- 13 juin 2017, 07:17
#1244914
Bonjour,
Je remercie déjà ceux qui prendront le temps de me lire. En fait, je n'attends pas de miracle, ou de piste, je crois que j'ai sincèrement besoin d'évacuer, tout simplement.
Pour faire une histoire courte, j'ai 29 ans et mon ex conjointe à 30. J'ai été avec elle, pendant environ 2 ans et demi. Ce fut comme pas mal tout le monde, une relation avec de très beaux moments et des bas, beaucoup de disputes. Bref, une relation toxique à ses heures. Diverses ruptures, toujours à l'initiative de madame. Nous sommes revenus ensemble plusieurs fois, moi face à mon vide intérieur et ma souffrance intense qui lui promettais avoir compris certaines choses et jurais changer! Ce que nous ne ferions pas pour faire taire ce mal-être interne face à une rupture? Je t'aimeeeeeeeeee reviens, cette dépendance affective qui nous en fais perdre notre dignité humaine! Enfin... plusieurs se reconnaîtront très certainement.
Je ne m'attarderais pas tant sur ce qu'était mon couple, puisque cela serais inutile et en vain. Elle m'a quitté définitivement il y a environ 5 mois. Quelques jours plus tard, elle avait un nouveau conjoint. Et j'ai été livré face au combat que je redoutais tant, à moi, à ma solitude. Ce jour là, bien que le mal m'habitais, que l'envie de mourir était présente chaque jour et omniprésente, je me suis promis, d'aller au bous des choses, de ne pas fuir et de me faire face. J'ai décidé de ne pas rencontrer personnes, de travailler sur moi. Pour être franc avec vous, je ne sais pas comment, ni pourquoi je suis toujours en vie aujourd'hui, j'ai une force en moi, celle qui me permet de toujours me relever. J'ai décidé de consulter un PSY, en fait, je le vois depuis 5 mois maintenant, chaque semaine. J'ai failli longtemps abandonner, bien souvent, pas nécessairement à cause de la rupture, mais parce que, un peu comme chacun d'entre vous, j'ai eu une vie assez moche, surtout mon enfance. J'ai été abusé sexuellement, j'ai eu une mère perverse narcissique qui m'a utilisé à outrance, un père absent qui m'a abandonné, enfin bref, je ne fais pas pitié, nous avons tous notre histoire, mais j'ai été livré à moi seul. Tout ça pour dire, que... j'en avais assez de consulter pour "régler" un problème, et puis qu'un autre surgis. Je n'y voyais pas de fin... Mais j'ai ça en moi, je me relève toujours d'une certaines façon. Bien des choses enfouies en moi on remontés en moi lors de cette rupture, c'est certains que nous les aimons, que la perte des personnes que l'on aime nous font excessivement mal, mais je crois que nous aurions avantage à creuser davantage.. à voir les schémas que nous répétons de façon inconsciente. Enfin, c'est ma vision et je sais que ce n'est pas partagé par tous!
J'ai vue mon psy, et j'ai fini par m'ouvrir sur ce que j'avais vécu, avec ma mère et etc. Il m'a dit, "C'est surprenant que tu sois toujours en vie". Je ne sais pas si je devrais le prendre comme un compliment, mais enfin. Fin de la parenthèse sur ma vie, je réalise que j'ai encore tendance à me victimiser.. ou à décrire ma situation de façon "Je souffffreeeeeee" S'il y a bien une chose que j'ai appris durant ces mois, c'est que j'ai été une victime jeune, mais qu'aujourd'hui ce n'est plus le cas... ! Revenons donc au sujet principal de ce forum! L'ex.
J'ai eu de la difficulté à accepter la rupture, bien évidemment. Il m'est arrivé de lui écrire dans mes moments de faiblesses pour avoir droit à une froideur extrême. Nouveau conjoint, nouveau nuage, la belle vie! Tout s'est fait rapidement, de façon froide et assez abjecte.
J'ai donc passé des mois à marcher dehors le soir, à pleurer, crier avec une douleur au ventre, croyant qu'elle me détestais. J'avais beau me rappeler plusieurs de ces dernières paroles. "Un jour, tu vas réaliser que je t'aimais tellement, mais j'ai besoin de me protéger". Mais les actions de ça pars ne témoignais tous sauf ça. Donc je croyais qu'elle me détestais, et ça me faisais franchement énormément mal. J'ai eu envie de me blottir dans les bras d'une autre, d'utiliser des substances, bref n'importe quoi pour faire taire ce malaise intérieur si profond et sans fin qui m'habitais jour et nuit. Mais je me disais simplement, tant qu'à souffrir autant... aussi bien apprendre quelque chose de tout ça. J'ai fais du chemin, tranquillement... et le mal à fini par diminuer, à être différent. J'ai fais face à mon passé avec mon PSY et je crois avoir grandi, je suis fier de moi, mais.. elle occupait toujours mes pensés, elle vivait en moi..
