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#1333587
Salut Sun!
Et désolée de ce que tu traverses. 10 ans, c'est pas rien.

Par contre, je ne sais pas si c'est voulu de ta part ou si c'est juste une figure stylistique, mais moi ce qui me saute aux yeux dans ton récit c'est "alcoolisme", et tu as l'air de le faire passer comme ca "vite fait sous le tapis".
Tu as peut être envie (ou pas) de développer ce point là, mais a mon sens, et de mon expérience (parentale), c'est un motif bien plus qu'impérieux (même pas légitime en fait, impérieux) d'arreter une relation, amour ou pas amour.

A te lire.
Georges I. Abdamiaou ont aimé ça
#1333589
C'était vraiment une question.
Et pour moi, une bouteille de whisky pur par semaine, même si c'est pas idéal pour ta santé, c'est pas vraiment ce que j'appelle de l'alcoolisme (je connais des gens qui boivent une ou deux bouteilles de vin /jour plus digeo)
Et bien évidemment, les gens qui se détruisent ne le font pas sciemment pour faire chier leur moitié, ou encore moi pour se détruire eux mêmes hein....

Pour la suite, autodestruction alors quoi, si ce n'est pas l'alcoolisme?
(Et je ne suis pas dans le jugement, ce sont des vraies questions).
#1333591
Je vais essayer.
Que considères tu comme de l'autodestruction si ce n'est "l'alcoolisme"? (désolée si j'ai mal compris)
Est ce qu'il y a d'autres "excès" que tu ne verbalises pas là tout de suite, mais qui pourraient expliquer cela? (Solitaire, ce n'est pas un excès, sauf si c'est une conséquence d'autre chose-alcoolisme, par exemple).
Je ne sais pas si je suis plus claire, si ce n'est pas le cas dis moi!
#1333593
Bonjour ,

Ça se manifeste comment concrètement ton autodestruction ?

Tu écris dans un style très " démonstratif" , mais tout ce lyrisme n'aide pas tellement à aller directement au noeud du problème ( c'est sans doute voulu d'ailleurs ).

Ton récit se résume en qqs mots :
- elle te quitte au bout de 10 ans , et semble déjà à être passée à autre chose
- pour autant ( beurre , argent du beurre etc...), elle appelle ça une " pause"
- elle justifie sa décision en évoquant tes défauts

Bref, rien que de très banal là dedans. ( banal mais douloureux hein, on sait )

Mais tu n'arrête pas d'évoquer ton alcoolisme ( 1 bouteille de whisky par semaine, donc ? ), ton auto destruction, tes excès. Si tu pouvais expliquer ça sans tourner autour du pot ...
Georges I. Abdamiaou ont aimé ça
#1333597
Une pause c'est souvent l'antichambre de la rupture. Pas facile de laisser quelqu'un après 10 ans.
Bon je suis bien désolé, mais si tu es conscient de ton auto-destruction et du mal que ca apporte autour (parce que tu ne fais pas que t'autodétruire la dedans), il faudrait impérativement débuter une thérapie. Et probablement une cure pour tes autres dépendances ou ce que tu appelles excès. C'est probablement trop peu trop tard pour ta relation avec elle, mais c'est quand même une démarche que tu devrais entreprendre pour toi et surtout avant de te lancer dans une nouvelle relation avec elle ou une autre personne.
#1333601
Lorsqu'on lit ce que tu racontes de ses raisons pour imposer une pause, on a l'impression que le dicton " quand on veut noyer son chien on dit qu'il a la rage " est tout à fait adapté... Je suis bien d'accord avec toi de ce que doit être une pause dans un couple - après deux ans de relation, nous en avions fait une avec mon compagnon, et jamais il n'a été question d'aller voir ailleurs... je n'ai jamais non plus imposé à mon compagnon d'alors de se faire suivre pour se soigner, mais de se soigner par contre, oui. De prendre en charge les soucis d'addiction qu'il avait. Et je l'ai accompagné dans cette démarche, tout en le laissant gérer à sa façon... je crois qu'elle avait envie de rompre... et que tu as bien fait de ne pas attendre...
#1333607
Sunwoo a écrit : 02 août 2022, 22:00 Bonsoir/Bonjour.

