un lien amoureux pour remettre les compteurs de son cœur à zéro.
Tout comme un os brisé à besoin d’être remis en place pour se ressouder correctement, nos désirs doivent être eux aussi réorganisés. Au lieu de continuer à attendre que nos souhaits et nos besoins soient comblés par une unique source, il nous faut nous ouvrir à d’autres sources de tendresse et d’amour. Explorer et éprouver les quatre émotions qui guérissent confère la liberté de rectifier ses désirs, ses attentes, ses besoins et ses espoirs. Etudions ensemble le rôle exact de chacune d’elles.
Première émotion qui guérit : la colère.
La colère permet d’analyser sur le plan émotionnel les évènements que vous n’auriez pas voulu voir se produire. C’est l’expression émotionnelle du fait que nous n’obtenons pas ce que nous voulons. C’est aussi un signal d’alarme qui nous intime l’ordre d’interrompre nos activités courantes pour nous accoutumer aux données nouvelles de notre existence. Après un deuil ou une rupture, si l’on ne s’octroie pas l’autorisation d’être furieux, on risque de rester bloqué dans un état d’insensibilité, privé de vie et de passion. La colère libère de l’indifférence et remet les êtres en contact avec leur appétit d’amour et de vie. De ce fait, elle permet de s’affranchir de ses anciens désirs afin de pouvoir commencer à accueillir des envies et des attentes neuves. Ces aspirations vierges aident à s’ouvrir à toute éventualité. Le « je veux être aimé(e) de mon partenaire d’antan » se mue en un bien plus vaste « je veux être aimé ». Et ce désir inconditionnel porte en lui la faculté intuitive de chacun d’accueillir de nouvelles sources d’amour.
Deuxième émotion qui guérit : la tristesse.
La tristesse permet d’explorer sur un plan émotionnel tout ce qui ne s’est pas produit et que l’on aurait aimé voir se produire. Il s’agit de l’expression émotionnelle de désirs inassouvis. Après une rupture ou un deuil, si on ne s’octroie pas le droit d’être triste, on ne parviendra pas à adapter ses exigences à ce qui est désormais possible. S’abandonner à sa tristesse permet de reprendre contact avec sa capacité d’aimer, de chérir et d’apprécier ce que l’on possède. Une telle démarche permet de cesser de combattre la réalité et d’accepter peu à peu la perte subie. Cette reddition constitue la première étape du réajustement de nos attentes en fonction des conditions nouvelles qui régissent à présent notre univers. Contrairement à ce que l’on croit souvent, regarder en arrière et explorer chaque nuance de nos rêves déçus est essentiel pour ce faire. Ainsi, le « je compte sur l’amour de mon partenaire » pourra se transformer en un « je m’attends à ce qu’on m’aime » annonciateur d’une renaissance encore timide de sa confiance en sa capacité d’exaucer ses propres vœux.
Troisième émotion qui guérit : la peur.
La peur permet de se pencher sur ce qui pourrait se produire et que nous ne souhaitons pas voir arriver. Ce n’est pas un mauvais pressentiment, mais l’expression émotionnelle de ce que nous craigons. Admettre que l’on redoute l’avenir et son cortège d’évènements imprévisibles aide à reprendre contact avec sa vulnérabilité naturelle et, par suite, à mieux distinguer ses besoins ainsi que les appuis sur lesquels on peut désormais compter. Ce qui aide à s’ouvrir pour accueillir l’aide nécessaire et emplit le cœur de courage et de gratitude.
Quatrième émotion qui guérit : le regret.