Un matin, il y a 3 semaines, lors d'une séance chez mon psy, je me suis simplement mis à pleurer et j'ai simplement dis, il est temps que je la laisse partir... ce fut énormément douloureux. Mais je m'y approchais!
Deux jours plus tard, devinez qui m'a écris! De façon subtile, sur un sujet sans fondement. Eh oui, c'était elle. Elle fini par m'envoyer une photo de chez elle? Me montrant les changements.. j'étais beaucoup plus détaché, et croyez moi ils/elles le sentent. J'ai répondu de façon neutre et simple, en fait je m'en foutais un peu.. et puis elle me sorti le fameux, sorti de nullpart
"Tu sais... je suis vraiment désolé de ce qui s'est passé entre nous"
J'ai simplement demandé... de quoi?
"De bien des choses.. je n'aurais pas voulu que ça se passe comme ça disons, de bien des choses.."
Je me suis simplement dis, bon les remords qui remontent, elle veut se donner bonne conscience. Malheureusement ou heureusement... je suis quelqu'un avec énormément de compassion, voir quelqu'un souffrir m'interpelle énormément, probablement en raison de ce que j'ai vécu, donc je m'y intéresse vraiment, mais... on peu en abuser!
J'ai laisser couler, et puis après plusieurs petite questions ou elle testait ma réceptivité, quand elle se senta suffisamment à l'aise, tout à éclater et j'ai eu droit à..
"J'aimerais pouvoir dire que ça va, que ça se place mais j'y arrive pas... Je suis encore fâchée des fois c'est rare, , je pleure encore mais c'est rare aussi! Des fois je t'en veux tellement, d'autre fois je men veux! Je suis pas tellement sereine avec tout ça.. je me dis qu'il fallait vraiment que ça arrête qu'on se détruisait! Fallait c'est tout..."
"Tsé je le sais que tu étais toujours la pour moi! Pas toujours comme j'avais besoin mais j'aurais du te parler plus de comment je me sentais, de ce dont j'avais besoin, envie, je sais qu'à la fin J'avais peur... De m'ouvrir à toi, de te laisser m'approcher, j'avais tellement mal... Mais j'arrive pas à me souvenir au début! Je crois que je ne veux juste pas ne souvenir, parce que ça ferait juste encore plus mal"
"C''est pas toi qui m'a déçu... C'est nous! Je suis moi tsé, je vais continuer à pleurer de temps en temps en repensant à toi! Et ça va probablement m'arriver encore dans 1an, dans 2 ans ,dans 5 ans! J'imagine qu'un soir, je prendrai un bain et même si ça fait des années je vais encore avoir les yeux humides en y repensant! Mais ça c'est moi... Un peu trop intense"
"C'était toi mon confident tsé... je me sens si seule, je ne peux parler de tout ça à personne sans me faire juger"
Enfin bref, vous voyez le genre. J'ai simplement réaliser une chose à ce moment là. Nous n'étions plus à la même place, elle COMMENÇAIT son deuil. J'ai passé par tous ces étapes là... mais étant ce que je suis, je l'ai simplement écouté et accueilli, parce qu'elle en avait besoin et parce que je l'aime, tout simplement. En me disant que la lune de miel avec son nouveau copain devait être fini, mais à quoi bon lui remettre sur le nez... je sais ce que l'on peux ressentir, le mal si profond... alors j'ai été là, sans reproches, avec compassion et amour.
Par contre, j'ai vu mes changements opéré en moi, je me suis dis cette journée là, ne lui fais aucune reproches si elle s'en va lorsqu'elle ira mieux, ne pleure pas qu'elle t'a utilisé puisque TU LUI EN DONNE LA CHANCE, je suis responsable aujourd'hui... alors qu'avant j'étais un enfant qui crias à l'injustice, je donnais en espérant recevoir en retour, et j'explosais en furie si je n'avais rien en retour, plus maintenant, je l'ai fais par amour, en connaissance de cause.
Et puis le lendemain matin "Alex n'attends que tu lui proposes quelque chose pour le voir!" Ah oui, j'ai oublié de mentionner, elle a un fils de 10 ans. Je m'en suis occupé comme si c'étais le miens, du mieux que j'ai pu, en étant présent dans tous les aspects de sa vie. Il voit son père régulièrement, mais je trouvais cela important d'être présent pour lui (eh oui ça me ramène à mon enfance effectivement..). Il s'est attaché à moi, alors bon.. J'ai accepté de le voir pour toute une fin de semaine. C'était la semaine dernière. Elle est venu me le porter, je l'ai donc revu après 5 mois... Elle n'est resté que 30 secondes, prétextant un retard pour son travail, elle n'osait pas me regarder dans les yeux.
