- 24 nov. 2019, 00:28
#1308684
Salut à tous... après presque une semaine de silence, j’ai eu quelques nouvelles infos et je sais désormais que j’ai affaire à un homme qui est particulièrement phobique de l’engagement. Il semblerait que depuis que l’on s’est séparés, il vive complètement dans un monde de bisounours (il fait des centaines de gâteaux, aménage sa maison) tout en disant qu’il a la sensation d’avoir « échappé à un danger ».
Il semblerait que son impression ait été d’avoir été submergé par ses émotions dans sa relation avec moi et que ça lui ait fait très peur. Il ne revient pas sur ses sentiments, au contraire, il dit être soulagé parce qu’il avait la sensation de vivre au « milieu d’une tornade ».
C’est troublant. J’ai pleuré une heure chez ma psy qui m’explique que ça arrive, qu’il y a des gens comme ça et que je ne dois pas remettre en cause ma manière d’aimer. On était compatibles, en phase sur beaucoup de choses (et ça il me le disait souvent, qu’il n’avait jamais cru ça possible), vivre ensemble c’etait naturel. Mais quand moi je voyais ça comme une belle histoire, lui se croyait dans un grand huit, perturbé par la place que je prenais dans sa vie...
Ca m’a beaucoup blessée, d’apprendre qu’il me voit comme un danger. Simplement parce qu’il ne gère pas ses émotions. Je me suis réveillée en larmes, désespérée par ce gâchis.
Et lui qui dit que c’etait « Trop ». « Trop intense », « trop prenant », il montait « trop haut » quand il était avec moi et il descendait « trop bas » quand il doutait. Du coup il est frénétique, comme un rescapé, et moi je pleure sous xanax.
Je sais qu’il travaille cette phobie de l’engagement chez sa psy, mais pour l’instant il en est à se demander s’il ne vaut pas mieux éviter de s’engager tout court. Puisque lorsqu’il aime, il demande tout, mais il a peur de donner. Il sait que ce n’est pas sain... et c’est bien pour ça qu’il m’a quittée, par peur de moi, peur de me faire mal.
Il a dit que même être amis... c’est impossible, que même là je serais trop dangereuse pour lui. Vous imaginez ? Dangereuse. Alors que je n’ai jamais rien demandé d’autre que de la sincérité, une relation honnête et entière.
Mais il parait que c’est irrationnel, que c’est la peur d’etre détruit par l’autre. Il m’avait dit quelques jours avant de me quitter « et qu’est-ce qui se passera si tu pars ? »... alors il a pris les devants.
Je sais que pour l’instant il s’est lancé corps et âme dans le monde des bisounours, avec ses decos de noël disproportionnées installées directement après m’avoir quittée, ses centaines de gâteaux (pourquoi faire ?) et ses commandes de jouets, d’activités pour les enfants, vu de l’exterieur et le connaissant ça explosera en miettes dans peu de temps.
Mais moi... bin déjà ça me rassure sûrement un peu de ne pas m’être trompée, même si ça change rien. Je me demande juste si les gens peuvent avancer (il m’a tellement dit que moi j'étais L’amour, le vrai, et que simplement c’était Ingérable, épuisant a gérer pour lui toutes ces émotions, ce vertige, cette joie disproportionnée et les doutes qui suivent parfois) ou si les hommes qui ont les épaules / l’envie d’etre Vraiment amoureux existent encore...
Il semblerait que son impression ait été d’avoir été submergé par ses émotions dans sa relation avec moi et que ça lui ait fait très peur. Il ne revient pas sur ses sentiments, au contraire, il dit être soulagé parce qu’il avait la sensation de vivre au « milieu d’une tornade ».
C’est troublant. J’ai pleuré une heure chez ma psy qui m’explique que ça arrive, qu’il y a des gens comme ça et que je ne dois pas remettre en cause ma manière d’aimer. On était compatibles, en phase sur beaucoup de choses (et ça il me le disait souvent, qu’il n’avait jamais cru ça possible), vivre ensemble c’etait naturel. Mais quand moi je voyais ça comme une belle histoire, lui se croyait dans un grand huit, perturbé par la place que je prenais dans sa vie...
Ca m’a beaucoup blessée, d’apprendre qu’il me voit comme un danger. Simplement parce qu’il ne gère pas ses émotions. Je me suis réveillée en larmes, désespérée par ce gâchis.
Et lui qui dit que c’etait « Trop ». « Trop intense », « trop prenant », il montait « trop haut » quand il était avec moi et il descendait « trop bas » quand il doutait. Du coup il est frénétique, comme un rescapé, et moi je pleure sous xanax.
Je sais qu’il travaille cette phobie de l’engagement chez sa psy, mais pour l’instant il en est à se demander s’il ne vaut pas mieux éviter de s’engager tout court. Puisque lorsqu’il aime, il demande tout, mais il a peur de donner. Il sait que ce n’est pas sain... et c’est bien pour ça qu’il m’a quittée, par peur de moi, peur de me faire mal.
Il a dit que même être amis... c’est impossible, que même là je serais trop dangereuse pour lui. Vous imaginez ? Dangereuse. Alors que je n’ai jamais rien demandé d’autre que de la sincérité, une relation honnête et entière.
Mais il parait que c’est irrationnel, que c’est la peur d’etre détruit par l’autre. Il m’avait dit quelques jours avant de me quitter « et qu’est-ce qui se passera si tu pars ? »... alors il a pris les devants.
Je sais que pour l’instant il s’est lancé corps et âme dans le monde des bisounours, avec ses decos de noël disproportionnées installées directement après m’avoir quittée, ses centaines de gâteaux (pourquoi faire ?) et ses commandes de jouets, d’activités pour les enfants, vu de l’exterieur et le connaissant ça explosera en miettes dans peu de temps.
Mais moi... bin déjà ça me rassure sûrement un peu de ne pas m’être trompée, même si ça change rien. Je me demande juste si les gens peuvent avancer (il m’a tellement dit que moi j'étais L’amour, le vrai, et que simplement c’était Ingérable, épuisant a gérer pour lui toutes ces émotions, ce vertige, cette joie disproportionnée et les doutes qui suivent parfois) ou si les hommes qui ont les épaules / l’envie d’etre Vraiment amoureux existent encore...