- 09 juin 2023, 00:13
#1337326
Et pourtant, me voilà enregistrée sur un forum qui traite du sujet. C'est que la douleur, l'absence, la solitude font que je tourne en boucle là-dessus. Quand j'en parle à mes proches, c'est un non-événement pour eux . Ils ne remarquent même pas mon désarroi.
Quand je me lève le matin, je suis pleine de bonne volonté, combative et presque aussi rayonnante qu'avant (presque... ).
Mais au fur et à mesure de la journée, les situations du quotidien réveillent les souvenirs, les habitudes, et je me dis : et si je le recontactais... comme si de rien n'était. Juste pour lui raconter une anecdote ou une autre. Pathétique, après 3 mois depuis la séparation (et plus aucun échange d'aucune sorte depuis 1 mois) !
Voilà où j'en suis rendue. Chaque jour, survivre jusqu'au suivant. Prévoir des activités pour ne pas avoir le temps de ressasser. Mais on ressasse toujours, malgré soi.
Merci de m'avoir lu.
Quand je me lève le matin, je suis pleine de bonne volonté, combative et presque aussi rayonnante qu'avant (presque... ).
Mais au fur et à mesure de la journée, les situations du quotidien réveillent les souvenirs, les habitudes, et je me dis : et si je le recontactais... comme si de rien n'était. Juste pour lui raconter une anecdote ou une autre. Pathétique, après 3 mois depuis la séparation (et plus aucun échange d'aucune sorte depuis 1 mois) !
Voilà où j'en suis rendue. Chaque jour, survivre jusqu'au suivant. Prévoir des activités pour ne pas avoir le temps de ressasser. Mais on ressasse toujours, malgré soi.
Merci de m'avoir lu.