- 16 avr. 2020, 00:53
#1315031
Hello Sophana !
Je reviens (enfin !) sur ton fil…
J'ai lu pas mal de réponses, et tes réponses faites aux réponses apportées…
Je finis par me dire une chose : s'il est très bien de se remettre en question, peut-être que "point trop n'en faut"... ?
J'entends par là qu'il n'y a pas de "donner trop ou trop peu… " : si vous aviez étés tous deux sur la même longueur d'ondes, tu n'aurais pas pensé que tu donnais trop !
Peut-être le secret réside-t-il un peu là : je veux dire, dans le fait de se trouver sur la même longueur d'ondes…
Parfois, un homme est amoureux fou pendant un certain temps, et soudain, il ne l'est plus. Et on n'a rien fait de mal, rien de trop ou de pas assez, cela n'a rien à voir avec nous, tout simplement…
La seule question à se poser est : pourquoi on s'accroche quand cela ne va plus ?
Des éléments de réponse :
- parce qu'on veut revivre "l'intense" du début ?
- parce qu'on n'a pas compris quelque chose, que c'est trop absurde, ce revirement brusque ?
- et donc, parce qu'on veut contrôler ?
- et plein d'autres raisons…
Peut-être, et j'aboutis à cette conclusion, y a-t-il tout simplement des personnes qui ne supportent pas la demi-mesure, l'engagement non tenu, le mensonge ?
Et que si nous faisons partie de ces personnes qui ne supportent pas cela, la seule question à se poser est : pourquoi nous sommes-nous retrouvées avec des hommes menteurs, etc... ?
Un autre élément de réponse : nos choix sont en partie inconscients, et tout le problème se trouve là… : nos mauvais choix, notre ambivalence, ce que nous ne maîtrisons pas…
Ceci dit, j'arrive à la même conclusion que toi, Sophana : je suis si… écorchée que je préfère encore rien ni personne plutôt que de souffrir à nouveau…
Bien sûr, l'autre soir (enfin, nuit… ), j'étais très mal… et après coup, je me suis rendue compte que je ne voulais pas vraiment de cet homme (SB, ses initiales… ), sinon cela aurait pu marcher, peut-être.
Je sentais que je n'étais pas prête à me faire à certaines choses, une façon de communiquer non directe (dans l'implicite, trop souvent… ), des problèmes de failles narcissiques que je sentais pas réglées chez lui, et puis des choix de vie : un bled en Alsace… vouloir rester et s'intégrer dans la région…
Donc, je n'ai pas forcé mais il y a pas mal d'années, j'aurais sûrement "succombé" (quel terme ancien, il faut que je cesse de visionner ces anciens et merveilleux films des années 50 à 60 !!!), et j'aurais fait un tas d'efforts d'adaptation… jusqu'au moment où tout se serait écroulé, d'une façon ou d'une autre….
Voilà, maintenant, pour toi, ce n'est pas tout à fait pareil, mais il y a quand même, je pense, l'idée de choisir à la base, quelqu'un qui ne nous correspond pas vraiment, quelqu'un avec qui il y a une incompatibilité de fond…
Enfin, une toute dernière chose : que savons-nous des schémas familiaux que nous répétons peut-être ?? (cela peut sauter des générations, c'est juste une idée… : )
Bises
Je reviens (enfin !) sur ton fil…
J'ai lu pas mal de réponses, et tes réponses faites aux réponses apportées…
Je finis par me dire une chose : s'il est très bien de se remettre en question, peut-être que "point trop n'en faut"... ?
J'entends par là qu'il n'y a pas de "donner trop ou trop peu… " : si vous aviez étés tous deux sur la même longueur d'ondes, tu n'aurais pas pensé que tu donnais trop !
Peut-être le secret réside-t-il un peu là : je veux dire, dans le fait de se trouver sur la même longueur d'ondes…
Parfois, un homme est amoureux fou pendant un certain temps, et soudain, il ne l'est plus. Et on n'a rien fait de mal, rien de trop ou de pas assez, cela n'a rien à voir avec nous, tout simplement…
La seule question à se poser est : pourquoi on s'accroche quand cela ne va plus ?
Des éléments de réponse :
- parce qu'on veut revivre "l'intense" du début ?
- parce qu'on n'a pas compris quelque chose, que c'est trop absurde, ce revirement brusque ?
- et donc, parce qu'on veut contrôler ?
- et plein d'autres raisons…
Peut-être, et j'aboutis à cette conclusion, y a-t-il tout simplement des personnes qui ne supportent pas la demi-mesure, l'engagement non tenu, le mensonge ?
Et que si nous faisons partie de ces personnes qui ne supportent pas cela, la seule question à se poser est : pourquoi nous sommes-nous retrouvées avec des hommes menteurs, etc... ?
Un autre élément de réponse : nos choix sont en partie inconscients, et tout le problème se trouve là… : nos mauvais choix, notre ambivalence, ce que nous ne maîtrisons pas…
Ceci dit, j'arrive à la même conclusion que toi, Sophana : je suis si… écorchée que je préfère encore rien ni personne plutôt que de souffrir à nouveau…
Bien sûr, l'autre soir (enfin, nuit… ), j'étais très mal… et après coup, je me suis rendue compte que je ne voulais pas vraiment de cet homme (SB, ses initiales… ), sinon cela aurait pu marcher, peut-être.
Je sentais que je n'étais pas prête à me faire à certaines choses, une façon de communiquer non directe (dans l'implicite, trop souvent… ), des problèmes de failles narcissiques que je sentais pas réglées chez lui, et puis des choix de vie : un bled en Alsace… vouloir rester et s'intégrer dans la région…
Donc, je n'ai pas forcé mais il y a pas mal d'années, j'aurais sûrement "succombé" (quel terme ancien, il faut que je cesse de visionner ces anciens et merveilleux films des années 50 à 60 !!!), et j'aurais fait un tas d'efforts d'adaptation… jusqu'au moment où tout se serait écroulé, d'une façon ou d'une autre….
Voilà, maintenant, pour toi, ce n'est pas tout à fait pareil, mais il y a quand même, je pense, l'idée de choisir à la base, quelqu'un qui ne nous correspond pas vraiment, quelqu'un avec qui il y a une incompatibilité de fond…
Enfin, une toute dernière chose : que savons-nous des schémas familiaux que nous répétons peut-être ?? (cela peut sauter des générations, c'est juste une idée… : )
Bises