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Lectures, sorties, films... Et toutes ces choses dignes d'intérêt...
#1260487
Bien trouvé :) !! C'est ma mère qui m'a transmis aussi son amour de la fleur d'oranger. Ma crème pour le corps sent cette odeur et c'est une merveille, je l'achète chez Fragonard à Paris, l'odeur est délicate et pareille à nulle autre, c'est un peu ma signature olfactive ! Mes copines adorent me renifler quand elles me font la bise !
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#1260489
J'adore la maison fragonard...tu as visité la maison et le musée à Grasse ? A propos miu ce n'est pas très loin d'Aix... un projet de week end ... tu verras à l'époque du mimosa si tu peux y aller c'est magique.
La fleur d'Oranger ... c'est quand même un truc du Sud... faut avoir des racines méridionales pour comprendre 😂
#1260515
bonsoir ma petite miu

La toscane est très jolie, je suis d'accord...

Mais je suis aller dernièrement en Vénétie et c'est très beau aussi... En fait, on a de très beaux paysages en Europe mais on est trop con pour s'en rendre compte...

Alors, désolé de pourrir ton post... Mais tu es juste un brin d'herbe tellement enivrant que parfois l'on y croit...

Alors, juste merci...
#1260540
bonjour Elieza

Ha, la Hongrie... Oui, ma semaine de vacances d'il y a 10 ans à Budapest est un de mes meilleurs souvenirs... C'était en février, je me rappelle encore des blocs de glace sur le Danube, des jolis monuments... Et les thermes, barboter dans une piscine à 40 degrés avec de la neige autour, tellement grisant... Et je parles pas des hongroises, des avions de chasse !!! Clin d'œil du destin, ma compagne actuelle est d'origine hongroise...

La Serbie, j'y étais en 99 pour le boulot... Donc pas forcément des vacances... Mostar exactement, c'était sympa quand même (la région, pas le boulot...). Par contre à l'époque j'avais passé un WE à Dubrovnik (Croatie) et ça c'est à voir une fois dans sa vie. Une des plus jolie ville du monde, je me suis promis d'y retourner avant de crever...

La Bulgarie, connais pas, mais si tu as des conseils, je suis preneur...

Bon allez, je vais aller me balader sur la plage tiens...

Bonne journée
#1260593
Coucou les amis,

Merci les filles pour les avis sur le gâteau. Je suis totalement novice en pâtisserie. Quand j'étais au Viet Nam, je n'ai jamais fait de gâteau car cela n'est pas dans notre culture.

Pour ce cake au yaourt, je vais essayer d'ajouter la zeste de citron bio ou les fleurs d'orangers comme vous dîtes.

Quand Daenyan me parle des fleurs d'orangers, je pense directement à l'Andalousie, oh des orangers partout et les fruits tombent, parfument, l'odeur fanée dans le parc tout vert :lol:

Et quand Elieza parle du jasmin, je me souviens de la Sicile il y a 2 ans, en novembre, lorsque la saison de jasmin a bien et bel fini en Provence, je pouvais trouver ces fleurs en plein d'épanouissement à Scopello, à Syracuse. Et des citrons se penchent dans les jardins des habitants là bas.

@Albane: J'ai fait quelques fois un petit tour de la Côte d'Azur mais je ne suis jamais allée à Grasse car j'ai peur qu'il y aie trop de touristes là bas. Je vais y penser quand reviendra la saison de mimosas en janvier. ça devrait être chouette comme tu dis :P

@Arnold: Merci pour ton petit mot joli. J'aime l'image d'un brin d'herbe que t'as écrit 8-) Merci, c'est agréable de l'entendre ;)


Ce soir on change l'heure, et on peut dormir une heure en plus. C'est pas mal ça.

Depuis quelques jours, j'écoute la bossa nova de Lisa Ono. Une belle voix toute fraîche qui va bien à au temps si doux de l'automne.