Pas spécialement le cœur à raconter quelque chose d'aussi intime d'une traite, mais il faut le faire pour contextualiser la chose.

J'ai déjà vécu un déboire sentimental dans le passé. Un amour, le premier qui a duré presque deux ans. Elle a rompu, j'ai mis deux ans à m'en remettre. Deux ans durant lesquels j'ai sûrement développé voire surdéveloppé une capacité à m'autodétruire si intense et si présente que ça me suit encore aujourd'hui. Non cette histoire ne me poursuit plus, j'ai déjà fait le deuil, mais c'est le point d'ancrage de ce qui me conduit aujourd'hui à réécrire un petit peu aujourd'hui.
Deux ans de soufrance pour deux ans de relations, déjà le ratio est pas terrible.
Cette fois, il s'agit d'une histoire qui a duré presque 10 ans. Vie commune, pas d'enfant(s), ni de contraintes à part entière. Disons qu'on s'aimait en restant dans les normes.
C'est quoi les "normes" ? Qui a écrit ce réglement ? Ta façon de voir les choses c'est la seule qui existe ?
Seulement voilà, après presque 10 ans, ma dulcinée s'est empressée d'imposer une pause.
Empressée aprés 10 ans ? Y'a comme un paradoxe, tu veux tellement paraître "littéraire" que tu écris n'importe quoi. Et ton style ampoulé approximatif est trés pénible à lire, tu manques de spontanéité.
Pause durant laquelle, de nombreuses choses interagissent.
Des choses que les "hommes" en tant que tel , ne pourraient supporter si les sentiments sont encore présents. Et c'est mon cas. Une pause est une situation dans laquelle nous sommes censés se concentrer sur nous-mêmes, réfléchir aux bonnes et mauvaises choses. Faire peser la balance et décider après un temps imparti si oui ou non nous devons réitérer ou tout briser. Mais là, la pause à servi d'échappatoire à la dulcinée pour qu'Elle s'ébahisse de sa liberté pour découvrir, pour pouvoir découvrir ou que sais je encore, d'autres hommes. En gros s'évader d'un vécu implanté et développé, pour succomber désormais aux dévolus d'autres éphèbes. Peut-être qu'il fallait qu'Elle fasse un point de son côté. Un truc bien à Elle et juste ça.
C'est de la merde et c'est incoérent, tu t'es relu ?
Je ne suis pas dupe. j'ai lu des histoires, j'ai lu tout court aussi.
J'ai vécu, j'en ai encore à apprendre.. Seulement. Bordel, ce que ça peut faire mal de savoir que la femme qu'on a aimé et qu'on aime encore, se laisse autant de liberté pour tout découvrir après des déconvenues en couple.
Ben non c'est un humain, elle fait ce qu'elle veut.
Tout ça part de beaucoup de choses que je ne pourrais résumer en quelques lignes.
Vraiment..
Mais, essayons.
Et ça recommence " je dis que je vais pas dire mais je dis quand même..."
Ca s'appelle une prétérition, tu lis beaucoup, mais le journal de Mickey ça compte pas.
On s'aimait. On s'aime probablement encore, à moins que je ne sois totalement désillusionné.
Je pense que tu veux dire déludé, utilises des mots simlples que tout le monde comprenne. Toi le premier.
Mais, Elle a besoin que je change beaucoup de ma personnalité :
Elle "avait" besoin, t'as rien fait, tu ne peux t'en prendre qu'à toi.
Que je sois plus présent (malgré le travail, les sales coups durs de la vie.)