Dans toute cette histoire, je m'attendais à ce que moi et elle soyons énormément mélangés après s'être revu, mais l'enfant, jamais à ce point. Tout s'est vite bousculé... il m'a sauté dans les bras et s'est mis à me parler sans arrêt pendant des heures. De comment était la vie chez lui, et puis à un moment donné il s'est arrêté, il m'a regardé et m'a demandé : "Aimes-tu encore ma mère? Ne réponds pas, je le sais, je le sens... je crois que tu vas toujours l'aimer" Je ne m'attendais pas à ça, ce fut très difficile pour moi de garder mon sang froid, les émotions m'ont envahi, j'avais simplement envie de pleurer. Je me suis contenter de lui demander pourquoi il disait cela... Il m'a dit, c'est ma mère je le sens... Tu sais Marc (son nouveau conjoint), il aime ma mère, mais pas comme toi... toi tu l'aime beaucoup plusssssssssss. Les enfants parfois... j'ai simplement été mature en lui expliquant que nous étions tous différent et que nous aimions à notre façon, qu'il est inutile de quantifier.
Mais bien franchement, j'avais hâte de pleurer... ce petit enfant de 10 ans, venais de me mettre dans tous mes états. Mais pour avoir vécue ces choses plus jeunes, je n'ai absolument pas parlé en mal du conjoint actuel, lui ai dis des choses réconfortantes. De lui donner le temps, d'apprendre à le connaître, etc. J'étais fier de moi, d'avoir agis de façon mature, enfin je le crois. Nous avons passé deux jours magnifiques, avons fais plusieurs activités, il me disait fréquemment qu'il m'aimait...m'a appelé "Papa" à une occasion, bref... ce fut beau, mais troublant, je ne réalisais pas la place que j'avais dans la vie de ce petit homme..
L'après midi, alors que son fils écoutais un film, j'en ai profité pour aller dehors quelques instant pour juste pleurer. J'étais bien, serein. J'étais si fier de moi. J'arrivais à sentir l'amour que j'avais pour elle, et sa m'étais égal de savoir qu'elle ne soit pas avec moi. J'avais passé 3 mois à marcher le soir, à pleurer et crier et chaque soir je souhaitais qu'elle soit heureuse, mais jamais je ne le ressentais... J'étais frustré, jaloux, bref je ne le ressentais pas du tout. Mais pour la première fois, cet après-midi là je l'ai ressenti, même si elle n'était pas avec moi, je ressentais l'amour que j'avais pour elle sans vouloir la posséder, bien qu'elle soit avec un autre. Ce fut une fierté pour moi de le ressentir au moins un bref instant. Je ne crois pas que l'amour humaine soit inconditionnelle, mais j'ai réussi à le ressentir pendant un bref instant, j'étais près, près à partir maintenant...
Pendant ce temps, mon ex, m'a envoyé des SMS toute la soirée, se remémorant notre histoire. À quelle point elle était bien avec moi, "Tu arrêtais le monde de tourner pour moi et mon fils lorsque tu nous prenais dans tes bras" et bien d'autres. Elle m'a avoué m'aimer encore et qu'elle m'aimera probablement toujours d'une certaines façon... et bien d'autre chose, alors étant humain, il est évident que l'espoir m'a gagné peu à peu..
Le lendemain, elle voulait allez prendre un café avec moi et son fils. Mais lorsqu'il fut l'heure de partir, son fils se mis à pleurer, je ne veux pas partir, je veux rester plus longtemps!! Promet moi que tu vas revenir me voir... J'étais déchiré, j'avais vécue tous ça jeune moi-même avec mon père... La vie parfois! Malheureusement, j'étais entouré de gens malsain qui m'avais fais culpabilisé d'aimer mon père à l'époque. Ma mère entre autre "IL n'est pas là pour toi, MOI OUI! Alors aime moi! Une perverse narcissique à son meilleure! Alors je me suis simplement assuré d'agir avec cet enfant de façon convenable et mature. Donné ce que je n'ai pu recevoir. ET j'ai finalement revue mon ex, yeux dans les yeux après 5 mois. Ce fut... lourd et en même temps très léger. C'était comme s'il n'y avais jamais eu de coupure, tout était naturel, je voyais l'amour dans ses yeux et beaucoup de reconnaissance.
Comme son enfant était là, ce fut des sujets légers, et elle partie après 30 minutes. Elle m'envoya un message peu après me disant n'avoir jamais vue son fils dans cet état... que même lorsqu'il partait chez son propre père pour tout l'été il n'était pas aussi triste. Peu après, son fils m'envoya plusieurs messages "Je t'aime Dom, je m'ennuie déjà... Je t'aime" Ce fut très difficile pour moi parce qu'effectivement j'avais vécue tout cela, et je venais de réaliser la place que j'avais dans la vie de cet enfant... Je l'ai simplement écouté, et je l'ai rassuré en lui témoignant mon amour!