Bonne soirée et bon weekend à vous tous. Je vous envoie plein de gros bisous fabuleux :bisou:
#1260609
Coucou Miu

A l'époque du carnaval il y a les corsos fleuris...
A Nice c’est carnaval et batailles de fleurs à grasse bataille de fleur à mandelieu mimosa et à menton avec les citrons . Enfin ça c'était avant les attentats... Je ne sais pas si cela continue depuis.
Mais le tanneron couvert de mimosa c'est chouette. Et Grasse en hiver même pendant les corsos c'est pas la foule... Je trouve ça assez mortel même... mais c'est joli et la maison fragonard maison où à vécu le peintre est un joli hôtel particulier provençal avec ses terres cuites et son escalier ... bien loin des folies 18ème.
Tu y retrouveras certains point commun avec les beaux immeubles anciens du coeur d'Aix en Provence.
As tu goûté les calissons?


Tout cela me fait penser à ce poème de Goethe

Connais-tu le pays où fleurit l'oranger,
Le pays des fruits d'or et des roses vermeilles,
Où la brise est plus douce et l'oiseau plus léger,
Où dans toute saison butinent les abeilles,
Où rayonne et sourit, comme un bienfait de Dieu,
Un éternel printemps sous un ciel toujours bleu?

Hélas! que ne puis-je te suivre
Vers ce rivage heureux d'où le sort m'exila!
C'est là, c'est là que je voudrais vivre,
Aimer, aimer et mourir!
C'est là que je voudrais vivre, c'est là! oui, c'est là!

Connais-tu la maison où l'on m'attend là-bas?
La salle aux lambris d'or où des hommes de marbre
M'appellent dans la nuit en me tendant les bras,
Et la cour où l'on danse à l'ombre d'un grand arbre,
Et le lac transparent, où glissent sur les eaux
Mille bateaux légers pareils à des oiseaux?

Hélas! que ne puis-je te suivre
Vers ce pays lointain d'où le sort m'exila!
C'est là, c'est là que je voudrais vivre,
Aimer, aimer et mourir!
C'est là que je voudrais vivre, c'est là! oui, c'est là!
#1260638
Ce que tu disais sur les jardins en Andalousie
M'a donné envie de relire un texte de Daudet qui me rappelle le jardin de mon grand père ses citronniers son bigaradier son pamplemoussier ses orangers et ses oliviers...
Son immense cyprès et ses lauriers roses.

Je suis certaine qu'il te parlera si tu ne le connais pas encore.


À Paris, les oranges ont l’air triste de fruits tombés ramassés sous l’arbre. À l’heure où elles vous arrivent, en plein hiver pluvieux et froid, leur écorce éclatante, leur parfum exagéré dans ces pays de saveurs tranquilles, leur donnent un aspect étrange, un peu bohémien. Par les soirées brumeuses, elles longent tristement les trottoirs, entassées dans leurs petites charrettes ambulantes, à la lueur sourde d’une lanterne en papier rouge. Un cri monotone et grêle les escorte, perdu dans le roulement des voitures, le fracas des omnibus :

— À deux sous la Valence !

Pour les trois quarts des Parisiens, ce fruit cueilli au loin, banal dans sa rondeur, où l’arbre n’a rien laissé qu’une mince attache verte, tient de la sucrerie, de la confiserie. Le papier de soie qui l’entoure, les fêtes qu’il accompagne, contribuent à cette impression. Aux approches de janvier surtout, les milliers d’oranges disséminées par les rues, toutes ces écorces traînant dans la boue du ruisseau, font songer à quelque arbre de Noël gigantesque qui secouerait sur Paris ses branches chargées de fruits factices. Pas un coin où on ne les rencontre. À la vitrine claire des étalages, choisies et parées ; à la porte des prisons et des hospices, parmi les paquets de biscuits, les tas de pommes ; devant l’entrée des bals, des spectacles du dimanche. Et leur parfum exquis se mêle à l’odeur du gaz, au bruit des crincrins, à la poussière des banquettes du paradis. On en vient à oublier qu’il faut des orangers pour produire les oranges, car pendant que le fruit nous arrive directement du Midi à pleines caisses, l’arbre, taillé, transformé, déguisé, de la serre chaude où il passe l’hiver, ne fait qu’une courte apparition au plein air des jardins publics.

