Aide et conseilspour récupérer ton ex !

Si le coeur vous en dit, racontez-nous votre histoire en détails
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Bonjour à toutes et tous,

Comme beaucoup sur ce forum j'écris ce message car je suis un peu perdue, un peu désespérée/désemparée face à la situation, et j'aurais ainsi vraiment vraiment vraiment (ai-je dit vraiment ?) besoin de conseils je crois.

Je vais essayer de résumer mon histoire, qui, à mes yeux, nécessiterait des pages et des pages mais je voudrais vous épargner tout ronflement ou renoncement intempestif.

Mon ex et moi avons 32 ans. Nous étions ensemble depuis un peu plus d'un an. Nous nous sommes rencontrés *roulement de tambour* via une appli.
Lui introverti, moi plutôt timide mais animée par un côté passionné, vivant... une certaine soif de vivre - et de rire- qui l'ont attiré je crois.
Après plusieurs années de célibat de son côté et après quelques mois du mien, suite à une histoire un peu compliquée (dont je suis sortie l'estime de moi quelque peu en berne et une confiance en l'amour et les hommes sommes tout bancale), l'histoire a commencé un peu comme un coup de foudre. Je vous passe donc les débuts : lui m'écrivant des romans à rallonge, me proposant sans cesse qu'on se voit, ayant l'impression d'une évidence, voulant m'intégrer à sa vie, faisant plein d'attentions, etc. Lui a je crois eu la sensation de rencontrer "celle qu'il attendait" (et Dieu sait que ca fait un bien fou de se sentir extraordinaire aux yeux de quelqu'un), moi j'ai vu en lui des qualités d'âme... inestimables (en plus de ses yeux bleus... :oops: ).

Après quelques mois, il s'est mis un peu à douter... par ma faute je pense. J'ai attendu beaucoup de lui et me suis montrée souvent jalouse, suspicieuse, impulsive. Si je suis honnête, j'ai eu peur... de le perdre je crois, de revivre une déception, de souffrir, de me (re)tromper. Je pense avoir été parfois un peu chiante avec lui (pour tester la solidité de la relation? saborder l'histoire ? je ne sais pas).
De son côté, il ne l'a pas vraiment dit et il s'est quelque peu muré dans une forme de 'silence' face à tout ça. Il restait présent mais je sentais qu'il ne se projetait plus vraiment. Alors que j'aurais surement préféré qu'on en discute ouvertement pour se donner une vraie chance d'avancer : il ne disait rien, mais avouait parfois qu'il doutait quand je posais des questions. Je ne sais pas vraiment s'il est seulement introverti ou aussi un peu évitant (et moi clairement anxieuse/insécure en tout cas) : mais nous sommes alors rentrés dans une sorte de cercle vicieux. Au plus je le sentais douter, au plus je me transformais, je me sentais en insécurité, au plus j'avais besoin d'être rassurée, au plus je me montrais alors impatiente et surement un peu instable, à vouloir absolument parler, clarifier, comprendre où on en était/ce qu'il voulait, faire au moins des mini projets (il parlait au début d'emménager ensemble mais après quelques mois n'en parlait plus), et au plus lui fuyait alors les échanges et un positionnement clair... Mais, il restait quand même toujours là, toujours aussi gentil mais sans jamais plus vraiment parler de nous. Et je crois que j'ai eu du mal à supporter ça; ça me rendait folle.

J'aurais certainement dû être davantage patiente, ne déclencher aucun conflit pendant quelques semaines/mois, me recentrer davantage sur moi et non être focalisée sur cette Histoire, lâcher prise... pour pouvoir aussi adopter une posture plus stable et voir si le problème bloquant était vraiment les conflits ou s'il avait simplement une peur - ou non envie - de s'engager en fait avec moi.
Mais je n'ai pas vraiment réussi... Nous nous sommes séparés une première fois il y 4 mois (je l'avais un peu mis au pied du mur pour qu'il soit clair sur ce qu'il voulait). J'étais revenue vers lui 2 semaines plus tard et après un temps de réflexion de sa part : nous avions repris. C'était il y a donc environ 3 mois.