Puis dans les jours qui ont suivis mon ex, était "mélangé" ne sachant que faire. Je ne brusquais rien, mais peu à peu, les vieilles blessures de notre relation passé revenais, les questionnements, les peurs... après quelques jours je lui ai simplement dis "As-tu décidé de rester avec ton conjoint finalement?" et elle m'a répondu "Oui je vais rester avec lui... avec tes questions, tu me pousses tu vas vite"
J'ai compris à ce moment là que quoique j'aurais pu faire, c'était perdu d'avance, elle était encore dans notre vieille relation, moi j'en avais fais le deuil. Effectivement avant, je mettais de la pression, je manipulais. Je lui ai simplement dis "Ce n'étais pas pour revenir avec toi, je m'étais simplement dis qu'après m'avoir dis être autant mélangé, avouant toi-même que tu n'étais pas prête à être en relation... que tu prendrais du recul, bonne continuation"
La douleur fut intense, la frustration, la colère, la tristesse... Mais je ne lui ai fais aucune reproche puisque même si j'avais été utilisé, je lui en avais donné la chance. J'ai donc agis en homme responsable et j'ai pleurer, crier. Je ne pouvais lui en vouloir. J'ai assumé.
Deux jours plus tard... elle est revenu me parler, nous avons passé 3 jours à parler, elle me parlais de nos débuts, comme elle était bien, etc De la belle nostalgie!!... et a fini par me dire: "Je ne sais pas si je devrais te dire ça, mais tu sais... je ne sais rien du futur, peut-être qu'un jour nous deux j'en sais rien, mais c'est trop tôt, j'ai l'impression qu'on a des choses à vivre avant". Puis elle a passé la fin de semaine avec son conjoint actuelle et a mis des photos de lui sur son facebook. Et ne me parle plus depuis, le malaise est partie, elle peut donc vivre son histoire mieux, enfin un temps, je ne sais pas combien de temps cela durera puisqu'elle m'a même avouer ne pas vraiment l'aimer, pas comme moi!
Aujourd'hui, c'est là que j'en suis. Je ne fais pas pitié, j'ai le sors que je mérite, mais j'ai mal, c'est lourd. Je vois bien que je lui ai permis d'allez mieux, je sais que je compte pour elle, mais... Vais-je attendre la possible fin d'avec son conjoint actuel comme un gentil petit acquis, en la sauvant de ses malaises et en l'accueillant les bras ouvert SI et je dis bien SI cette fin arrive?
Il y a une voix au fond de moi qui sais très bien que je devrais tout couper, et ne plus lui parler pour ma protection parce que je suis visiblement vulnérable face à elle. Pour me protéger, mais je me sens lié à son fils, fort probablement que je peux être là pour lui en limitant les contacts avec elle, mais ce n'est pas simple. Cette superbe compassion sans réserve... c'est beau, mais je n'arrive pas à me protéger dans tous ça...pas face à elle.
Je sais que certains diront que c'est une manipulatrice hors paire, et peut-être bien oui. Elle veut me garder attaché, comme c'est bon pour l'égo, mais en même temps... avec le cheminement que j'ai en psychologie, je me dis qu'elle ne s'en rend même pas compte, qu'elle ne fait pas exprès... Je suis peut-être trop bon, je n'arrive pas à lui en vouloir parce que je tente toujours de voir plus loin que le premier degré... comprendre ce qu'elle a vécu, l'excusé, mais je ne la sauverai pas........ Je suis impuissant, et je sens qu'elle m'aime, mais...!
Aujourd'hui j'avais besoin d'extériorisé le tout, parce que je suis profondément triste. J'ai fai beaucoup de chemin depuis, j'ai grandi, j'ai fais le deuil de notre relation, de nos schémas répétés, de nos carences et j'ai appris à m'aimer plus, m'accepter. Depuis... je l'aime juste plus, mieux. Je me sentais prête à écrire une nouvelle histoire avec elle, la nôtre, et non celle de schémas répétés. Ça me fais énormément mal de savoir qu'elle semble m'aimer comme ça, mais qu'elle n'est pas rendu là... Je suis impuissant, et même si je sais qu'elle doit vivre ses choses et les conscientiser par elle-même, bien que j'aimerais l'aider, c'est son choix, et peut-être que ses changements et ses prises de consciences n'arriveront jamais... Je le sais, j'ai de la difficulté à l'accepter, tout simplement.
Pour les courageux qui se seront rendu au bous, merci de votre écoute elle m'est précieuse, je ne peux parler de ça avec personne sans me faire juger.
Avec le recul, je réalise qu'il est beaucoup plus facile de faire le deuil d'une personne lorsque l'on crois qu'elle nous déteste, maintenant que nous sachons que nous avons cette place, qu'elle nous aime comme ça, c'est difficile à digérer. Pour ceux qui seraient tenté de dire, elle ne t'aime pas, sinon elle ne serait pas partie!! Je ne partage pas cette opinion, loin de là. Mais je comprends votre point de vue!
Je vais simplement allez dormir et laisser les larmes couler en espérant avoir bien agis, du moins, le mieux possible au vue des circonstances.
Merci
Je remercie déjà ceux qui prendront le temps de me lire. En fait, je n'attends pas de miracle, ou de piste, je crois que j'ai sincèrement besoin d'évacuer, tout simplement.