Pour bien connaître les oranges, il faut les avoir vues chez elles, aux îles Baléares, en Sardaigne, en Corse, en Algérie, dans l’air bleu doré, l’atmosphère tiède de la Méditerranée. Je me rappelle un petit bois d’orangers, aux portes de Blidah ; c’est là qu’elles étaient belles ! Dans le feuillage sombre, lustré, vernissé, les fruits avaient l’éclat de verres de couleur, et doraient l’air environnant avec cette auréole de splendeur qui entoure les fleurs éclatantes. Çà et là des éclaircies laissaient voir à travers les branches les remparts de la petite ville, le minaret d’une mosquée, le dôme d’un marabout, et au-dessus l’énorme masse de l’Atlas, verte à sa base, couronnée de neige comme d’une fourrure blanche, avec des moutonnements, un flou de flocons tombés.

Une nuit, pendant que j’étais là, je ne sais par quel phénomène ignoré depuis trente ans cette zone de frimas et d’hiver se secoua sur la ville endormie, et Blidah se réveilla transformée, poudrée à blanc. Dans cet air algérien si léger, si pur, la neige semblait une poussière de nacre. Elle avait des reflets de plumes de paon blanc. Le plus beau, c’était le bois d’orangers. Les feuilles solides gardaient la neige intacte et droite comme des sorbets sur des plateaux de laque, et tous les fruits poudrés à frimas avaient une douceur splendide, un rayonnement discret comme de l’or voilé de claires étoffes blanches. Cela donnait vaguement l’impression d’une fête d’église, de soutanes rouges sous des robes de dentelles, de dorures d’autel enveloppées de guipures…

Mais mon meilleur souvenir d’oranges me vient encore de Barbicaglia, un grand jardin auprès d’Ajaccio où j’allais faire la sieste aux heures de chaleur. Ici les orangers, plus hauts, plus espacés qu’à Blidah, descendaient jusqu’à la route, dont le jardin n’était séparé que par une haie vive et un fossé. Tout de suite après, c’était la mer, l’immense mer bleue… Quelles bonnes heures j’ai passéesdans ce jardin ! Au-dessus de ma tête, les orangers en fleur et en fruit brûlaient leurs parfums d’essences. De temps en temps, une orange mûre, détachée tout à coup, tombait près de moi comme alourdie de chaleur, avec un bruit mat, sans écho, sur la terre pleine. Je n’avais qu’à allonger la main. C’étaient des fruits superbes, d’un rouge pourpre à l’intérieur. Ils me paraissaient exquis, et puis l’horizon était si beau ! Entre les feuilles, la mer mettait des espaces bleus éblouissants comme des morceaux de verre brisés qui miroitaient dans la brume de l’air. Avec cela le mouvement du flot agitant l’atmosphère à de grandes distances, ce murmure cadencé qui vous berce comme dans une barque invisible, la chaleur, l’odeur des oranges… Ah ! qu’on était bien pour dormir dans le jardin de Barbicaglia !

Quelquefois cependant, au meilleur moment de la sieste, des éclats de tambour me réveillaient en sursaut. C’étaient de malheureux tapins qui venaient s’exercer en bas, sur la route. À travers les trous de la haie, j’apercevais le cuivre des tambours et les grands tabliers blancs sur les pantalons rouges. Pour s’abriter un peu de la lumière aveuglante que la poussière de la route leur renvoyait impitoyablement, les pauvres diables venaient se mettre au pied du jardin, dans l’ombre courte de la haie. Et ils tapaient ! et ils avaient chaud ! Alors, m’arrachant de force à mon hypnotisme, je m’amusais à leur jeter quelques-uns de ces beaux fruits d’or rouge qui pendaient près de ma main. Le tambour visé s’arrêtait. Il y avait une minute d’hésitation, un regard circulaire pour voir d’où venait la superbe orange roulant devant lui dans le fossé ; puis il la ramassait bien vite et mordait à pleines dents sans même enlever l’écorce.