Je ne sais pas qui a eu tort, mais nous avons finalement un peu commis les mêmes erreurs : lui semblait un peu détaché tout en restant présent (surement dans une position "d'attente" de voir comment ça allait se passer), moi je pense que j'attendais plus de 'démonstration', 'd'échanges' pour qu'on se comprenne mieux, qu'on recrée un lien plus profond... Et j'ai assez rapidement été à nouveau dans une position d'attente, de frustration et lui de "fuite" des échanges.

Finalement, en fin d'année (env. 1 mois et demi après nos retrouvailles), quand je lui ai demandé de la clarté (car il venait de me dire qu'il ne pouvait pas m'apporter ce que je voulais), il m'a repartagé par écrit (!)) (après quelques jours de silence/distance dont il avait besoin pour clarifier sa pensée), ses doutes, notamment vis à vis de mon impulsivité, ma jalousie, certaines réactions excessives (j'ai pu l'insulter de colère parfois quand il se murait dans le silence ou était dans la fuite), ses doutes du coup sur notre compatibilité à long terme, etc. Alors que j'espérais depuis un moment être davantage rassurée, je ressentais finalement tout l'inverse : il me remettait quelque part sous le nez nos différences, sa difficulté à se projeter (mais sans l'avoir dit spontanément) et finalement remettait dans mes mains ses doutes nous concernant dont je ne savais finalement pas quoi faire (car moi tout ce que je voulais c'était qu'on avance). Il ne proposait pas de solutions mais me partageait juste des difficultés alors que moi-même j'étais un peu épuisée de ce climat insécurisant. Et je n'ai pas trop su gérer sur le moment ce poids sur mes épaules. Je l'ai mal pris, j'y ai vu encore une fuite, des excuses pour ne pas avancer, etc. Et pendant 10 jours je l'ai bloqué sur mon téléphone. Je n'arrivais plus à y voir clair, je me sentais submergée d'émotions.

Finalement, au bout de ces 10 jours, je lui ai écrit un email parce que j'ai fini par voir, en relisant ce qu'il m'avait écrit, malgré tout une main tendue... un peu maladroitement et démunie mais malgré tout tendue pour peut-être vraiment enfin discuter du fond du problème et que ça change (il avait d'ailleurs terminé son message en me disant qu'il pensait qu'on pouvait encore vivre une belle histoire)... .
Je suis donc revenue dans cet email, sur ma réaction (expliquant que j'avais eu l'impression qu'il m'avait fait poireauter des mois etc), sur tous les points qu'il avait cités. Je lui ai parlé de ma jalousie, de sa possible origine, du fait que ce n'était pas à lui de porter mes failles, que je devais y travailler mais que malgré tout il pouvait m'y aider en n'hésitant pas à me dire dès que quelque chose ne lui plaisait pas, etc etc. J'ai proposé des solutions concrètes... Bref, j'ai tout donné :lol: , au delà même de l'énergie que j'avais encore, tellement je voulais me battre pour cette Histoire. J'ai aussi dans ma lettre voulu faire passer le message que la communication était clé et que nous devions apprendre à mieux communiquer (et notamment peut-être davantage au quotidien à l'oral que toujours par écrit).