Pour faire une histoire courte, j'ai 29 ans et mon ex conjointe à 30. J'ai été avec elle, pendant environ 2 ans et demi. Ce fut comme pas mal tout le monde, une relation avec de très beaux moments et des bas, beaucoup de disputes. Bref, une relation toxique à ses heures. Diverses ruptures, toujours à l'initiative de madame. Nous sommes revenus ensemble plusieurs fois, moi face à mon vide intérieur et ma souffrance intense qui lui promettais avoir compris certaines choses et jurais changer! Ce que nous ne ferions pas pour faire taire ce mal-être interne face à une rupture? Je t'aimeeeeeeeeee reviens, cette dépendance affective qui nous en fais perdre notre dignité humaine! Enfin... plusieurs se reconnaîtront très certainement.
Je ne m'attarderais pas tant sur ce qu'était mon couple, puisque cela serais inutile et en vain. Elle m'a quitté définitivement il y a environ 5 mois. Quelques jours plus tard, elle avait un nouveau conjoint. Et j'ai été livré face au combat que je redoutais tant, à moi, à ma solitude. Ce jour là, bien que le mal m'habitais, que l'envie de mourir était présente chaque jour et omniprésente, je me suis promis, d'aller au bous des choses, de ne pas fuir et de me faire face. J'ai décidé de ne pas rencontrer personnes, de travailler sur moi. Pour être franc avec vous, je ne sais pas comment, ni pourquoi je suis toujours en vie aujourd'hui, j'ai une force en moi, celle qui me permet de toujours me relever. J'ai décidé de consulter un PSY, en fait, je le vois depuis 5 mois maintenant, chaque semaine. J'ai failli longtemps abandonner, bien souvent, pas nécessairement à cause de la rupture, mais parce que, un peu comme chacun d'entre vous, j'ai eu une vie assez moche, surtout mon enfance. J'ai été abusé sexuellement, j'ai eu une mère perverse narcissique qui m'a utilisé à outrance, un père absent qui m'a abandonné, enfin bref, je ne fais pas pitié, nous avons tous notre histoire, mais j'ai été livré à moi seul. Tout ça pour dire, que... j'en avais assez de consulter pour "régler" un problème, et puis qu'un autre surgis. Je n'y voyais pas de fin... Mais j'ai ça en moi, je me relève toujours d'une certaines façon. Bien des choses enfouies en moi on remontés en moi lors de cette rupture, c'est certains que nous les aimons, que la perte des personnes que l'on aime nous font excessivement mal, mais je crois que nous aurions avantage à creuser davantage.. à voir les schémas que nous répétons de façon inconsciente. Enfin, c'est ma vision et je sais que ce n'est pas partagé par tous!
J'ai vue mon psy, et j'ai fini par m'ouvrir sur ce que j'avais vécu, avec ma mère et etc. Il m'a dit, "C'est surprenant que tu sois toujours en vie". Je ne sais pas si je devrais le prendre comme un compliment, mais enfin. Fin de la parenthèse sur ma vie, je réalise que j'ai encore tendance à me victimiser.. ou à décrire ma situation de façon "Je souffffreeeeeee" S'il y a bien une chose que j'ai appris durant ces mois, c'est que j'ai été une victime jeune, mais qu'aujourd'hui ce n'est plus le cas... ! Revenons donc au sujet principal de ce forum! L'ex.
J'ai eu de la difficulté à accepter la rupture, bien évidemment. Il m'est arrivé de lui écrire dans mes moments de faiblesses pour avoir droit à une froideur extrême. Nouveau conjoint, nouveau nuage, la belle vie! Tout s'est fait rapidement, de façon froide et assez abjecte.
J'ai donc passé des mois à marcher dehors le soir, à pleurer, crier avec une douleur au ventre, croyant qu'elle me détestais. J'avais beau me rappeler plusieurs de ces dernières paroles. "Un jour, tu vas réaliser que je t'aimais tellement, mais j'ai besoin de me protéger". Mais les actions de ça pars ne témoignais tous sauf ça. Donc je croyais qu'elle me détestais, et ça me faisais franchement énormément mal. J'ai eu envie de me blottir dans les bras d'une autre, d'utiliser des substances, bref n'importe quoi pour faire taire ce malaise intérieur si profond et sans fin qui m'habitais jour et nuit. Mais je me disais simplement, tant qu'à souffrir autant... aussi bien apprendre quelque chose de tout ça. J'ai fais du chemin, tranquillement... et le mal à fini par diminuer, à être différent. J'ai fais face à mon passé avec mon PSY et je crois avoir grandi, je suis fier de moi, mais.. elle occupait toujours mes pensés, elle vivait en moi..
Un matin, il y a 3 semaines, lors d'une séance chez mon psy, je me suis simplement mis à pleurer et j'ai simplement dis, il est temps que je la laisse partir... ce fut énormément douloureux. Mais je m'y approchais!