Je me souviens aussi que tout à côté de Barbicaglia, et séparé seulement par un petit mur bas, il y avait un jardinet assez bizarre que je dominais de la hauteur où je me trouvais. C’était un petit coin de terre bourgeoisement dessiné. Ses allées blondes de sable, bordées de buis très vert, les deuxcyprès de sa porte d’entrée, lui donnaient l’aspect d’une bastide marseillaise. Pas une ligne d’ombre. Au fond, un bâtiment de pierre blanche avec des jours de caveau au ras du sol. J’avais d’abord cru à une maison de campagne ; mais, en y regardant mieux, la croix qui la surmontait, une inscription que je voyais de loin creusée dans la pierre, sans en distinguer le texte, me firent reconnaître un tombeau de famille corse. Tout autour d’Ajaccio, il y a beaucoup de ces petites chapelles mortuaires, dressées au milieu de jardins à elles seules. La famille y vient, le dimanche, rendre visite à ses morts. Ainsi comprise, la mort est moins lugubre que dans la confusion des cimetières. Des pas amis troublent seuls le silence.

De ma place, je voyais un bon vieux trottiner tranquillement par les allées. Tout le jour il taillait les arbres, bêchait, arrosait, enlevait les fleurs fanées avec un soin minutieux ; puis, au soleil couchant, il entrait dans la petite chapelle où dormaient les morts de sa famille ; il resserrait la bêche, les râteaux, les grands arrosoirs ; tout cela avec la tranquillité, la sérénité d’un jardinier de cimetière. Pourtant, sans qu’il s’en rendît bien compte, ce brave homme travaillait avec un certain recueillement, tous les bruits amortis et la porte du caveau refermée, chaque fois discrètement comme s’il eût craint de réveiller quelqu’un. Dans le grand silence radieux, l’entretien de ce petit jardin ne troublait pas un oiseau, et son voisinage n’avait rien d’attristant. Seulement la mer en paraissait plus immense, le ciel plus haut, et cette sieste sans fin mettait tout autour d’elle, parmi la nature troublante, accablante à force de vie, le sentiment de l’éternel repos…
#1260814
Merci Albane pour tes très beaux textes. Je les ai lus le matin, et ils ont mis ma journée dans une bonne humeur :P

Pour les calissons, oui je les ai goûtés pour la première fois quand je suis venue à peine sur Aix il y a 7 ans. Oh, la première expérience n'étais pas trop enchantée. Les calissons étaient trop sucrés pour moi. Moi qui n'aime pas trop du sucre, ni de chocolat. C'est pour ça quand je prépare du gâteau, je choisis toujours les sortes légères et très modérée de sucrerie 8-)

Et puis cette année, j'ai goûté les calissons dans une foire du village à Fuveau qui est de 20 km d'Aix. J'étais étonnée de la qualité et du goût des calissons cette fois, qui restent très bon, parfument d'amande et d'oranger, pas très sucrés. Juste comme il faut quoi ;)


Hier je suis allée dans les forêts de châtaigniers à Garde Freinet, non loin de Saint Tropez. Moi, mon copain et notre ami, on a ramassé un petit sac de châtaignes. Il y en a partout, en a trop de grosses châtaignes. Il faudrait mettre toute la journée pour les ramasser et ramasser. Mais nous, on a pris du temps pour faire une randonnée qui durait 5 heures. On était même perdu dans les forêts lorsqu'on suivait un chemin hors piste.

Du coup, ce midi, je suis contente de pouvoir faire le nouveau plat de la saison, le poulet mijoté aux châtaignes 8-)

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Les ingrédients:

- 2 cuisses de poulet coupées en 4 si les cuisses sont grosses (J'ai achetés les cuisses de poulet fermier à la boucherie du palais de justice à Aix. Elles sont énormes, j'ai demandé alors à la bouchère de les couper en 4)

- 200 gr de châtaignes

- 2 cuillères à soupe de la sauce de poisson

- 2 c à soupe du vin blanc

- 1 c à soupe de la sauce soja

- 2 gr de gingembre

- 1/10 Oignon

A faire:

- Sortir 2 casseroles. D'abord faire cuire les châtaignes dans une casserole pendant 10 mn. Leur peler la peau.

