- 02 sept. 2019, 18:26
#1305311
Bonjour à toutes et à tous
Je publie pour la première fois sur ce forum, suite à de nombreuses recherches de conseils donnés à des personnes vivant des situations similaires à la mienne. Malheureusement je me suis perdue dans le flot de réponses et je pense que chaque cas est unique. Il fallait donc que je me lance, enfin, afin d'obtenir des avis sur mon cas.
Je l'ai rencontré en 2016 sur Facebook, par hasard. Nous n'habitions pas la même ville. Lui Lyon, moi Paris. Nous avons discuté de tout et de rien pendant plus d'un an avec des phases de silence qui pouvaient durer quelques mois. J'avais d'autres relations également à côté. Il n'y avait pas de sentiments de mon côté, si ce n'est l'amitié. Au fil du temps nous avons tellement échangé, tellement rigolé, on avait des délires rien qu'à nous, que finalement j'ai commencé à me poser des questions. Un jour il s'est décidé et est venu sur Paris. Il ne m'a pas tant plu que ça, physiquement surtout. Mais on avait tellement de délires ensemble, un feeling et une aisance que je n'avais jamais ressentie auparavant avec un homme, que j'ai décidé de lui laisser une chance.
Ainsi on était en avril 2017 lorsqu'il est venu, et j'ai du venir plus tard à Lyon passer un oral pour un concours, qui déterminerait si j'étudierais ou non là_bas. Il m'a hébergé chez lui (chez ses parents). Le séjour s'est super bien passé, j'ai rencontré ses parents, on a décidé de se mettre en couple. Voilà donc le début de notre relation a commencé comme ça. Personnellement j'ai mis du temps avant de vraiment tomber sous son charme, il était complètement inexpérimenté, ne me plaisait pas beaucoup physiquement et il m'idéalisait alors j'en profitais. Mais au fil du temps je suis laissée aller, on a passé des moments inoubliables pendant les grandes vacances, je faisais des allers retour entre Paris et Lyon pour le voir. Il m'a fait "oublié" la mort de mon père (en juin) et m'a redonné le bonheur de vivre. Il a été un soutien exceptionnel.
J'ai appris pendant les vacances que j'étais prise à Lyon et s'en est suivi mon aménagement. Je ne voulais pas être toute seule alors je lui ai un peu forcé la main pour qu'il s'en aille de chez ses parents et qu'on habite ensemble. Tout le monde me disait que c'était précipité mais je m'en fichais, j'étais comme dans un rêve... Tout autour de moi me paraissait fade excepté lui et sa présence magique, qui guérit tous les maux. Nous avons vécu une belle idylle, une passion dévorante... On était tous les deux fous amoureux et cela a duré un bout de temps après notre installation (en coloc avec d'autres personnes). Mais cette passion avait aussi ses inconvénients, on ne cessait de se disputer comme des gamins, il était jaloux et possessif et moi je voulais la liberté... Je lui ai imposé la relation libre qu'il ne supportait pas.
Le temps a passé et je ne compte plus le nombre de disputes, il y eut une période où nous en avions une tous les jours, il avait parfois de mauvais comportements et cherchait à me manipuler et me faire mal. Je souffrais beaucoup mais les moments où nous étions réconciliés étaient si forts, si beaux que j'en oubliais nos engueulades. Au bout d'un moment j'ai commencé à ressentir un éloignement de sa part, il disait qu'il m'aimait mais avait un faible pour une fille (qui elle n'était pas intéressée). Il continuait de me dire qu'il m'aimait malgré tout.
En avril 2018, on était à Annecy tous les deux car je l'avais accompagné à un événement, et il m'a dit qu'il sentait que j'étais plus amoureuse de lui que lui de moi. Ca a été le début des emmerdes. De la spirale infernale... Ca m'a tuée à l'intérieur et je ne voulais pas y croire. Pour lui faire mal je lui ai dit que je souhaitais qu'on se remette en relation libre (on ne l'était plus à ce moment là) et il l'a très mal pris, une dispute a violemment éclaté entre nous.
