- 03 juin 2017, 14:02
#1243934
SR jour 6... Je souffre je n'arrive pas à m'en remettre. Et pourtant nous ne sommes restés ensemble que 4 mois (5 mois en comptant le dernier mois ou ne nous sommes pas vus avant de vraiment rompre), mais quels mois intenses!
J'ai eu une relation de trois ans dans le passé dont la rupture ne m'a pas autant affectée.
Je n'ai jamais vécu une telle intensité.
Le décalage était visible dès le commencement, lui 26 ans, un immature émotionnel, moi 30 ans prête à construire un foyer. Pourtant il ne m'a pas lâchée. Il commençait même à se projeter.
Départ en vacances pour moi début mai, on devait se quitter un mois. Tout etait idyllique jusqu'à même la dernière seconde avant mon départ.
Puis son silence, je l'appelle après deux jours, il a l'air normal. Re-silence, je le rappelle encore apres deux autres jours. Et là silence d'une semaine pendant laquelle je ne mangeais plus et dormais plus. Il réapparaît comme si rien n'était par messages. Je reprends espoir.
Puis plus rien pendant près de deux semaines, encore l'enfer. Je décidé de lui écrire pour mettre les choses au clair. Il répond qu'il ne ressent plus rien. Du coup j'en profite pour lui balancer ce que j'avais sur le cœur. Que je mérite mieux, qu'il a plus besoin de moi que moi de lui et qu'il vive sa vie de son côté.
Il s'est mis en colère et m'a même insultée (je m'attendais à de l'indifférence mais je pense avoir touché son ego...). Il me répond que je ne lui manque pas et qu'il ne ressent rien pour moi. C'était lundi soir.
Mon cœur est brisé, comment puis-je ne pas lui manquer alors que j'ai pleuré tous les jours pendant un mois?
Alors j'ai effacé son numéro (que je connais par cœur mais c'est psychologique), toutes ses photos, toutes les conversations.
Lorsque je suis rentrée de vacances il y a deux jours mon cœur s'est déchiré en me disant qu'il était tout près à nouveau mais que je ne le reverrai pas.
Le matin est le pire moment de la journée, je pleure à tous mes réveils, quand j'arrive à finir mes nuits. Alors je me dis que sa réaction extrême montre qu'il est touché et que peut être mon silence le fera réfléchir. De l'autre côté je me dis qu'il n'en a absolument rien à faire puisque je ne lui ai pas manqué pendant mon absence.
Je souffre mais par question de principe (fierté et crédibilité) en aucun cas je ne briserai mon SR. A chaque contact je replongeais comme une nouvelle rupture. Il est temps que je me protège.
J'ai eu une relation de trois ans dans le passé dont la rupture ne m'a pas autant affectée.
Je n'ai jamais vécu une telle intensité.
Le décalage était visible dès le commencement, lui 26 ans, un immature émotionnel, moi 30 ans prête à construire un foyer. Pourtant il ne m'a pas lâchée. Il commençait même à se projeter.
Départ en vacances pour moi début mai, on devait se quitter un mois. Tout etait idyllique jusqu'à même la dernière seconde avant mon départ.
Puis son silence, je l'appelle après deux jours, il a l'air normal. Re-silence, je le rappelle encore apres deux autres jours. Et là silence d'une semaine pendant laquelle je ne mangeais plus et dormais plus. Il réapparaît comme si rien n'était par messages. Je reprends espoir.
Puis plus rien pendant près de deux semaines, encore l'enfer. Je décidé de lui écrire pour mettre les choses au clair. Il répond qu'il ne ressent plus rien. Du coup j'en profite pour lui balancer ce que j'avais sur le cœur. Que je mérite mieux, qu'il a plus besoin de moi que moi de lui et qu'il vive sa vie de son côté.
Il s'est mis en colère et m'a même insultée (je m'attendais à de l'indifférence mais je pense avoir touché son ego...). Il me répond que je ne lui manque pas et qu'il ne ressent rien pour moi. C'était lundi soir.
Mon cœur est brisé, comment puis-je ne pas lui manquer alors que j'ai pleuré tous les jours pendant un mois?
Alors j'ai effacé son numéro (que je connais par cœur mais c'est psychologique), toutes ses photos, toutes les conversations.
Lorsque je suis rentrée de vacances il y a deux jours mon cœur s'est déchiré en me disant qu'il était tout près à nouveau mais que je ne le reverrai pas.
Le matin est le pire moment de la journée, je pleure à tous mes réveils, quand j'arrive à finir mes nuits. Alors je me dis que sa réaction extrême montre qu'il est touché et que peut être mon silence le fera réfléchir. De l'autre côté je me dis qu'il n'en a absolument rien à faire puisque je ne lui ai pas manqué pendant mon absence.
Je souffre mais par question de principe (fierté et crédibilité) en aucun cas je ne briserai mon SR. A chaque contact je replongeais comme une nouvelle rupture. Il est temps que je me protège.
Modifié en dernier par Jasmine87 le 03 juin 2017, 16:05, modifié 1 fois.