Dans une autre casserole, faire cuire du poulet dans l'eau jusqu'à l'ébullition. Jeter l'eau et rincer le poulet dans l'eau froide pour que le poulet soit bien propre.

- Dans une casserole, mettre 2 c à soupe de l'huile végétale, mettre des oignons et du gingembre. Puis ajouter du poulet. Mettre la sauce de poisson, la sauce de soja au poulet. Mettre des châtaignes. Remuer la casserole. Ajouter du vin blanc. Couvrir la casserole par un couvercle. Ajouter environ 200 ml de l'eau dans la casserole de poulet. Mettre 1 c au café du sel.

- Mijoter le poulet pendant environ 30 mn. Eteindre le feu. Poivrer le poulet.

- Servir chaud avec du riz blanc ou de la pomme de terre.


Je souhaite à toi, Albane, et aux autres amis qui passent par ici, un bel après -midi. Gros bisous fabuleux ; - )

Poste de temps en temps de beaux textes ici, s'il te plait. ça me fait plaisir de les lire.
#1264058
Coucou mes chers amis,

ça fut un moment que je n'écris plus ici, malgré ma lecture régulière ;- )

La fin d'année s'approche, le temps file donc avec la grande vitesse de TGV. Je cours entre ma ptite cuisine, le ménage de la maison et le boulot de droite à gauche de temps en temps.

Après 6 mois de création, ma cuisine n'a pas bcp développé mais j'ai environ 50 clients fidèles qui commandent une fois par 2, 3 semaines. Ce boulot ne peut pas me nourrir pour l'instant, mais je le fait avec du plaisir, en attendant qqch de stable. On verra, verra ;)

Concernant mon adorable chaton Pitou, il a encore bcp grandi. Il se pèse plus 2 kg maintenant. Je l'amènerai chez veto la semaine prochaine pour le castrer et lui mettre la puce. Comme ça il pourra sortir tranquilou, fouiller la terre, les plantes dehors et laisser mes fleurs tranquilles, j'espère 8-)

Il a neigé la première fois de cette année à Aix, dans ma ville, toute blanche, et la neige a tenu bien longtemps par rapport aux autres années.

Aujourd'hui, j'ai fait le gâteau banane au chocolat à la base de la recette du gâteau au yaourt au dessus. J'ai réduit la moitié les ingrédients, ajouté 3 bananes. Et le résultat est très satisfaisant. J'ai eu un gâteau pour 4 personnes, qui n'est pas du tout lourd comme celui à la recette d'origine, très savoureux, bien fondant.

Une autre fois, j'ai essayé de faire le gâteau au kaki et aux râpes de coco à la base de cette recette. C'était très bon aussi.

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Si vous voulez me partager vos nouvelles, vos lectures, vos musiques, je vous écoute avec grand plaisir.

Des gros bisous fabuleux à tout le monde ^=^
#1264078
Bonsoir ma petite miu

Reste comme tu es... Tu es un petit peu le rayon de soleil de ce forum et ça fait du bien...

Wow, sinon c'est pas cool de nous mettre l'eau à la bouche avec ton gâteau ! ! La recette en MP ?? 😆

Bon petit bémol : pourquoi vouloir castrer ce pauvre matou ? ? Laisse le vivre sa vie de chat. ..

Bisous petit brin d'herbe, prends bien soin de toi
#1264511
Merci Sandstorm, Willy et Arnold pour vos petits mots doux. c'est toujours sympa de les entendre ;)

Pour répondre à la question d'Arnold, autour de chez moi, il y a pas vraiment des chattes sauvages, mon chaton devrait partir loin pour les trouver si on le castre pas. Il risque fort de se perdre, vu que jusqu'ici il est jamais sorti de la maison.

