- 27 avr. 2014, 14:35
#880617
Mon histoire, en bref...elle ressemble surement à beaucoup d'autres.
Nous tombons amoureux alors que nous sommes tous les deux en couple avec enfants.
Il décide le premier, au bout d'un mois, de se séparer de sa femme.
Un peu plus tard, je prends la même décision.
Une histoire d'un peu plus d'une année, qu'il arrête un beau matin d'été, par un simple mail.
Deux jours avant, on faisait l'amour, il me parlait d'amour et de nos vacances le mois d'après.
Quelques semaines avant, il m'avait présenté à ses amis et à ses enfants.
Depuis il a rencontré quelqu'un et m'a souvent recontactée pour me proposer son amitié.
Que j'ai refusé. Je l'ai aimé. Pleinement, intensément. Après avoir connu son amour, son amitié ambigue me ferait juste souffrir.
Après cette rupture dont la brutalité et l'imprévisibilité m'ont dévastée, j'ai accepté la fin de cette histoire et j'ai retrouvé une forme de sérénité.
Du moins, c'est ce que je croyais avant la semaine dernière.
A l'occasion d'une randonnée dans le désert, j'ai eu un matin l'envie de ne plus suivre le groupe et de partir dans la direction opposée, seule, pour en finir.
J'étais traversée par la souffrance de penser que je n'étais plus essentielle pour personne. Que je n'étais plus aimée.
Et je me suis dit à quoi bon continuer ? Puisque j'ai déjà connu le meilleur de la vie, tous les bonheurs qu'elle peut offrir, autant arrêter là.
L'instinct de vie a été le plus fort, je suis revenue vers le groupe, et j'ai simplement pleuré en marchant.
Comment est-ce qu'on s'habitue à vivre sans amour, sans calins, sans tendresse, sans affection d'un homme qu'on aime et qui nous aime ?
Nous tombons amoureux alors que nous sommes tous les deux en couple avec enfants.
Il décide le premier, au bout d'un mois, de se séparer de sa femme.
Un peu plus tard, je prends la même décision.
Une histoire d'un peu plus d'une année, qu'il arrête un beau matin d'été, par un simple mail.
Deux jours avant, on faisait l'amour, il me parlait d'amour et de nos vacances le mois d'après.
Quelques semaines avant, il m'avait présenté à ses amis et à ses enfants.
Depuis il a rencontré quelqu'un et m'a souvent recontactée pour me proposer son amitié.
Que j'ai refusé. Je l'ai aimé. Pleinement, intensément. Après avoir connu son amour, son amitié ambigue me ferait juste souffrir.
Après cette rupture dont la brutalité et l'imprévisibilité m'ont dévastée, j'ai accepté la fin de cette histoire et j'ai retrouvé une forme de sérénité.
Du moins, c'est ce que je croyais avant la semaine dernière.
A l'occasion d'une randonnée dans le désert, j'ai eu un matin l'envie de ne plus suivre le groupe et de partir dans la direction opposée, seule, pour en finir.
J'étais traversée par la souffrance de penser que je n'étais plus essentielle pour personne. Que je n'étais plus aimée.
Et je me suis dit à quoi bon continuer ? Puisque j'ai déjà connu le meilleur de la vie, tous les bonheurs qu'elle peut offrir, autant arrêter là.
L'instinct de vie a été le plus fort, je suis revenue vers le groupe, et j'ai simplement pleuré en marchant.
Comment est-ce qu'on s'habitue à vivre sans amour, sans calins, sans tendresse, sans affection d'un homme qu'on aime et qui nous aime ?
Modifié en dernier par Lalibela le 08 mai 2014, 22:09, modifié 1 fois.