- 26 sept. 2023, 14:35
#1338484
Bonjour à toutes et à tous,
Aujourd'hui, c'est une journée "sans"... et j'ai vraiment besoin de vider mon sac, de lire des personnes qui ont vécu une situation similaire et qui peuvent me dire d'après leur propre expérience que "c'est ok, ça va passer" même si, oui, bien sûr, avec le temps tout passe, tout s'en va... il y a des jours où c'est plus dur d'affronter la réalité.
J'ai fréquenté quelqu'un pendant 10 mois, nous n'étions pas en couple, pas officiellement, même si l'on faisait tout comme un couple. C'est lui qui ne voulait pas s'engager, enfin, tout ça n'a jamais été si clair. Au début il était très investi, plus que moi, prêt à tout pour ne pas que je parte et puis un jour, au bout d'un mois de fréquentation, il a cessé de s'investir, et les rôles se sont malheureusement inversés. Plus l'envie de s'engager avec moi, mais toujours envie de me voir et partager des moments de complicité. J'ai eu des sentiments pour lui (même s'il ne l'a jamais su), et je pense qu'ils sont toujours présents malgré moi. Cet été, ça a été assez dur pour moi, on est chacun parti de notre côté en août et même si l'on continuait de s'envoyer quelques messages, voir dans ses storys qu'il était avec d'autres femmes, voir que son nombre d'abonnements ne cessait d'augmenter au fil des jours me faisait du mal. (Quel fléau les réseaux sociaux vraiment) ;
Je me suis questionnée en me demandant ce que je me souhaitais pour la suite, en me demandant si c'était vraiment ça que j'avais envie de vivre : un homme incapable de s'engager réellement, fuyant la communication sans cesse, faisant peu de compliments, passant son temps à être en compétition avec le monde entier (même moi) pour se prouver qu'il est le meilleur...(il a également des qualités, sinon je ne serai pas restée si longtemps avec lui, mais fondamentalement, si je suis transparente avec la manière dont j'ai vécu tout ça : il m'a fait perdre, je pense, 70% de ma confiance en moi). Bref, la réponse fut sans appel : absolument pas. Je lui ai donc demandé d'arrêter définitivement notre relation fin août, lui disant explicitement et avec toute l'honnêteté dont je pouvais faire preuve que je ne pouvais pas être son amie, et que j'avais besoin de me retrouver avec moi-même, d'avancer dans ma vie sans lui, je pense qu'implicitement il a compris qu'il occupait une place énorme dans ma vie mais que ça ne me rendait pas heureuse, et il m'a laissée partir, en m'envoyant à son tour un beau message, me souhaitant monts et merveilles et surtout en m'écrivant qu'il ne serait jamais loin de moi si j'avais envie de lui parler. Une dernière phrase qui m'a fait du mal malgré les apparences qu'elle revêt... Parce que oui, oui j'avais envie de lui parler sans cesse, j'ai arrêté tout ça à contre-coeur, simplement pour me choisir et respecter mes aspirations, et le lire me dire que je pouvais revenir lui parler quand je le voulais... terrible...
J'ai craqué au bout d'un mois... j'avais cette envie de savoir comment il allait, de savoir quel chemin il prenait, et... le résultat fut tout bonnement catastrophique. Car j'étais partie avec l'ambition d'avancer dans ma vie, je pensais obtenir un poste à l'étranger et je me suis finalement retrouvée sur le carreau, toujours en France, à attendre que l'on me contacte pour me donner un poste. Lorsque j'ai pris de ses nouvelles, il m'a tout de suite répondu enjoué, pour me dire à quel point il allait bien, très très bien. Qu'il préparait tel et tel projet. Et lorsqu'il m'a demandé ce que moi je faisais, j'ai dit la vérité, il s'est alors mis à me répondre avec condescendance. Jugeant ma situation "précaire" et me donnant des "conseils" : "il ne faut pas rester au chômage trop longtemps tu vas perdre le rythme après et tu ne pourras plus suivre" (comme si trouver un poste ne dépendait que de ma volonté finalement n'est-ce pas ?), enfin bon, ces échanges m'ont simplement confortée dans l'idée que... j'étais mieux sans lui dans ma vie qu'avec lui...
Et me voilà 2 semaines après, à avoir envie de l'appeler... La bonne blague n'est-ce pas ? Je ne sais pas comment faire pour sortir de ce cercle infernal, où sans cesse je reviens vers lui alors qu'il se montre parfaitement infecte avec moi... comme je le dis dans le titre, je ne veux pas le récupérer, je veux bel et bien l'oublier, mais quelque chose en moi continue de s'accrocher à lui, continue de désirer sa présence, continue d'espérer qu'il redevienne cet homme du début avec qui j'ai partagé tant de complicité...
Enfin bon, pas facile aujourd'hui... ça ira mieux demain et encore mieux après demain (je l'espère). Très bonne après midi à toutes et à tous!