Demain je l'amènerai chez veto pour faire ce qu'il faut. J'espère qu'il ira bien :? Une castration est quand même une opération. Et j'ai un peu peur pour lui 😢

Surtout le temps n'aide pas. Il pleut à Aix depuis hier. Bcp de pluies, le temps morose. Je ne suis pas du tout sortie.

Juste rester chez moi, apprendre un peu d'anglais sur Bbc et ne faire rien du tout.

Des fois on a envie de rien :roll:

La fin d'année, le Noel s'approche. Pourtant je n'ai pas encore préparé les cadeaux car je n'ai plus de sous 😢 J'ai eu problème avec le pôle d'emploi à cause de la fin de mon titre de séjour. Du coup depuis un mois et demi, je ne reçois plus de l'indemnité.

Il me faudrait un boulot, boulot 😢


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Que reste -t-il de nos jeunesses?


Sous le soleil d’automne
Dans l’évier
Fut rincée chaque olive verte,
Que j’ai cueillie depuis quelques semaines.


J’irai là-bas,
Le dernier endroit
où se cachent les contes de fée
Où la mer est un garçon aux cheveux bouclés
Il nous donne les adieux
des années lointaines.

La promesse au fond du passé
Emerge comme une herbe fanée


Ma jeunesse
Aventureuse,
Des Chemins
Bohémiens,
Est -il possible d’être pour toujours
un petit fleuve qui s’endort
A l’autre côté de la forêt ?



Le tablier aux fleurs
Cet évier
Dans cette cuisine si charmante
Chaque olive fut un rêve inachevé
Amer


J’irai bientôt là-bas
Que reste -t-il de nos jeunesses ?

7.12.17


Des fois chuis un peu démotivée concernant le travail. Dans quelques jours je participerai à un atelier de lecture avec les élèves dans le collège d'un pote. Je leur lirai mes poèmes en vietnamien et en version française. A cette occasion, la prof et les élèves me commanderaient aussi mes plats pour pouvoir manger tous ensemble.

Bon, à quoi sert -t-elle, la démotivation ;- )

Malgré le mauvais temps, je vous souhaite un bel après-midi. Gros bisous fabuleux.

P.S à Arnold: Je posterai la recette de ce gâteau banane chocolat, il est très simple à faire. Mais hier je l'ai refait vite pour pouvoir amener chez mes amis. J'ai oublié de mettre d'huile dans le gâteau, et le résultat était pas terrible ^=^ Des fois, il faut rater quelque chose pour se rendre compte de la valeur d'un ingrédient et pour réfléchir à la meilleure solution.
#1264513
Miu tu sais tu devrais essayer de faire des gâteaux un peu plus gouteux
le gâteau au yaourt c'est la base mais il y a bcp plus goûteux
tiens je te donne un exemple ce petit cake au citron
Ingredients
3 oeufs à température ambiante
190 g de farine
1/2 cuil. à café de levure chimique
2 citrons bio
200 g de sucre en poudre
95 g de crème liquide entière
2 cuil. à soupe de rhum blanc
65 g de beurre fondu
1 pincée de sel
Ingrédients pour le sirop
75 g d’eau
30 g de sucre
Le jus d’un demi citron
Préchauffer le four à 160 °c.
Laver les citrons, prélever les zestes et les verser dans un saladier. Ajouter le sucre, le mélanger avec les zestes et laisser reposer 10 minutes.
Fouetter les oeufs avec le mélange sucre/zestes, jusqu’à ce qu’ils blanchissent. Ajouter alors la crème, puis le rhum et le sel avant de fouetter.
Tamiser la farine, l’ajouter à la préparation précédente et bien mélanger. Ajouter enfin le beurre fondu, mélanger et verser dans un moule à cake beurré et fariné.
Enfourner pour 1 heure de cuisson à 160°c, jusqu’à ce que la lame d’un couteau plantée dans le cake ressorte sèche.
Préparer ensuite le sirop : verser l’eau et le sucre dans une petite casserole, porter à ébullition sur feu moyen et laisser frémir quelques minutes puis retirer du feu.
Ajouter le jus de citron et mélanger. Arroser le cake cuit encore chaud avec le sirop au citron puis le laisser refroidir avant de le démouler.