On a continué de rester ensemble mais je sentais qu'il n'était plus comme avant, plus le temps passait et plus il s'éloignait. Pendant les vacances d'été en 2018 je suis retournée à Paris, et à mon retour il avait changé. Il m'a dit qu'il avait l'impression d'avoir fait le tour de la relation, qu'on avait pas les mêmes modes de vie (il est très sportif, il travaille alors que j'étais étudiante et pas très sportive). J'ai pas écouté, je l'ai laissé dire tout ça et j'ai continué de nier dans ma tête. Il est retourné vivre chez ses parents à la rentrée et moi je suis restée à la coloc'. Ca se passait mal, je voulais partir. A cette époque je suis tombée en dépression car lui me disait qu'il avait l'espoir que la flamme renaisse et qu'il ne m'aimait plus comme avant. J'étais très mal, parfois je restais dans mon lit toute la journée, je n'allais pas en cours et je me détestais.
En novembre j'ai trouvé un appartement et on était toujours ensemble, malgré tout. aucun n'avait la force de quitter l'autre. Je me comportais comme une loque. Je satisfaisais ses désirs sexuels, lui écrivait des poèmes, lui faisait des surprises, .. Toujours de bonne humeur, pour que la flamme" renaisse", vous voyez... Plus aucune estime de moi-même, je ne me définissais plus que par lui, il était en moi et plus rien n'avait d'importance sauf son amour qu'il rechignait à me donner. A la fac ça allait pas, une très bonne amie à moi que j'ai rencontrée là bas est partie dans une autre ville, l'autre est tombée en dépression et ne venait plus en cours. Je restais avec des filles qui ne me ressemblaient pas, avec qui je ne me sentais pas à ma place.
Alors voilà, l'année passait et on se voyait toujours chez moi, parfois j'allais déjeuner chez ses parents. Je me sentais comme un objet sexuel, rien de plus. Il disait qu'il était bien avec moi, mais n'avait plus de sentiments. Et moi je restais, quelle conne. Il m'aidait pour les courses, parfois m'invitait au resto, il payait ma facture d'électricité, il m'aidait bien aussi ce qui fait que je ne lui en voulais pas tant que ça et ça renforçait ma dépendance aussi.
Il m'a quittée il y a un mois avec un "peu-être" comme d'habitude. Son indécision habituelle : "on devrait peut-être rester amis". Mais cette fois c'était une vraie rupture, je lui ai demandé si c'est ce qu'il souhaitait vraiment et il m'a dit oui.
J'ai été au plus mal, je me sentais plus bas que terre et en même temps soulagée, je lui ai fait des scènes, je me suis saoulée devant lui, j'ai couché avec lui, je l'ai insulté, supplié... Oui je suis tarée je sais...
Ca a duré 3 jours et je me suis raisonnée, faite à l'idée. Lui voulait rester en bons termes, amis. Je me suis dit qu'on y arriverait et que nos relations seraient beaucoup plus saines comme ça. J'ai décidé de tout plaquer, changer de voie et arrêter mes études, rencontrer de nouvelles personnes, réaliser mes rêves, changer de moi. J'ai tenu comme ça quelques semaines puis je suis retournée chez moi, seule( je séjournais chez ses parents avec lui). Pour la première fois ça allait et je voulais me reconquérir. Je voulais juste être son amie. Malheureusement cet état n'a pas duré car on s'est revus plusieurs fois chez moi et j'ai craqué , je ne couchais pas avec lui mais on se touchait, on se calinait. Parfois ça allait jusqu'aux préliminaires. Mais je stoppais. Je voulais tenir bon et garder ma dignité. Mais malheureusement les sentiments on resurgi au galop et être dans ses bras m'a donné de l'espoir au fond de moi, l'espoir qu'il m'aime. Alors que non.
La dernière fois qu'il est venu chez moi et est reparti, j'ai pleuré toute la soirée car il avait ravivé la blessure en moi, celle qui dit "aime-moi je t'en supplie" mais qui est négligée. Les jours suivants j'ai recommencé à éprouver les mêmes sentiments qu'avant, c'est-à-dire m'arrêter de vivre en attendant nos prochaines retrouvailles. Mon âme et mon coeur n'attendent que lui, je suis désespérée. Vous devez me prendre pour une personne lamentable, qui n'a pas de vie, c'est ce que je pense de moi actuellement.