Mais pas de réponse de sa part. Alors que c'était une réponse à tout ce qu'il m'avait dit, il aurait pu sauter sur l'occasion en se disant 'ouf, c'est bon, elle a compris, fonçons, elle accepte mes demandes, mes doutes etc'. Mais rien. Au bout de 2 jours, j'ai envoyé un message et il m'a répondu qu'il comptait m'écrire pour me dire qu'il avait bien eu mon email, me remercier, que ça l'avait touché mais qu'il ne savait pas vraiment comment y répondre et y réagir.... . La réalité c'est qu'il était en plus en we sportif, il m'a aussi dit que pendant ces 10 jours il s'était dit que je ne reviendrai pas (en gros, il semblait avoir accepté que le fait que je m'énerve face à ses doutes et ne lui parle plus était une rupture... il m'a aussi dit en gros que ses proches doutaient pas mal de notre relation vu les prises de tête (ca m'a fait d'ailleurs très mal de lire ça)). Et là j'ai explosé... Je me suis sentie prise pour une imbécile. Certes, j'avais laissé passer 10 jours, mais j'en avais expliqué la raison et je répondais à tout (j'ai passé 6H à écrire l'email je crois) alors j'ai eu la sensation qu'il jouait un peu avec moi. Et son besoin de temps... sans cesse... ca ne faisait à mon sens qu'amplifier les problèmes et l'insécurité et je commençais à trouver ça bizarre.

Finalement, il m'a proposé qu'on se voit quelques jours plus tard. Bon...j'avoue que sa (non) réaction, ce qu'il m'a dit... m'avait plutôt refroidie.
Il est venu chez moi... évidemment toujours gentil, amenant ma nourriture préférée... . Nous avons cuisiné ensemble et puis il m'a demandé si je voulais parler de mon email. Il n'y avait en fait pas vraiment réfléchi je crois; il semblait plutôt attendre de voir ce que j'avais à en dire; comme si je devais prouver ce que j'avais écrit et qu'il était lui 'juste' venu en parler (en gros : mes besoins ou attentes à moi... apparemment on s'en fichait pas mal...la preuve puisque j'avais écrit que les silences et la non communication étaient difficiles et que c'est ce qu'il a refait).
Bon... ce climat ne m'a pas bien mise à l'aise. J'ai commencé à dire que c'était difficile qu'il soulève tous ces doutes etc. Et finalement il m'a dit que je ne semblais pas très cohérente avec mon email. Bon. Nous avons mangé, joué aux cartes puis il m'a prise dans ses bras et nous nous sommes embrassés.
Il m'a proposé de rester dormir... j'ai accepté (mais l'idée n'était pas d'aller plus loin). Dans le lit, me sentant un peu mal à l'aise de la situation; j'ai voulu déclencher une discussion en disant que je comprenais, que parfois on avait plus envie d'être avec quelqu'un mais que c'était dur aussi pour la personne en face... Bref, je voulais qu'il réagisse. Mais rien : pas un mot. Et là : je me suis mise à pleurer, je suis allée sur le canapé. Il m'a d'abord dit qu'il allait partir puis m'a réconfortée. Nous sommes donc allés dormir, le lendemain matin il m'a fait un bisou en me disant 'ce n'est pas une fin de non recevoir' puis il m'a écrit un message pour me demander comment s'était passée ma réunion.

Et j'ai été provocante : en lui disant que j'allais surement devoir refaire un compte Tinder du coup (bon oui c'était débile mais je ne savais plus quoi faire). Et là il m'a dit qu'on y arriverait pas. En gros : il me re re requittait par sms sans vraiment le dire franchement. Je lui ai dit que c'était horrible de laisser un silence, de venir chez moi (au final je ne sais même pas trop pourquoi il est venu), de dormir chez moi, me dire que ce n'était pas un adieu... puis après quelques messages, de tout stopper.
Il m'a répondu qu'on était jamais aussi bien que dans les bras l'un de l'autre etc. J'ai craqué : je me suis sentie à bout, épuisée (j'ai eu l'impression de revivre un peu des scènes comme avec mon ex)... je me suis énervée comme jamais de ce qu'il était en train de faire. J'ai pleuré 3H... ne comprenant plus rien. Les sms semblaient de plus en plus décidés au fil de la journée à être une vraie rupture en fait (il parlait même de notre histoire au passé, quelques heures après être partis de chez moi !), j'avais l'impression d'un cauchemar... Il m'a appelée le soir parce qu'il s'inquiétait de me savoir en pleurs (j'ai un peu eu l'impression du bourreau devenant sauveur là). Il m'a même dit au téléphone qu'il ne m'abandonnait pas et qu'il pouvait m'aider à surmonter ça (!!!).

