- 14 mai 2020, 15:46
#1316262
Pas de problème etpourtant, merci au contraire, je ne suis pas là pour me faire bercer d'illusions. Je le fais déjà assez bien tout seul.
Clairement, je dois faire ce travail pour moi.. c'est vraiment nécessaire. J'arriverai pas à sortir du trou si je ne le fais pas, ça serait la double peine en quelques sortes : échec relationnel et échec personnel d'en tirer des leçons.. non non, ça je ne peux pas l'envisager. Le travail perso que j'ai entamé j'en ai déjà tiré quelques éléments que j'ai décris dans les deux ou trois derniers messages, pour moi c'est pas du vent.
Ma démarche et le travail sur moi je le fais en réaction à la séparation... et en même temps je ne vois pas comment ça pourrait être autrement, parce que oui c'est un certain déclic...
Du reste, et là je sens que ça se "gate", le problème c'est peut-être l'envie de recréer quelque chose d'autre avec elle, de croire que cet échec est surmontable à moyen ou long terme.. Mais ça ... j'en sais rien, et j'ai l'impression que de ne pas y croire en ferait défitinitivement une chimère.
Elle attendait du changement depuis plusieurs mois. Les problèmes s'étant accumulés (ça elle me l'a dit) elle n'avait plus la patience d'espérer un truc qui ne viendrait probablement pas de sitôt.
Hésitation ou difficulté à assumer, j'ai quand même aussi l'impression que récemment elle est venu vérifier où j'en étais.. réponse : probablement pas bien loin et encore beaucoup trop affligé.
Vraiment, là je me sens très con.. j'ai le sentiment d'être coincé dans cette contradiction. Accepter la rupture, le next etc ... c'est une chose, accepter l'idée que tout soit définitivement terminé ça en est une autre.. très con de mettre autant ma dignité de côté (mais ça quand on aime finalement..) et d'être aussi naïf pour rester accrocher à ses "peut-être" "je ne sais plus", "toi et moi blablabla"..
D'autant plus que ca vient de la femme qui m'a aimé, été plus que patiente, et m'a suffisamment respecté pour ne pas me cacher les choses.. enfin si on peut parler comme ça.. J'ai encore du mal à me convaincre qu'elle ne ressent plus rien pour moi et je crois que c'est déjà là le "problème" si on peut parler ainsi. En fait j'en sais rien. L'incertitude donc..
Ce que je sais c'est que l'épanouissement dans notre couple (et le sien d'abord..) était devenu compliqué progressivement, et qu'en l'espace de deux mois l'été dernier c'est devenu encore bien plus compliqué et que je n'ai pas fait grand chose pour arranger ça, au contraire même. Maintenant je le regrette amèrement.
Et si je ne cherche à convaince personne ici, je crois quand même que j'essaie de démeler le "pire de ma connerie", et ça je dois dire que seul j'ai parfois beaucoup de mal. A la fin de ce message j'en viens à penser que si je dois en chier un moment pour faire pardonner toutes les erreurs que j'ai faite récemment alors qu'elle n'était pas bien, pas de problème, je prends..
Alors qu'en fait le moyen le plus "simple" (le seul?) de m'en sortir serait de me convaincre que c'est fini, over, kaput, plus jamais.. de ne plus l'aimer .. et j'ai décidement beaucoup de mal avec ça.
Edit: décidément, je retourne bosser, avant de retourner aux mêmes raisonnements qu'au premier jour, mis à part le fait que c'est moi tout seul qui me fait du mal. Merci ici, franchement.
Clairement, je dois faire ce travail pour moi.. c'est vraiment nécessaire. J'arriverai pas à sortir du trou si je ne le fais pas, ça serait la double peine en quelques sortes : échec relationnel et échec personnel d'en tirer des leçons.. non non, ça je ne peux pas l'envisager. Le travail perso que j'ai entamé j'en ai déjà tiré quelques éléments que j'ai décris dans les deux ou trois derniers messages, pour moi c'est pas du vent.
Ma démarche et le travail sur moi je le fais en réaction à la séparation... et en même temps je ne vois pas comment ça pourrait être autrement, parce que oui c'est un certain déclic...
Du reste, et là je sens que ça se "gate", le problème c'est peut-être l'envie de recréer quelque chose d'autre avec elle, de croire que cet échec est surmontable à moyen ou long terme.. Mais ça ... j'en sais rien, et j'ai l'impression que de ne pas y croire en ferait défitinitivement une chimère.
Elle attendait du changement depuis plusieurs mois. Les problèmes s'étant accumulés (ça elle me l'a dit) elle n'avait plus la patience d'espérer un truc qui ne viendrait probablement pas de sitôt.
Hésitation ou difficulté à assumer, j'ai quand même aussi l'impression que récemment elle est venu vérifier où j'en étais.. réponse : probablement pas bien loin et encore beaucoup trop affligé.
Vraiment, là je me sens très con.. j'ai le sentiment d'être coincé dans cette contradiction. Accepter la rupture, le next etc ... c'est une chose, accepter l'idée que tout soit définitivement terminé ça en est une autre.. très con de mettre autant ma dignité de côté (mais ça quand on aime finalement..) et d'être aussi naïf pour rester accrocher à ses "peut-être" "je ne sais plus", "toi et moi blablabla"..
D'autant plus que ca vient de la femme qui m'a aimé, été plus que patiente, et m'a suffisamment respecté pour ne pas me cacher les choses.. enfin si on peut parler comme ça.. J'ai encore du mal à me convaincre qu'elle ne ressent plus rien pour moi et je crois que c'est déjà là le "problème" si on peut parler ainsi. En fait j'en sais rien. L'incertitude donc..
Ce que je sais c'est que l'épanouissement dans notre couple (et le sien d'abord..) était devenu compliqué progressivement, et qu'en l'espace de deux mois l'été dernier c'est devenu encore bien plus compliqué et que je n'ai pas fait grand chose pour arranger ça, au contraire même. Maintenant je le regrette amèrement.
Et si je ne cherche à convaince personne ici, je crois quand même que j'essaie de démeler le "pire de ma connerie", et ça je dois dire que seul j'ai parfois beaucoup de mal. A la fin de ce message j'en viens à penser que si je dois en chier un moment pour faire pardonner toutes les erreurs que j'ai faite récemment alors qu'elle n'était pas bien, pas de problème, je prends..
Alors qu'en fait le moyen le plus "simple" (le seul?) de m'en sortir serait de me convaincre que c'est fini, over, kaput, plus jamais.. de ne plus l'aimer .. et j'ai décidement beaucoup de mal avec ça.
Edit: décidément, je retourne bosser, avant de retourner aux mêmes raisonnements qu'au premier jour, mis à part le fait que c'est moi tout seul qui me fait du mal. Merci ici, franchement.
Modifié en dernier par Fugit le 14 mai 2020, 16:06, modifié 1 fois.