Cette nuit a été atroce, je n'ai pas fait d'autres choses que pleurer. Aujourd'hui je me suis dit secoue-toi ma fille, fais quelque chose. Alors j'ai décidé de couper les ponts. Je lui ai envoyé le message suivant : "Comme je t'ai dit j'ai encore des sentiments alors il vaut mieux couper contact. Peut être qu'un jour je reviendrai vers toi et serai prête pour une relation amicale qui sait. Je te souhaite une belle continuation" et je l'ai bloqué. Mais ça n'a pas duré longtemps car il m'a appelé quelques temps après et au téléphone, il m'a demandé pourquoi j'avais fait ça. Je lui ai dit que c'était nécessaire pour l'oublier. Il m'a répondu que je ne pouvais pas le bloquer comme ça, sur tous les réseaux "imagine qu'on doit se parler pour quelque chose, par exemple si je dois récupérer mes affaires?" on aurait dit qu'il n'éprouvait pas la moindre tristesse... Il m'a dit qu'il ne pouvait pas se mettre à ma place, qu'il comprenait que j'avais besoin de mettre de la distance mais que bloquer c'était trop. Alors j'ai dit ok mais qu'on ne se parlait plus. Il m'a ensuite fait une sorte de chantage car il m'a dit que si on ne se parlait plus il ne voyait pas l'intérêt de payer la facture du gaz de chez moi... cette conversation m'a dégoûtée et m'a fait encore plus mal car on aurait dit qu'il en avait rien à foutre. Son message avant de m'appeler c'était : "c'est important de continuer à parler. Ne fais pas les mêmes erreurs que moi. Ne me laisse pas sans nouvelles stp. On s'appelle si tu veux!"
Alors maintenant je me dis que c'est un mec qui sait pas ce qu'il veut, il veut plus être avec moi mais il accepte pas la coupure définitive... du coup je l'ai débloquée car au téléphone il m'a dit aussi que si je le bloquais pour lui c'était pour toujours et je n'entendrai plus parler de lui.
Désolée pour mon gros pavé, je n'ai pas su synthétiser, j'ai tout écrit d'une traite. Merci à toutes celles et ceux qui prendront la peine de me lire et me répondre
Je publie pour la première fois sur ce forum, suite à de nombreuses recherches de conseils donnés à des personnes vivant des situations similaires à la mienne. Malheureusement je me suis perdue dans le flot de réponses et je pense que chaque cas est unique. Il fallait donc que je me lance, enfin, afin d'obtenir des avis sur mon cas.
Je l'ai rencontré en 2016 sur Facebook, par hasard. Nous n'habitions pas la même ville. Lui Lyon, moi Paris. Nous avons discuté de tout et de rien pendant plus d'un an avec des phases de silence qui pouvaient durer quelques mois. J'avais d'autres relations également à côté. Il n'y avait pas de sentiments de mon côté, si ce n'est l'amitié. Au fil du temps nous avons tellement échangé, tellement rigolé, on avait des délires rien qu'à nous, que finalement j'ai commencé à me poser des questions. Un jour il s'est décidé et est venu sur Paris. Il ne m'a pas tant plu que ça, physiquement surtout. Mais on avait tellement de délires ensemble, un feeling et une aisance que je n'avais jamais ressentie auparavant avec un homme, que j'ai décidé de lui laisser une chance.
Ainsi on était en avril 2017 lorsqu'il est venu, et j'ai du venir plus tard à Lyon passer un oral pour un concours, qui déterminerait si j'étudierais ou non là_bas. Il m'a hébergé chez lui (chez ses parents). Le séjour s'est super bien passé, j'ai rencontré ses parents, on a décidé de se mettre en couple. Voilà donc le début de notre relation a commencé comme ça. Personnellement j'ai mis du temps avant de vraiment tomber sous son charme, il était complètement inexpérimenté, ne me plaisait pas beaucoup physiquement et il m'idéalisait alors j'en profitais. Mais au fil du temps je suis laissée aller, on a passé des moments inoubliables pendant les grandes vacances, je faisais des allers retour entre Paris et Lyon pour le voir. Il m'a fait "oublié" la mort de mon père (en juin) et m'a redonné le bonheur de vivre. Il a été un soutien exceptionnel.