Le regret exprime sur le plan émotionnel ce qui ne peut plus se produire mais qu’on aurait aimé voir se produire. Regretter, c’est admettre en son cœur que ses souhaits ne peuvent pas toujours se réaliser, et reconnaître son incapacité à modifier le passé. Pour se délivrer de ce dernier, s’incliner devant cette réalité est primordial. Se pencher ainsi sur ce qui n’est pas possible incite en effet à progresser pour mieux distinguer ce qui est possible. Ce point clarifié, on pourra plus aisément accueillir la compassion nécessaire à la bonne cicatrisation de ses blessures et, à terme, trouver l’inspiration qui permettra de donner à nouveau son cœur. En somme, la résignation émotionnelle qui accompagne les regrets apporte la paix. Peu à peu, au fil de ce processus, on abandonnera ses espoirs passés au profit de nouveaux. « J’espère être aimé » remplacera alors : « Je voudrais que mon partenaire soit là pour m’aimer. » Cet espoir tout simple porte en lui l’intention et la motivation cruciales pour entamer une nouvelle vie. Il faut que la lumière d’un espoir neuf perce les ténèbres du désespoir pour que l’on sente de nouveau pleinement l’amour baigner son cœur. Alors seulement on se sentira délivré du chagrin. »
Enfin, l’étape ultime de votre processus de guérison est de pardonner la personne que vous avez aimé, quel que soit le mal qu’elle vous ait fait. Faute de quoi, vous risquez de devenir aussi desséché qu’un vieux raisin. Pardonner ne signifie pas se réconcilier. Cela signifie remettre les fautes de l’autre. Ne vous forcez pas. Tout viendra en temps voulu. Si un jour vous vous surprenez en train d’évoquer cette personne avec bienveillance, sans aucune haine ni jalousie au fond de votre cœur, ce sera le signe que vous êtes complètement guéri et prêt à passer à autre chose.
Plein de bonheur de votre nouvelle vie et puis venez nous donner des nouvelles
si vous avez tjr encore des ressentiments vis a vis de votre histoire passée, je vous laisse ces qq lignes
"Pour se délivrer de son attachement à un être ou à une relation, il faut laisser monter en soi quatre émotions curatives : la colère, la tristesse, la peur et le regret. Tant que l’on continue à se sentir triste ou en colère, on est encore d’une manière ou d’une autre prisonnier du passé. La peur et le regret indiquent quant à eux que l’on n’est pas encore ouvert aux nouvelles possibilités qui s’offrent à soi. Chacune de ces quatre émotions est essentielle pour parvenir à se libérer du passé afin de refaire sa vie, et toutes jouent un rôle primordial dans le processus par lequel on se délivre d’un lien amoureux pour remettre les compteurs de son cœur à zéro.
Tout comme un os brisé à besoin d’être remis en place pour se ressouder correctement, nos désirs doivent être eux aussi réorganisés. Au lieu de continuer à attendre que nos souhaits et nos besoins soient comblés par une unique source, il nous faut nous ouvrir à d’autres sources de tendresse et d’amour. Explorer et éprouver les quatre émotions qui guérissent confère la liberté de rectifier ses désirs, ses attentes, ses besoins et ses espoirs. Etudions ensemble le rôle exact de chacune d’elles.
Première émotion qui guérit : la colère.
La colère permet d’analyser sur le plan émotionnel les évènements que vous n’auriez pas voulu voir se produire. C’est l’expression émotionnelle du fait que nous n’obtenons pas ce que nous voulons. C’est aussi un signal d’alarme qui nous intime l’ordre d’interrompre nos activités courantes pour nous accoutumer aux données nouvelles de notre existence. Après un deuil ou une rupture, si l’on ne s’octroie pas l’autorisation d’être furieux, on risque de rester bloqué dans un état d’insensibilité, privé de vie et de passion. La colère libère de l’indifférence et remet les êtres en contact avec leur appétit d’amour et de vie. De ce fait, elle permet de s’affranchir de ses anciens désirs afin de pouvoir commencer à accueillir des envies et des attentes neuves. Ces aspirations vierges aident à s’ouvrir à toute éventualité. Le « je veux être aimé(e) de mon partenaire d’antan » se mue en un bien plus vaste « je veux être aimé ». Et ce désir inconditionnel porte en lui la faculté intuitive de chacun d’accueillir de nouvelles sources d’amour.
