- 05 juil. 2015, 15:43
#1051473
Bonjour,
J'aimerais d'abord tous vous remercier de prendre à chaque fois le temps de me lire et de me répondre. Parce que mine de rien, se sentir "écouter" même via un forum, ça fait du bien.
Voilà, quatre mois de rupture et j'en suis toujours au même point. Le pire, je crois c'est d'avoir l'impression que tout ce que j'ai vécu avec lui n'a jamais existé que dans ma tête. En faite, on faite on ne se parle quasiment plus, on ne se voit quasiment plus. J'ai pas forcément envie de lui écrire ni de lui parler. J'ai l'impression d'être amoureuse d'un souvenir parfois. Mais inconsciemment, je refuse quand même de lâcher prise. Je l'aime, c'est comme ça.
En faite, on ne se voit qu'une fois par semaine, chaque fois à sa demande. Même scénario, je viens, on discute un peu, il me propose de rester manger, on b**** et j'men vais. A chaque fois, je cherche dans son regard, une connexion, une complicité, un truc qui me dit que ce n'est pas juste du sexe, que je ne suis pas juste un Kleenex mais je ne vois rien. On b**** (oui parce qu'à ce stade, c'est pas on fait l'amour) et ensuite on regarde un truc à la TV, enfin je regarde et lui joue sur son portable. Après le sexe, presqu'aucun dialogue, j'ai même l'impression de le faire ch**** à rester après. Et rebelote, une semaine passe sans nouvelles de sa part, jusqu'au prochain appel pour que je passe chez lui et qu'il se déroule la même chose. Un mois que ça dure. J'vis sur les nerfs depuis.
J'ai l'impression d'être salie à chaque fois que je le vois. Les mots se bloquent dans ma tête et j'aimerais lui dire "alors après cinq ans, c'est ça que je représente pour toi? C'est ça que tu vois en moi? ". J'suis ce genre de fille, en faite. Qu'on peut prendre, b**** et jeter à la fin. J'suis pas le genre de fille qu'on aime. Des fois, j'me dis que s'il fait ça c'est par pur vengeance, pour me faire mal. Mais il n'a pas besoin, j'ai déjà mal.
Je sais pas comment on peut passer d'une relation complice de cinq ans, à un plan Q misérable.
J'dis pas ne pas avoir une part de responsabilité, après tout, si notre relation est comme elle est, c'est parce que j'en suis responsable aussi, parce que je le veux bien, parce que j'ai toujours un libre arbitre et que je peux toujours dire non. Mais même s'il me détruit un peu plus à chaque fois, même s'il m'empêche d'avancer, même si j'en souffre, je préfère subir ça plutôt que de le perdre. Je ne peux pas le perdre. Mais pourtant j'suis pas comme ça. J'suis le genre romantique, j'veux avoir des papillons dans les yeux, l'impression de compter pour quelqu'un. J'veux donner et recevoir en retour.
J'aimerais d'abord tous vous remercier de prendre à chaque fois le temps de me lire et de me répondre. Parce que mine de rien, se sentir "écouter" même via un forum, ça fait du bien.
Voilà, quatre mois de rupture et j'en suis toujours au même point. Le pire, je crois c'est d'avoir l'impression que tout ce que j'ai vécu avec lui n'a jamais existé que dans ma tête. En faite, on faite on ne se parle quasiment plus, on ne se voit quasiment plus. J'ai pas forcément envie de lui écrire ni de lui parler. J'ai l'impression d'être amoureuse d'un souvenir parfois. Mais inconsciemment, je refuse quand même de lâcher prise. Je l'aime, c'est comme ça.
En faite, on ne se voit qu'une fois par semaine, chaque fois à sa demande. Même scénario, je viens, on discute un peu, il me propose de rester manger, on b**** et j'men vais. A chaque fois, je cherche dans son regard, une connexion, une complicité, un truc qui me dit que ce n'est pas juste du sexe, que je ne suis pas juste un Kleenex mais je ne vois rien. On b**** (oui parce qu'à ce stade, c'est pas on fait l'amour) et ensuite on regarde un truc à la TV, enfin je regarde et lui joue sur son portable. Après le sexe, presqu'aucun dialogue, j'ai même l'impression de le faire ch**** à rester après. Et rebelote, une semaine passe sans nouvelles de sa part, jusqu'au prochain appel pour que je passe chez lui et qu'il se déroule la même chose. Un mois que ça dure. J'vis sur les nerfs depuis.
J'ai l'impression d'être salie à chaque fois que je le vois. Les mots se bloquent dans ma tête et j'aimerais lui dire "alors après cinq ans, c'est ça que je représente pour toi? C'est ça que tu vois en moi? ". J'suis ce genre de fille, en faite. Qu'on peut prendre, b**** et jeter à la fin. J'suis pas le genre de fille qu'on aime. Des fois, j'me dis que s'il fait ça c'est par pur vengeance, pour me faire mal. Mais il n'a pas besoin, j'ai déjà mal.
Je sais pas comment on peut passer d'une relation complice de cinq ans, à un plan Q misérable.
J'dis pas ne pas avoir une part de responsabilité, après tout, si notre relation est comme elle est, c'est parce que j'en suis responsable aussi, parce que je le veux bien, parce que j'ai toujours un libre arbitre et que je peux toujours dire non. Mais même s'il me détruit un peu plus à chaque fois, même s'il m'empêche d'avancer, même si j'en souffre, je préfère subir ça plutôt que de le perdre. Je ne peux pas le perdre. Mais pourtant j'suis pas comme ça. J'suis le genre romantique, j'veux avoir des papillons dans les yeux, l'impression de compter pour quelqu'un. J'veux donner et recevoir en retour.