J'ai appris pendant les vacances que j'étais prise à Lyon et s'en est suivi mon aménagement. Je ne voulais pas être toute seule alors je lui ai un peu forcé la main pour qu'il s'en aille de chez ses parents et qu'on habite ensemble. Tout le monde me disait que c'était précipité mais je m'en fichais, j'étais comme dans un rêve... Tout autour de moi me paraissait fade excepté lui et sa présence magique, qui guérit tous les maux. Nous avons vécu une belle idylle, une passion dévorante... On était tous les deux fous amoureux et cela a duré un bout de temps après notre installation (en coloc avec d'autres personnes). Mais cette passion avait aussi ses inconvénients, on ne cessait de se disputer comme des gamins, il était jaloux et possessif et moi je voulais la liberté... Je lui ai imposé la relation libre qu'il ne supportait pas.
Le temps a passé et je ne compte plus le nombre de disputes, il y eut une période où nous en avions une tous les jours, il avait parfois de mauvais comportements et cherchait à me manipuler et me faire mal. Je souffrais beaucoup mais les moments où nous étions réconciliés étaient si forts, si beaux que j'en oubliais nos engueulades. Au bout d'un moment j'ai commencé à ressentir un éloignement de sa part, il disait qu'il m'aimait mais avait un faible pour une fille (qui elle n'était pas intéressée). Il continuait de me dire qu'il m'aimait malgré tout.
En avril 2018, on était à Annecy tous les deux car je l'avais accompagné à un événement, et il m'a dit qu'il sentait que j'étais plus amoureuse de lui que lui de moi. Ca a été le début des emmerdes. De la spirale infernale... Ca m'a tuée à l'intérieur et je ne voulais pas y croire. Pour lui faire mal je lui ai dit que je souhaitais qu'on se remette en relation libre (on ne l'était plus à ce moment là) et il l'a très mal pris, une dispute a violemment éclaté entre nous.
On a continué de rester ensemble mais je sentais qu'il n'était plus comme avant, plus le temps passait et plus il s'éloignait. Pendant les vacances d'été en 2018 je suis retournée à Paris, et à mon retour il avait changé. Il m'a dit qu'il avait l'impression d'avoir fait le tour de la relation, qu'on avait pas les mêmes modes de vie (il est très sportif, il travaille alors que j'étais étudiante et pas très sportive). J'ai pas écouté, je l'ai laissé dire tout ça et j'ai continué de nier dans ma tête. Il est retourné vivre chez ses parents à la rentrée et moi je suis restée à la coloc'. Ca se passait mal, je voulais partir. A cette époque je suis tombée en dépression car lui me disait qu'il avait l'espoir que la flamme renaisse et qu'il ne m'aimait plus comme avant. J'étais très mal, parfois je restais dans mon lit toute la journée, je n'allais pas en cours et je me détestais.
En novembre j'ai trouvé un appartement et on était toujours ensemble, malgré tout. aucun n'avait la force de quitter l'autre. Je me comportais comme une loque. Je satisfaisais ses désirs sexuels, lui écrivait des poèmes, lui faisait des surprises, .. Toujours de bonne humeur, pour que la flamme" renaisse", vous voyez... Plus aucune estime de moi-même, je ne me définissais plus que par lui, il était en moi et plus rien n'avait d'importance sauf son amour qu'il rechignait à me donner. A la fac ça allait pas, une très bonne amie à moi que j'ai rencontrée là bas est partie dans une autre ville, l'autre est tombée en dépression et ne venait plus en cours. Je restais avec des filles qui ne me ressemblaient pas, avec qui je ne me sentais pas à ma place.
Alors voilà, l'année passait et on se voyait toujours chez moi, parfois j'allais déjeuner chez ses parents. Je me sentais comme un objet sexuel, rien de plus. Il disait qu'il était bien avec moi, mais n'avait plus de sentiments. Et moi je restais, quelle conne. Il m'aidait pour les courses, parfois m'invitait au resto, il payait ma facture d'électricité, il m'aidait bien aussi ce qui fait que je ne lui en voulais pas tant que ça et ça renforçait ma dépendance aussi.