Euh autodestruction je reléve même pas, le travail le stress les coups durs ?? tu veux dire comme ce que TOUT le monde subi? Tu me sembles avoir un ego trés surgonflé....
- Ce truc de mon passé qui me bouffe depuis toujours et qui m'a laissé une marque. Donc un psy s'impose selon Elle. (Traumatisme d'une enfance qui perdure : abandon, violence conjugale, déboires familiaux..)
Selon elle ? ben non selon toute personne censée, à lire le menu ça n'a pas l'air trés appétissant, quand on est malade on va voir le docteur, si tu t'étais cassé le bras tu mettrais juste du scotch?
Si tu lis comme tu le prétends jettes un oeil du côté de Boris Cyrulnik et de ses textes sur la résilience si tu fais un rejet catégorique des psys (ce que je peux comprendre)
- Régler mon alcoolisme qui a été engendré par l'autodestruction. (Soyons fous, ce ne serait pas drôle sinon.)
Une bouteille de sky par semaine ce n'est pas être alcoolique.
Ça en fait déjà assez pour poser une base et réfléchir sur la situation, je dois avouer.
La pause est active depuis peu, mais comme un bon méchant garçon, j'ai opté pour une rupture après pas mal d'attente, pas mal de verres dans le nez et surtout parce que je ne cautionne pas qu'une pause soit juste une situation pour trouver des plans Q à tout va.
FIn' voilà à peu près, sans les détails concrets de mon histoire. (Que je peux étayer point par point si besoin est.)
Un truc sombre, qui me fait tellement de mal que réfléchir et poser des mots dessus, n'arrange rien.
Comme le dit la copine plus haut, elle temporise la rupture, parce que tu m'as l'air sacrément instable et cérébral et elle veut pas que tu te jettes sous un train. Enrfin pas tout de suite, mais à te lire tu ne devrais pas tarder à lui en donner l'envie.
Oui j'ai déjà vécu la solitude à son paroxysme. Ce que je ne souhaite à personne par ailleurs.
Mais, avoir aimé une Femme pendant 10 ans environ.. Et se faire tej' comme un moins que rien, même si c'est justifié, ça pique. Et j'suis dépourvu de moyens là.
Genre, vraiment.
On nait seul et on meurt seul, fin de l'histoire.
Arrêtes de geindre et de contempler ton nombril.
Tu sais que c'est justifié
Tu es comme nous tous, tu n'es pas exceptionnel.
Beaucoup de masturbation intellectuelle, d'apitoiement et de prétention dans ton post.

Secoues toi tu m'as pas l'air d'être un mauvais bougre. Si t'es sur Bordeaux on boit un coup ensemble t'as besoin d'une amitié virile et de te faire secouer un peu.

Avec toute ma bienveillance.
Elieza, Powercath ont aimé ça
#1333668
Je ne pensais pas tant être quelqu'un d'aussi irritant dans mes dires.
Enfin, ce n'était pas ce que je voulais paraître en essayant de conter mon histoire.
Désolé si c'était difficile à lire ou si j'ai dérangé par mes mots.

"Branlette intellectuelle" et j'en passe..
Les mots sont durs, mais quoi qu'il en soit, j'ai compris le message.
Je dois me concentrer sur moi-même. En profiter pour devenir quelqu'un de meilleur.
Éviter les écarts, et surtout me bousculer grandement pour changer ma vie.

Et non, je n'ai pas un égo surdimensionné "in vino veritas".
J'aurai bien aimé qu'avant que tu émettes de tels propos, tu aies au moins pris le temps de me connaître, de me parler.
M'enfin, libre à toi d'exacerber les choses en te donnant ce "genre". Celui de casser les gens pour ton plaisir ou parce que les choses dérangent tout simplement.
C'est pas comme ça que je marche personnellement.
J'ai juste ressenti énormément de jugements et de paroles hautaines, dans un moment ou je n'ai pas spécialement besoin de lire ça.
Néanmoins, c'était peut-être la claque qu'il me fallait.
Si j'étais près de Bordeaux, j'aurai pris le temps de te rencontrer sans sourciller pour qu'on puisse développer tout ça. Seulement, ce n'est pas le cas.

Avec toute ma bienveillance également.
Bonne continuation à vous, et merci pour vos réponses.