Deux jours plus tard, devinez qui m'a écris! De façon subtile, sur un sujet sans fondement. Eh oui, c'était elle. Elle fini par m'envoyer une photo de chez elle? Me montrant les changements.. j'étais beaucoup plus détaché, et croyez moi ils/elles le sentent. J'ai répondu de façon neutre et simple, en fait je m'en foutais un peu.. et puis elle me sorti le fameux, sorti de nullpart
"Tu sais... je suis vraiment désolé de ce qui s'est passé entre nous"
J'ai simplement demandé... de quoi?
"De bien des choses.. je n'aurais pas voulu que ça se passe comme ça disons, de bien des choses.."
Je me suis simplement dis, bon les remords qui remontent, elle veut se donner bonne conscience. Malheureusement ou heureusement... je suis quelqu'un avec énormément de compassion, voir quelqu'un souffrir m'interpelle énormément, probablement en raison de ce que j'ai vécu, donc je m'y intéresse vraiment, mais... on peu en abuser!
J'ai laisser couler, et puis après plusieurs petite questions ou elle testait ma réceptivité, quand elle se senta suffisamment à l'aise, tout à éclater et j'ai eu droit à..
"J'aimerais pouvoir dire que ça va, que ça se place mais j'y arrive pas... Je suis encore fâchée des fois c'est rare, , je pleure encore mais c'est rare aussi! Des fois je t'en veux tellement, d'autre fois je men veux! Je suis pas tellement sereine avec tout ça.. je me dis qu'il fallait vraiment que ça arrête qu'on se détruisait! Fallait c'est tout..."
"Tsé je le sais que tu étais toujours la pour moi! Pas toujours comme j'avais besoin mais j'aurais du te parler plus de comment je me sentais, de ce dont j'avais besoin, envie, je sais qu'à la fin J'avais peur... De m'ouvrir à toi, de te laisser m'approcher, j'avais tellement mal... Mais j'arrive pas à me souvenir au début! Je crois que je ne veux juste pas ne souvenir, parce que ça ferait juste encore plus mal"
"C''est pas toi qui m'a déçu... C'est nous! Je suis moi tsé, je vais continuer à pleurer de temps en temps en repensant à toi! Et ça va probablement m'arriver encore dans 1an, dans 2 ans ,dans 5 ans! J'imagine qu'un soir, je prendrai un bain et même si ça fait des années je vais encore avoir les yeux humides en y repensant! Mais ça c'est moi... Un peu trop intense"
"C'était toi mon confident tsé... je me sens si seule, je ne peux parler de tout ça à personne sans me faire juger"
Enfin bref, vous voyez le genre. J'ai simplement réaliser une chose à ce moment là. Nous n'étions plus à la même place, elle COMMENÇAIT son deuil. J'ai passé par tous ces étapes là... mais étant ce que je suis, je l'ai simplement écouté et accueilli, parce qu'elle en avait besoin et parce que je l'aime, tout simplement. En me disant que la lune de miel avec son nouveau copain devait être fini, mais à quoi bon lui remettre sur le nez... je sais ce que l'on peux ressentir, le mal si profond... alors j'ai été là, sans reproches, avec compassion et amour.
Par contre, j'ai vu mes changements opéré en moi, je me suis dis cette journée là, ne lui fais aucune reproches si elle s'en va lorsqu'elle ira mieux, ne pleure pas qu'elle t'a utilisé puisque TU LUI EN DONNE LA CHANCE, je suis responsable aujourd'hui... alors qu'avant j'étais un enfant qui crias à l'injustice, je donnais en espérant recevoir en retour, et j'explosais en furie si je n'avais rien en retour, plus maintenant, je l'ai fais par amour, en connaissance de cause.
Et puis le lendemain matin "Alex n'attends que tu lui proposes quelque chose pour le voir!" Ah oui, j'ai oublié de mentionner, elle a un fils de 10 ans. Je m'en suis occupé comme si c'étais le miens, du mieux que j'ai pu, en étant présent dans tous les aspects de sa vie. Il voit son père régulièrement, mais je trouvais cela important d'être présent pour lui (eh oui ça me ramène à mon enfance effectivement..). Il s'est attaché à moi, alors bon.. J'ai accepté de le voir pour toute une fin de semaine. C'était la semaine dernière. Elle est venu me le porter, je l'ai donc revu après 5 mois... Elle n'est resté que 30 secondes, prétextant un retard pour son travail, elle n'osait pas me regarder dans les yeux.