Aujourd'hui, c'est une journée "sans"... et j'ai vraiment besoin de vider mon sac, de lire des personnes qui ont vécu une situation similaire et qui peuvent me dire d'après leur propre expérience que "c'est ok, ça va passer" même si, oui, bien sûr, avec le temps tout passe, tout s'en va... il y a des jours où c'est plus dur d'affronter la réalité.
J'ai fréquenté quelqu'un pendant 10 mois, nous n'étions pas en couple, pas officiellement, même si l'on faisait tout comme un couple. C'est lui qui ne voulait pas s'engager, enfin, tout ça n'a jamais été si clair. Au début il était très investi, plus que moi, prêt à tout pour ne pas que je parte et puis un jour, au bout d'un mois de fréquentation, il a cessé de s'investir, et les rôles se sont malheureusement inversés. Plus l'envie de s'engager avec moi, mais toujours envie de me voir et partager des moments de complicité. J'ai eu des sentiments pour lui (même s'il ne l'a jamais su), et je pense qu'ils sont toujours présents malgré moi. Cet été, ça a été assez dur pour moi, on est chacun parti de notre côté en août et même si l'on continuait de s'envoyer quelques messages, voir dans ses storys qu'il était avec d'autres femmes, voir que son nombre d'abonnements ne cessait d'augmenter au fil des jours me faisait du mal. (Quel fléau les réseaux sociaux vraiment) ;
Je me suis questionnée en me demandant ce que je me souhaitais pour la suite, en me demandant si c'était vraiment ça que j'avais envie de vivre : un homme incapable de s'engager réellement, fuyant la communication sans cesse, faisant peu de compliments, passant son temps à être en compétition avec le monde entier (même moi) pour se prouver qu'il est le meilleur...(il a également des qualités, sinon je ne serai pas restée si longtemps avec lui, mais fondamentalement, si je suis transparente avec la manière dont j'ai vécu tout ça : il m'a fait perdre, je pense, 70% de ma confiance en moi). Bref, la réponse fut sans appel : absolument pas. Je lui ai donc demandé d'arrêter définitivement notre relation fin août, lui disant explicitement et avec toute l'honnêteté dont je pouvais faire preuve que je ne pouvais pas être son amie, et que j'avais besoin de me retrouver avec moi-même, d'avancer dans ma vie sans lui, je pense qu'implicitement il a compris qu'il occupait une place énorme dans ma vie mais que ça ne me rendait pas heureuse, et il m'a laissée partir, en m'envoyant à son tour un beau message, me souhaitant monts et merveilles et surtout en m'écrivant qu'il ne serait jamais loin de moi si j'avais envie de lui parler. Une dernière phrase qui m'a fait du mal malgré les apparences qu'elle revêt... Parce que oui, oui j'avais envie de lui parler sans cesse, j'ai arrêté tout ça à contre-coeur, simplement pour me choisir et respecter mes aspirations, et le lire me dire que je pouvais revenir lui parler quand je le voulais... terrible...
J'ai craqué au bout d'un mois... j'avais cette envie de savoir comment il allait, de savoir quel chemin il prenait, et... le résultat fut tout bonnement catastrophique. Car j'étais partie avec l'ambition d'avancer dans ma vie, je pensais obtenir un poste à l'étranger et je me suis finalement retrouvée sur le carreau, toujours en France, à attendre que l'on me contacte pour me donner un poste. Lorsque j'ai pris de ses nouvelles, il m'a tout de suite répondu enjoué, pour me dire à quel point il allait bien, très très bien. Qu'il préparait tel et tel projet. Et lorsqu'il m'a demandé ce que moi je faisais, j'ai dit la vérité, il s'est alors mis à me répondre avec condescendance. Jugeant ma situation "précaire" et me donnant des "conseils" : "il ne faut pas rester au chômage trop longtemps tu vas perdre le rythme après et tu ne pourras plus suivre" (comme si trouver un poste ne dépendait que de ma volonté finalement n'est-ce pas ?), enfin bon, ces échanges m'ont simplement confortée dans l'idée que... j'étais mieux sans lui dans ma vie qu'avec lui...
Et me voilà 2 semaines après, à avoir envie de l'appeler... La bonne blague n'est-ce pas ? Je ne sais pas comment faire pour sortir de ce cercle infernal, où sans cesse je reviens vers lui alors qu'il se montre parfaitement infecte avec moi... comme je le dis dans le titre, je ne veux pas le récupérer, je veux bel et bien l'oublier, mais quelque chose en moi continue de s'accrocher à lui, continue de désirer sa présence, continue d'espérer qu'il redevienne cet homme du début avec qui j'ai partagé tant de complicité...
Enfin bon, pas facile aujourd'hui... ça ira mieux demain et encore mieux après demain (je l'espère). Très bonne après midi à toutes et à tous!
- Par Archie