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tu m'en dira des news, moi je rajoute un peu de zeste de combawa pour corser la chose
#1265039
Merci Albane pour la recette. ça a l'air bon ce gâteau là. Je vais l'essayer ce wk et je posterai la photo ^^ Mais c'est marrant dans la photo que t'as postée, le gâteau est bien foncé, comme le gâteau au chocolat 8-)

Pour Willy, je t'ai rarement vu écrire des poèmes ;) Continue à écrire des mots poétiques, s'il te plait. ça m'enlace :P

Pour les nouvelles de Pitou, je l'ai amené chez véto mardi dernier. La castration, la puce, le petit tatouage dans l'oreille, le vaccin. Tout s'est fait pendant 2 heures. ça coûtait cher :cry: Mais au moins, le vétérinaire est très bien, et Pitou va bien après.

Même avec la castration, ce chaton est toujours diabolique :mrgreen: Il est très vif, cherche tout le temps des conneries à faire :-Blue Mais qu'est ce qu'il est mignon, lui.

Allez, bonne nuit les amis.

Gros bisous fabuleux à vous tous.
#1265048
miu a écrit : 14 déc. 2017, 23:29
Même avec la castration, ce chaton est toujours diabolique :mrgreen: Il est très vif, cherche tout le temps des conneries à faire :-Blue Mais qu'est ce qu'il est mignon, lui.

si Pitou est plutôt vif de caractère, même avec la castration il le restera. c'est un trait de caractère mais il fera moins de bêtises avec l'âge...

;)
#1265057
Il fera moins de bêtise... mais il faudra attendre ses 5 /6 ans quand meme... et encore matin et soir tu auras droit au quart d'heure de bonds partout...

Le cake est clair, c'est juste la photo qui était dans l'ombre sur mon buffet qui fait ça, d'ailleurs le gâteau au chocolat est juste une tuerie.... il ne ressemble a rien, mais mon fils ne jure que par lui depuis ses 6 ans... c'est le gâteau de suzy... tu tapes sur internet et ... tu en auras plein de version, il est très connu.
#1266212
La toute dernière photo au dessus de ton poëme est magnifique... j'aime beaucoup sa teinte mélancolique - et j'ai trouvé un texte de Corinne S., dont je te rapporte une partie seulement - la fin, parce que poëtique et qu'elle me semble aller à merveille avec le paysage blanc derrière la vitre...

L'ivresse de la neige

" Alors quand Stephanie part skier, j’endosse mes bottines imperméables et je vais m’enfoncer dans la neige. Le scintillement si particulier de la neige, les vagues brumeuses qui tombent des sapins, au-devant d’un rayon de soleil, les branches gracieuses pliées sous le poids et surtout le silence, tout ça me remplit de joie. C’est une ivresse, celle d’être seule au monde pour quelques instants, spectatrice privilégiée de la pure beauté du monde.Je n’ai jamais froid quand je marche. Il fait -7°C mais mon manteau est ouvert, je ne porte pas de gants et j’ai enlevé le bonnet. Je m’imbibe de l’agréable fraîcheur qui fondrait presque sur ma peau. Je suis un peu comme tous ces éléments autour de moi, les sapins, les cimes, les toitures boisées des chalets: je profite des rayons du soleil malgré la densité de cette masse blanche dans laquelle tout s’enfonce ou s’ensevelit. Tout cela est très simple. Je n’ai besoin de plus rien d’autre que mon souffle, ma peau et mon regard.
« Tu devrais essayer la méditation, ça te ferait du bien. » On me l’a dit un millier de fois. Or, je le sais déjà, et c’est là que je la trouve: dans la solitude, au coeur des éléments. C’est comme si, seule et sans jugement, seule et sans attentes, seule et sans autre bruit que celui du vent je pouvais, enfin, recoller les morceaux brisés au fond de moi. "

Je t'embrasse fabuleusement, Miu
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