Dans toute cette histoire, je m'attendais à ce que moi et elle soyons énormément mélangés après s'être revu, mais l'enfant, jamais à ce point. Tout s'est vite bousculé... il m'a sauté dans les bras et s'est mis à me parler sans arrêt pendant des heures. De comment était la vie chez lui, et puis à un moment donné il s'est arrêté, il m'a regardé et m'a demandé : "Aimes-tu encore ma mère? Ne réponds pas, je le sais, je le sens... je crois que tu vas toujours l'aimer" Je ne m'attendais pas à ça, ce fut très difficile pour moi de garder mon sang froid, les émotions m'ont envahi, j'avais simplement envie de pleurer. Je me suis contenter de lui demander pourquoi il disait cela... Il m'a dit, c'est ma mère je le sens... Tu sais Marc (son nouveau conjoint), il aime ma mère, mais pas comme toi... toi tu l'aime beaucoup plusssssssssss. Les enfants parfois... j'ai simplement été mature en lui expliquant que nous étions tous différent et que nous aimions à notre façon, qu'il est inutile de quantifier.
Mais bien franchement, j'avais hâte de pleurer... ce petit enfant de 10 ans, venais de me mettre dans tous mes états. Mais pour avoir vécue ces choses plus jeunes, je n'ai absolument pas parlé en mal du conjoint actuel, lui ai dis des choses réconfortantes. De lui donner le temps, d'apprendre à le connaître, etc. J'étais fier de moi, d'avoir agis de façon mature, enfin je le crois. Nous avons passé deux jours magnifiques, avons fais plusieurs activités, il me disait fréquemment qu'il m'aimait...m'a appelé "Papa" à une occasion, bref... ce fut beau, mais troublant, je ne réalisais pas la place que j'avais dans la vie de ce petit homme..
L'après midi, alors que son fils écoutais un film, j'en ai profité pour aller dehors quelques instant pour juste pleurer. J'étais bien, serein. J'étais si fier de moi. J'arrivais à sentir l'amour que j'avais pour elle, et sa m'étais égal de savoir qu'elle ne soit pas avec moi. J'avais passé 3 mois à marcher le soir, à pleurer et crier et chaque soir je souhaitais qu'elle soit heureuse, mais jamais je ne le ressentais... J'étais frustré, jaloux, bref je ne le ressentais pas du tout. Mais pour la première fois, cet après-midi là je l'ai ressenti, même si elle n'était pas avec moi, je ressentais l'amour que j'avais pour elle sans vouloir la posséder, bien qu'elle soit avec un autre. Ce fut une fierté pour moi de le ressentir au moins un bref instant. Je ne crois pas que l'amour humaine soit inconditionnelle, mais j'ai réussi à le ressentir pendant un bref instant, j'étais près, près à partir maintenant...
Pendant ce temps, mon ex, m'a envoyé des SMS toute la soirée, se remémorant notre histoire. À quelle point elle était bien avec moi, "Tu arrêtais le monde de tourner pour moi et mon fils lorsque tu nous prenais dans tes bras" et bien d'autres. Elle m'a avoué m'aimer encore et qu'elle m'aimera probablement toujours d'une certaines façon... et bien d'autre chose, alors étant humain, il est évident que l'espoir m'a gagné peu à peu..
Le lendemain, elle voulait allez prendre un café avec moi et son fils. Mais lorsqu'il fut l'heure de partir, son fils se mis à pleurer, je ne veux pas partir, je veux rester plus longtemps!! Promet moi que tu vas revenir me voir... J'étais déchiré, j'avais vécue tous ça jeune moi-même avec mon père... La vie parfois! Malheureusement, j'étais entouré de gens malsain qui m'avais fais culpabilisé d'aimer mon père à l'époque. Ma mère entre autre "IL n'est pas là pour toi, MOI OUI! Alors aime moi! Une perverse narcissique à son meilleure! Alors je me suis simplement assuré d'agir avec cet enfant de façon convenable et mature. Donné ce que je n'ai pu recevoir. ET j'ai finalement revue mon ex, yeux dans les yeux après 5 mois. Ce fut... lourd et en même temps très léger. C'était comme s'il n'y avais jamais eu de coupure, tout était naturel, je voyais l'amour dans ses yeux et beaucoup de reconnaissance.
Comme son enfant était là, ce fut des sujets légers, et elle partie après 30 minutes. Elle m'envoya un message peu après me disant n'avoir jamais vue son fils dans cet état... que même lorsqu'il partait chez son propre père pour tout l'été il n'était pas aussi triste. Peu après, son fils m'envoya plusieurs messages "Je t'aime Dom, je m'ennuie déjà... Je t'aime" Ce fut très difficile pour moi parce qu'effectivement j'avais vécue tout cela, et je venais de réaliser la place que j'avais dans la vie de cet enfant... Je l'ai simplement écouté, et je l'ai rassuré en lui témoignant mon amour!