Puis, voici le genre de sms que j'ai reçus les deux jours suivants : "Ton message m'a fait pleurer. Tu écris tellement bien.. tes mots sont si puissants et si bien choisis qu'ils touchent immédiatement en plein cœur.
Ce même cœur qui pleure, de la peine que je te fais une nouvelle fois, mais aussi de l'infinie tristesse que j'ai en moi. Car ce manque que tu décris est partagé et ressenti de la même façon. Ta main dans la mienne est sans doute ce qui me manque le plus.
Je ne cesse aussi de repenser à des micros moments, sans grande importance au regard de ces 13 derniers mois, mais qui ont rythmé notre quotidien et fait vibrer mon coeur.
Je ferme les yeux et repense à nous, à tous nos fou rire, à toutes ces fois où je t'ai porté sans aucune raison, à tous nos petit-déjeuner où il y avait beaucoup trop pour deux, aux fois où j'attendais désespérément que tu sortes de la salle de bain et me rejoigne dans le lit, à nos blind test... et à toi, juste à te regarder rêver ta vie et essayer de la rendre jolie.
Sois certaine que cette prise de distance n'est pas le résultat d'un amour qui s'est éteint.
Je ne sais pas de quoi l'avenir sera fait.
Si je me rends compte que je fais l'erreur de ma vie, alors je saurai venir ramper devant toi pour te demander de me pardonner. Je suis profondément désolé si tu te sens trahie
."

ou encore "Je sais que tu te sens trahie. Mais malgré tout l'amour que j'ai pour toi, j'ai ce sentiment aujourd'hui qu'il faut passer par là. Je suis profondément désolé. Tu n'imagineras jamais à quel point. Je suis nul comme copain"

ou "Je n'arrive pas à répondre intelligemment à tes attaques. Tu as sans doute en partie raison de m'en vouloir autant. Je me sens au plus mal également mais je sais que tu diras que je ne peux m'en prendre qu'à moi-même."

ou "Quand j'ai reçu ton mail, j'ai été touché. Profondément et sincèrement. Je n'y ai pas répondu tout de suite pour les raisons que je t'ai expliquées.
Qu'elles soient valables ou non, je n'en sais rien, mais elles m'appartenaient.
J'ai été surpris par ta réaction, où tu exigeais immédiatement une réponse. Sur le fond, je ne sais pas qui a raison. Mais sur la forme, cela m'a un peu décontenancé car cela mettait une nouvelle fois en lumière nos incompréhensions.
Apres plusieurs jours, je me suis dit qu'il était nécessaire d'en parler de vive voix. Pour aller au-delà des mots. Et aussi parce que tu me manquais et que j'avais très envie de te voir.
Très vite, quand on a commencé à parler du fond de la lettre, il y a eu les premières incompréhensions et même une ou deux "provocations" de ta part, tellement à l'opposé de ce que j'avais pu écrire et de ce que toi tu avais dit dans ta lettre. Ça m'a attristé.
Puis oui, nous avons mangé ensemble, même si tu m'avais demandé si je voulais partir, puis nous avons rigolé en jouant aux mini-cartes. Avant de nous embrasser et de suspendre le temps. Quand je suis dans tes bras, je perds toute notion de ce qui se passe autour. Je perds pied totalement, car je voudrais ne jamais en partir. Alors même que je m'étais dit que cela n'allait pas se passer comme ça, et que si ca devait arriver de nouveau, ce serait une prochaine fois, je t'ai proposé de dormir avec toi.
Je ne me voyais pas partir. J'étais juste bien avec toi. Cela n'effaçait pas les incompréhensions discutées plus tôt ,mais le temps d'un instant, d'une nuit, on essayait de les oublier.
Quand je suis parti le matin, je n'ai pas pensé une seconde que je ne reviendrai pas. J'ai attendu toute la matinée une réponse de ta part. Et finalement, vers 12h, apres quelques messages, tu me parles de ton "cv Tinder ".
Ce petit message, l'air de rien, a eu un effet très négatif sur moi car il semblait montrer qu'on était reparti dans ce que j'ai fui tant de fois. Je me suis dit qu'on allait retomber dans du conflit.
C'est exactement cette peur qui m'avait fait prendre du temps à répondre à ton mail. Je t'aime de tout mon coeur et ta peine me glace le sang. Mais je ne veux plus jamais vivre ces traumatismes.
Je pense que notre amour l'un pour l'autre, quoique tu en dises, est indéniable. Mais au fil des mois et des expériences vécues, j'ai vu que cela ne nous empêchait pas de vivre constamment des moments de tension qui me dépassent. Nous avons des différences certes, mais je crains trop que nos caractères ne soient pas suffisamment conciliables
."

