- 24 déc. 2008, 12:41
#49218
Au moins la lettre (envoyée par mail) a eu ce mérite, j'ai écrit les choses posément sans qu'elle soit au dessus de mon épaule pour répliquer. Elle l'a ensuite reçue et malgré sa longueur, je sais qu'elle l'a lue. Car lors de notre dernière conversation téléphonique, elle a relevé de tout petits détails. Donc je sais qu'elle a pris connaissance de ce que je voulais lui dire; ce qui n'aurait pas été possible en paroles vu qu'elle aurait certainement eu tendance à me couper.
Donc je ne m'en veux pas finalement de lui avoir envoyée. J'estime être resté courtois. Si ce n'est cette part d'incompréhension sur la brutalité et d'avoir pointé son manque d'empathie à mon égard de sa part. Sur ce point, elle m'a d'ailleurs affirmé que si les rôles avaient été inversés - moi, le largueur et elle, la larguée - elle aurait réagit certainement de façon plus virulente que moi. Donc encore une manière de me rassurer sur le fait que finalement ma façon d'agir n'était pas tant inattendue.
Pour le reste, elle ne veut pas entendre ce que je lui écris. Tant pis, mais au moins je serai resté réglo avec ma conscience en ne cherchant surtout pas à l'enfoncer
julz a écrit : Alors je me dis que ça ne changera rien aussi dans ma relation actuelle, mais en fait je ne l'écris pas dans le but de la faire réagir mais de lui dévoiler ce que j'ai gardé enfoui en moi depuis ces si longues semaines, pour lâcher du lest en gros.C'est tout a fait cela que je ressentais, sachant que mes chances de reconquête étaient infimes mais besoin de lui dire une dernières fois ces choses (qu'elles avaient - pour certaines - besoin d'entendre quand nous étions ensemble !)
julz a écrit :Une question : As tu déjà essayé de la recontacter avant d'envoyer cette lettre ?J'avais essayé de la recontacter par téléphone après la rupture. Un mois et trois mois après. Nous nous étions aussi revu un mois après la rupture pour nous remettre nos affaires respectives. Mais lors de ces contacts, soit par tel soit en face à face, je me suis retrouvé face une forteresse prête à répliquer aussi sec à chaque phrase. Donc quand on se fait attaquer de plein front - pour des choses que je considère de mon côté comme injustes - la tentation est grande de répondre mais pas de la façon la plus appropriée.
Au moins la lettre (envoyée par mail) a eu ce mérite, j'ai écrit les choses posément sans qu'elle soit au dessus de mon épaule pour répliquer. Elle l'a ensuite reçue et malgré sa longueur, je sais qu'elle l'a lue. Car lors de notre dernière conversation téléphonique, elle a relevé de tout petits détails. Donc je sais qu'elle a pris connaissance de ce que je voulais lui dire; ce qui n'aurait pas été possible en paroles vu qu'elle aurait certainement eu tendance à me couper.
Donc je ne m'en veux pas finalement de lui avoir envoyée. J'estime être resté courtois. Si ce n'est cette part d'incompréhension sur la brutalité et d'avoir pointé son manque d'empathie à mon égard de sa part. Sur ce point, elle m'a d'ailleurs affirmé que si les rôles avaient été inversés - moi, le largueur et elle, la larguée - elle aurait réagit certainement de façon plus virulente que moi. Donc encore une manière de me rassurer sur le fait que finalement ma façon d'agir n'était pas tant inattendue.
Pour le reste, elle ne veut pas entendre ce que je lui écris. Tant pis, mais au moins je serai resté réglo avec ma conscience en ne cherchant surtout pas à l'enfoncer