Puis dans les jours qui ont suivis mon ex, était "mélangé" ne sachant que faire. Je ne brusquais rien, mais peu à peu, les vieilles blessures de notre relation passé revenais, les questionnements, les peurs... après quelques jours je lui ai simplement dis "As-tu décidé de rester avec ton conjoint finalement?" et elle m'a répondu "Oui je vais rester avec lui... avec tes questions, tu me pousses tu vas vite"
J'ai compris à ce moment là que quoique j'aurais pu faire, c'était perdu d'avance, elle était encore dans notre vieille relation, moi j'en avais fais le deuil. Effectivement avant, je mettais de la pression, je manipulais. Je lui ai simplement dis "Ce n'étais pas pour revenir avec toi, je m'étais simplement dis qu'après m'avoir dis être autant mélangé, avouant toi-même que tu n'étais pas prête à être en relation... que tu prendrais du recul, bonne continuation"
La douleur fut intense, la frustration, la colère, la tristesse... Mais je ne lui ai fais aucune reproche puisque même si j'avais été utilisé, je lui en avais donné la chance. J'ai donc agis en homme responsable et j'ai pleurer, crier. Je ne pouvais lui en vouloir. J'ai assumé.
Deux jours plus tard... elle est revenu me parler, nous avons passé 3 jours à parler, elle me parlais de nos débuts, comme elle était bien, etc De la belle nostalgie!!... et a fini par me dire: "Je ne sais pas si je devrais te dire ça, mais tu sais... je ne sais rien du futur, peut-être qu'un jour nous deux j'en sais rien, mais c'est trop tôt, j'ai l'impression qu'on a des choses à vivre avant". Puis elle a passé la fin de semaine avec son conjoint actuelle et a mis des photos de lui sur son facebook. Et ne me parle plus depuis, le malaise est partie, elle peut donc vivre son histoire mieux, enfin un temps, je ne sais pas combien de temps cela durera puisqu'elle m'a même avouer ne pas vraiment l'aimer, pas comme moi!
Aujourd'hui, c'est là que j'en suis. Je ne fais pas pitié, j'ai le sors que je mérite, mais j'ai mal, c'est lourd. Je vois bien que je lui ai permis d'allez mieux, je sais que je compte pour elle, mais... Vais-je attendre la possible fin d'avec son conjoint actuel comme un gentil petit acquis, en la sauvant de ses malaises et en l'accueillant les bras ouvert SI et je dis bien SI cette fin arrive?
Il y a une voix au fond de moi qui sais très bien que je devrais tout couper, et ne plus lui parler pour ma protection parce que je suis visiblement vulnérable face à elle. Pour me protéger, mais je me sens lié à son fils, fort probablement que je peux être là pour lui en limitant les contacts avec elle, mais ce n'est pas simple. Cette superbe compassion sans réserve... c'est beau, mais je n'arrive pas à me protéger dans tous ça...pas face à elle.
Je sais que certains diront que c'est une manipulatrice hors paire, et peut-être bien oui. Elle veut me garder attaché, comme c'est bon pour l'égo, mais en même temps... avec le cheminement que j'ai en psychologie, je me dis qu'elle ne s'en rend même pas compte, qu'elle ne fait pas exprès... Je suis peut-être trop bon, je n'arrive pas à lui en vouloir parce que je tente toujours de voir plus loin que le premier degré... comprendre ce qu'elle a vécu, l'excusé, mais je ne la sauverai pas........ Je suis impuissant, et je sens qu'elle m'aime, mais...!
Aujourd'hui j'avais besoin d'extériorisé le tout, parce que je suis profondément triste. J'ai fai beaucoup de chemin depuis, j'ai grandi, j'ai fais le deuil de notre relation, de nos schémas répétés, de nos carences et j'ai appris à m'aimer plus, m'accepter. Depuis... je l'aime juste plus, mieux. Je me sentais prête à écrire une nouvelle histoire avec elle, la nôtre, et non celle de schémas répétés. Ça me fais énormément mal de savoir qu'elle semble m'aimer comme ça, mais qu'elle n'est pas rendu là... Je suis impuissant, et même si je sais qu'elle doit vivre ses choses et les conscientiser par elle-même, bien que j'aimerais l'aider, c'est son choix, et peut-être que ses changements et ses prises de consciences n'arriveront jamais... Je le sais, j'ai de la difficulté à l'accepter, tout simplement.
Pour les courageux qui se seront rendu au bous, merci de votre écoute elle m'est précieuse, je ne peux parler de ça avec personne sans me faire juger.
Avec le recul, je réalise qu'il est beaucoup plus facile de faire le deuil d'une personne lorsque l'on crois qu'elle nous déteste, maintenant que nous sachons que nous avons cette place, qu'elle nous aime comme ça, c'est difficile à digérer. Pour ceux qui seraient tenté de dire, elle ne t'aime pas, sinon elle ne serait pas partie!! Je ne partage pas cette opinion, loin de là. Mais je comprends votre point de vue!
Je vais simplement allez dormir et laisser les larmes couler en espérant avoir bien agis, du moins, le mieux possible au vue des circonstances.
Merci
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C'est une approche que j'aime bien dans laquelle j'essaie d'avancer et d'apprendre. Je croyais avoir fais un bon bous de chemins dans le deuil de la relation, mais pas ''D'elle'', mais peut-être que je me leurre. Je vais accueillir ton commentaire et y méditer avec une bonne marche en forêt plus tard, et je verrai ce qui monte... Je te reviendrai là dessus !
- Par Ethan101