Deuxième émotion qui guérit : la tristesse.
La tristesse permet d’explorer sur un plan émotionnel tout ce qui ne s’est pas produit et que l’on aurait aimé voir se produire. Il s’agit de l’expression émotionnelle de désirs inassouvis. Après une rupture ou un deuil, si on ne s’octroie pas le droit d’être triste, on ne parviendra pas à adapter ses exigences à ce qui est désormais possible. S’abandonner à sa tristesse permet de reprendre contact avec sa capacité d’aimer, de chérir et d’apprécier ce que l’on possède. Une telle démarche permet de cesser de combattre la réalité et d’accepter peu à peu la perte subie. Cette reddition constitue la première étape du réajustement de nos attentes en fonction des conditions nouvelles qui régissent à présent notre univers. Contrairement à ce que l’on croit souvent, regarder en arrière et explorer chaque nuance de nos rêves déçus est essentiel pour ce faire. Ainsi, le « je compte sur l’amour de mon partenaire » pourra se transformer en un « je m’attends à ce qu’on m’aime » annonciateur d’une renaissance encore timide de sa confiance en sa capacité d’exaucer ses propres vœux.
Troisième émotion qui guérit : la peur.
La peur permet de se pencher sur ce qui pourrait se produire et que nous ne souhaitons pas voir arriver. Ce n’est pas un mauvais pressentiment, mais l’expression émotionnelle de ce que nous craigons. Admettre que l’on redoute l’avenir et son cortège d’évènements imprévisibles aide à reprendre contact avec sa vulnérabilité naturelle et, par suite, à mieux distinguer ses besoins ainsi que les appuis sur lesquels on peut désormais compter. Ce qui aide à s’ouvrir pour accueillir l’aide nécessaire et emplit le cœur de courage et de gratitude.
Quatrième émotion qui guérit : le regret.
Le regret exprime sur le plan émotionnel ce qui ne peut plus se produire mais qu’on aurait aimé voir se produire. Regretter, c’est admettre en son cœur que ses souhaits ne peuvent pas toujours se réaliser, et reconnaître son incapacité à modifier le passé. Pour se délivrer de ce dernier, s’incliner devant cette réalité est primordial. Se pencher ainsi sur ce qui n’est pas possible incite en effet à progresser pour mieux distinguer ce qui est possible. Ce point clarifié, on pourra plus aisément accueillir la compassion nécessaire à la bonne cicatrisation de ses blessures et, à terme, trouver l’inspiration qui permettra de donner à nouveau son cœur. En somme, la résignation émotionnelle qui accompagne les regrets apporte la paix. Peu à peu, au fil de ce processus, on abandonnera ses espoirs passés au profit de nouveaux. « J’espère être aimé » remplacera alors : « Je voudrais que mon partenaire soit là pour m’aimer. » Cet espoir tout simple porte en lui l’intention et la motivation cruciales pour entamer une nouvelle vie. Il faut que la lumière d’un espoir neuf perce les ténèbres du désespoir pour que l’on sente de nouveau pleinement l’amour baigner son cœur. Alors seulement on se sentira délivré du chagrin. »
Enfin, l’étape ultime de votre processus de guérison est de pardonner la personne que vous avez aimé, quel que soit le mal qu’elle vous ait fait. Faute de quoi, vous risquez de devenir aussi desséché qu’un vieux raisin. Pardonner ne signifie pas se réconcilier. Cela signifie remettre les fautes de l’autre. Ne vous forcez pas. Tout viendra en temps voulu. Si un jour vous vous surprenez en train d’évoquer cette personne avec bienveillance, sans aucune haine ni jalousie au fond de votre cœur, ce sera le signe que vous êtes complètement guéri et prêt à passer à autre chose.
Plein de bonheur de votre nouvelle vie et puis venez nous donner des nouvelles
Modifié en dernier par koala75 le 04 août 2008, 13:13, modifié 1 fois.