- 13 déc. 2016, 00:34
#1214508
Merci Janysse. Je n'ai pas le courage de leur en parler, vu qu'ils pensent certainement bien faire. Et oui, c'était peut-être pas l'idée du siècle pour ma santé mentale de passer une soirée avec lui et si je pète un plomb, c'est parce que j'ai l'impression qu'il ne viendra pas avec nous, du tout... En fait, j'écris, j'efface, je réécris... J'arrive pas à exprimer tout ce que je ressens par rapport à ce petit détail qui m'enlève toujours plus d'espoir. Malgré que je commence à faire réellement le point, à réaliser certaines choses, je suis complètement paralysée par ma tristesse et mon amour pour lui.
Et tu as raison, je suis complètement en manque... Ca ne fait que deux semaines qu'on s'est vus, depuis cette affreuse soirée et j'ai l'impression que ça fait une éternité. Son silence et cette sensation de solitude me pèsent au plus haut point... Avant, j'avais toujours son attention de quelque manière que ce soit, on se parlait tous les jours, j'avais toujours un "bonne nuit", un "je t'aime", avant d'aller dormir. Et je n'ai jamais remarqué que mes contacts avec d'autres personnes étaient vraiment limités... Aujourd'hui, je n'ai plus rien. Et je résiste de toutes mes forces à aller lui parler, tout en attendant désespérément qu'il le fasse...
La métaphore de la corde est assez bien trouvée. Mais je suis révoltée que tous ces liens disparaissent, d'où le fait que je m'y accroche. J'ai pas envie d'être son amie, mais en même temps, je peux pas me résoudre à ce qu'il ne soit plus dans ma vie, même si plus les jours passent, plus ça se précise et plus j'ai mal. Je me souviens avoir eu une ou deux semaines difficiles suite à ma précédente rupture, mais je n'avais pas d'espoir, je me suis rapidement sentie libérée de cette personne qui n'était pas du tout faite pour moi et qui me faisait du mal, au fond. Le processus a été relativement court, on a vite coupé les ponts et j'ai repris le dessus facilement : sorties, amusement, nouvelles rencontres, site de rencontre, flirts,... Jusqu'au coup de foudre intersidéral quelques mois plus tard. Ici, je n'envisage rien de tout ça, j'ai pas envie de sortir, pas envie de m'amuser... Le seul truc dont je rêve, c'est d'être dans ses bras sous dix tonnes de plaids. C'était ça qui me réconfortait avant.
Et tu as raison, je suis complètement en manque... Ca ne fait que deux semaines qu'on s'est vus, depuis cette affreuse soirée et j'ai l'impression que ça fait une éternité. Son silence et cette sensation de solitude me pèsent au plus haut point... Avant, j'avais toujours son attention de quelque manière que ce soit, on se parlait tous les jours, j'avais toujours un "bonne nuit", un "je t'aime", avant d'aller dormir. Et je n'ai jamais remarqué que mes contacts avec d'autres personnes étaient vraiment limités... Aujourd'hui, je n'ai plus rien. Et je résiste de toutes mes forces à aller lui parler, tout en attendant désespérément qu'il le fasse...
La métaphore de la corde est assez bien trouvée. Mais je suis révoltée que tous ces liens disparaissent, d'où le fait que je m'y accroche. J'ai pas envie d'être son amie, mais en même temps, je peux pas me résoudre à ce qu'il ne soit plus dans ma vie, même si plus les jours passent, plus ça se précise et plus j'ai mal. Je me souviens avoir eu une ou deux semaines difficiles suite à ma précédente rupture, mais je n'avais pas d'espoir, je me suis rapidement sentie libérée de cette personne qui n'était pas du tout faite pour moi et qui me faisait du mal, au fond. Le processus a été relativement court, on a vite coupé les ponts et j'ai repris le dessus facilement : sorties, amusement, nouvelles rencontres, site de rencontre, flirts,... Jusqu'au coup de foudre intersidéral quelques mois plus tard. Ici, je n'envisage rien de tout ça, j'ai pas envie de sortir, pas envie de m'amuser... Le seul truc dont je rêve, c'est d'être dans ses bras sous dix tonnes de plaids. C'était ça qui me réconfortait avant.