Il m'a envoyé ce message au moment où je lui disais que c'était horrible de quitter comme ça par sms, que je méritais des explications de vive voix. Puis le lendemain, il m'a proposé qu'on se voit. Mais après avoir lu son message, je me rendais compte que cela ne servirait à rien, que ce ne seraient que des excuses en fait qui ne feraient que refaire mal et rajouter du chagrin. Je lui ai donc dit qu'il m'avait dit qu'il avait besoin de temps, que c'était peut être bien d'en prendre, de souffler et de se recontacter dans quelques jours (pour une fois, je ne voulais pas être étouffanteà.

Finalement 6 jours plus tard (mercredi dernier), il m'a renvoyé ça : "Coucou,
J'espère que tu vas bien et que ces derniers jours n'ont pas été trop durs.
Le temps passe, et même si nous ne nous parlons pas, je pense évidemment à toi. La décision que j'ai prise il y a plusieurs jours est très douloureuse mais je ne pense pas que nous devons revenir dessus. Je suis désolé.
Je pense quand même que ce serait bien que nous nous parlions ou que nous puissions nous voir. Ce soir, demain, vendredi.. un peu quand tu veux, je suis disponible
"

Puis ça 'Est-ce que tu veux qu'on s'appelle ?', puis ça quelques heures plus tard 'J'ai un peu guetté le moment où tu lirais mon message..
Tout cela ne veut pas dire que je ne tiens pas à toi.
Je ne veux pas t'embêter, quand tu voudras me parler, j'espère que tu me le diras.' et finalkement ça "


Et finalement le lendemain (jeudi dernier) : "Tu ne souhaites pas parler ?
Peux-tu me dire si ça va ?
Comme je te l'ai déjà proposé hier, si tu veux, on peut s'appeler ce soir..".


C'était donc il y a 4 jours... Et je n'ai pas répondu car je n'y comprends plus rien.
On dirait un peu un jeu cruel je trouve. Me dire qu'il m'aime mais qu'en même temps il me quitte mais que peut-être il reviendra (un peu humiliant de lire ça d'ailleurs)... il parle de 'prise de distance' mais en même temps parle au passé. Puis après ces quelques jours de silence, il me relance pour en fait fermer la porte en me disant qu'on ne doit pas reprendre, qu'il est désolé (tout en me disant qu'il espère que ce n'est pas trop dur pour moi).. mais insiste quand même pour en parler et me disant que ce n'est pas qu'il ne tient pas à moi. Est-ce juste pour se déculpabiliser ? Honnêtement je n'en sais rien et je n'y comprends rien. Je le découvre sous un jour que je ne soupçonnais pas. J'ai l'impression de revivre la fin malsaine avec mon ex qui était très manipulateur.

Qu'en pensez-vous svp ? Je suis totalement totalement perdue et triste (c'est son anniversaire aujourd'hui... Je ne le lui ai pas souhaité mais bon sang qu'est ce que je suis perdue et animée par des sentiments et sensations très contradictoires là).
Merciii
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