Il m'a quittée il y a un mois avec un "peu-être" comme d'habitude. Son indécision habituelle : "on devrait peut-être rester amis". Mais cette fois c'était une vraie rupture, je lui ai demandé si c'est ce qu'il souhaitait vraiment et il m'a dit oui.
J'ai été au plus mal, je me sentais plus bas que terre et en même temps soulagée, je lui ai fait des scènes, je me suis saoulée devant lui, j'ai couché avec lui, je l'ai insulté, supplié... Oui je suis tarée je sais...
Ca a duré 3 jours et je me suis raisonnée, faite à l'idée. Lui voulait rester en bons termes, amis. Je me suis dit qu'on y arriverait et que nos relations seraient beaucoup plus saines comme ça. J'ai décidé de tout plaquer, changer de voie et arrêter mes études, rencontrer de nouvelles personnes, réaliser mes rêves, changer de moi. J'ai tenu comme ça quelques semaines puis je suis retournée chez moi, seule( je séjournais chez ses parents avec lui). Pour la première fois ça allait et je voulais me reconquérir. Je voulais juste être son amie. Malheureusement cet état n'a pas duré car on s'est revus plusieurs fois chez moi et j'ai craqué , je ne couchais pas avec lui mais on se touchait, on se calinait. Parfois ça allait jusqu'aux préliminaires. Mais je stoppais. Je voulais tenir bon et garder ma dignité. Mais malheureusement les sentiments on resurgi au galop et être dans ses bras m'a donné de l'espoir au fond de moi, l'espoir qu'il m'aime. Alors que non.
La dernière fois qu'il est venu chez moi et est reparti, j'ai pleuré toute la soirée car il avait ravivé la blessure en moi, celle qui dit "aime-moi je t'en supplie" mais qui est négligée. Les jours suivants j'ai recommencé à éprouver les mêmes sentiments qu'avant, c'est-à-dire m'arrêter de vivre en attendant nos prochaines retrouvailles. Mon âme et mon coeur n'attendent que lui, je suis désespérée. Vous devez me prendre pour une personne lamentable, qui n'a pas de vie, c'est ce que je pense de moi actuellement.
Cette nuit a été atroce, je n'ai pas fait d'autres choses que pleurer. Aujourd'hui je me suis dit secoue-toi ma fille, fais quelque chose. Alors j'ai décidé de couper les ponts. Je lui ai envoyé le message suivant : "Comme je t'ai dit j'ai encore des sentiments alors il vaut mieux couper contact. Peut être qu'un jour je reviendrai vers toi et serai prête pour une relation amicale qui sait. Je te souhaite une belle continuation" et je l'ai bloqué. Mais ça n'a pas duré longtemps car il m'a appelé quelques temps après et au téléphone, il m'a demandé pourquoi j'avais fait ça. Je lui ai dit que c'était nécessaire pour l'oublier. Il m'a répondu que je ne pouvais pas le bloquer comme ça, sur tous les réseaux "imagine qu'on doit se parler pour quelque chose, par exemple si je dois récupérer mes affaires?" on aurait dit qu'il n'éprouvait pas la moindre tristesse... Il m'a dit qu'il ne pouvait pas se mettre à ma place, qu'il comprenait que j'avais besoin de mettre de la distance mais que bloquer c'était trop. Alors j'ai dit ok mais qu'on ne se parlait plus. Il m'a ensuite fait une sorte de chantage car il m'a dit que si on ne se parlait plus il ne voyait pas l'intérêt de payer la facture du gaz de chez moi... cette conversation m'a dégoûtée et m'a fait encore plus mal car on aurait dit qu'il en avait rien à foutre. Son message avant de m'appeler c'était : "c'est important de continuer à parler. Ne fais pas les mêmes erreurs que moi. Ne me laisse pas sans nouvelles stp. On s'appelle si tu veux!"
Alors maintenant je me dis que c'est un mec qui sait pas ce qu'il veut, il veut plus être avec moi mais il accepte pas la coupure définitive... du coup je l'ai débloquée car au téléphone il m'a dit aussi que si je le bloquais pour lui c'était pour toujours et je n'entendrai plus parler de lui.
Désolée pour mon gros pavé, je n'ai pas su synthétiser, j'ai tout écrit d'une traite. Merci à toutes celles et ceux qui prendront la peine de me lire et me répondre