- 08 avr. 2017, 01:30
#1237447
Bonsoir à tous,
Mon histoire n'est pas la plus belle qu'il soit, mais je tenais tout de même à vous la relater.
Mon ami et moi-même avions 19 et 20 ans quand nous nous sommes rencontrés. De son côté, il était très hyperactif, très excessif, un fort caractère alors que moi j'étais totalement l'opposé : réservée, calme et douce. L'on s'est rencontrés par pur hasard, dans un bar. Je lui accordais peu d'intérêts au départ, je l'avais rejeté parce qu'il ne m'intéressait pas. Puis j'ai fini par le recontacter trois mois après, sans vraiment savoir ce que je voulais, car ce type ne me plaisait pas plus que ça.
Notre histoire a réellement commencé ce jour là, le 3 février 2014. Je ne m'attendais pas à ce que nos deux personnalités si différentes s'accordent aussi bien. Je me suis très vite attachée à lui, chacun ne pouvant se passer de l'autre. Notre histoire avait bien commencé. Il y avait énormément d'amour entre nous, sûrement parce qu'il est la personne que je n'ai jamais autant aimé de toute ma vie (hormis ma famille) mais aussi parce qu'il n'avait jamais autant aimé quelqu'un à présent que moi.
Nous étions tellement bien ensemble, nous avions partagé énormément de choses, beaucoup de sorties, des vacances...etc. Je vous fais grâce des détails. Mais c'est par la suite que les choses se sont accentuées : j'ai découvert une autre facette de sa personnalité, l'image d'un homme chaud-bouillant attiré par le sexe et prêt à tout pour ça. Il enchaînait les conquêtes avant moi sans but précis. S'il a réussi à tomber amoureux, c'est tout simplement parce que je ne me suis pas laissée faire et lui est tenu tête dès le départ. Alors que tout allait bien, j'allais très vite redescendre sur Terre quand j'ai appris qu'il m'avait 'trompé' (ce n'était pas une relation sexuelle mais presque). Alors j'ai eu énormément de mal, mais j'ai fini par pardonner. S'en est suivi par la suite énormément de jalousie de sa part, je ne pouvais rien faire sans lui (aucune sorties, aucun restaurant entre amies). J'étais emprisonnée. Si j'allais à l'encontre de ses envies, si j'essayais d'obtenir son 'autorisation' pour quoi que ce soit dans ce genre, je n'avais droit qu'en réponse qu'à sa colère, aux coups parfois violents, aux bras serrés fortement, aux bousculades. Il ne m'a jamais réellement frappé, mais les gestes me laissaient parfois des séquelles. Ça y est, j'étais partie dans un cercle infernal. Je ne savais pas où j'avais mis les pieds à ce moment là, mais le souci, c'est que j'étais éperdument amoureuse parce que je n'avais jamais aimé quelqu'un comme ça.
C'était facile, il revenait en pleurs, me suppliait de le reprendre dès qu'il faisait quelque chose de mal, parce qu'en plus de ses gestes déplacés, il n'a pas hésiter à me quitter un peu plus d'un an après cette tromperie du jour au lendemain par un simple sms. Il m'a laissé seule, chez moi, en me disant qu'il ne voulait plus jamais me revoir, qu'il n'avait qu'une envie c'est d'aller draguer ailleurs. Il m'avait bloqué de tous les réseaux sociaux, refusaient de me voir...etc. Alors j'ai fais la femme forte après tout ce qu'il m'avait fait endurer entre les beaux moments d'amour et de bonheur, et ses crises parfois réellement violentes et surtout vraiment.. J'avais très très peur. Pendant cette période de rupture, j'ai tenu un silence radio strict de quatre mois. Quatre mois à pleurer, quatre mois à perdre du poids, quatre mois à ne penser qu'à lui. Les quatre pires mois de toute ma vie alors même que cet homme n'est qu'une ordure pure et dure, j'espérais encore qu'il revienne et qu'il me reprenne. Alors pourquoi être autant encore attachée à lui alors que je n'aurais dû que le détester ? Je ne sais pas, je vous jure que je faisais tout pour le détester, surtout qu'il m'appelait ou m'envoyait des messages uniquement pour m'insulter et qu'il parlait de moi en mal à tout le monde.
Je vous jure que quand il est revenu, j'étais la femme la plus heureuse du monde, alors qu'il m'avait volé ma dignité quand il a osé me bousculer par terre, ou qu'il me disait qu'il fallait que j'arrête de dire ceci ou cela car sinon j'allais me prendre un poing. J'idéalisais cet homme en réalité. Je ne gardais dans mon esprit que les bons moments et j'en oubliais tous les mauvais moments, tous les moments de souffrance, de larmes ou il me traitait comme une véritable merde. Mais j'étais follement amoureuse, alors je l'ai repris. Notre histoire a repris alors qu'il m'avait quitté pour une trainée, une collègue de boulot avec qui il a couché DEUX JOURS après m'avoir quitté après un an et demi de relation. Il avait ensuite enchaîné les conquêtes pendant trois mois, sans but précis.
Notre histoire a donc repris en septembre 2015, et j'étais persuadée que cette fois-ci c'était la bonne. Qu'il avait changé. Il me l'avait promis. Plus de jalousies mal placées dès qu'un homme me parlait ou me regardait, j'avais le droit à ma liberté : les sorties entre copines, les repas chez les copines...etc. Quel bonheur ! Mais tout a fini par recommencer il y a un mois. Ma haine a ressurgi un soir alors que j'avais de l'alcool dans le sang. Je pense qu'au fond de moi j'intériorisais tout. Alors tout est ressorti lorsque j'avais trop bu. Alors le lendemain, il m'a de nouveau quitté car il ne me supportait plus. J'étais la pire ordure de l'avoir insulté de tous les noms vous comprenez. Alors je suis partie, je n'ai pas donné de nouvelles de la journée et le soir, il est revenu. Et qu'est ce que j'ai fais ? Je l'ai repris. Et oui. Si vous saviez comme je regrette, comme j'aimerais pouvoir changer le passé. Je ne comprends pas pourquoi je suis accrochée à un type pareil. Peut être est-ce l'habitude de sa présence ? Je ne sais pas.
Par la suite, tout allait bien, jusqu'à vendredi dernier. Il n'y avait pas eu d'engueulades, de difficultés que j'ai pu déceler dans notre couple après cette 'rupture'. Ce vendredi, tout allait bien, les attentions de sa part n'avaient pas changé, il n'avait même pas hésité à me dire que j'étais belle aujourd'hui. Et bam, à 15h, alors que j'étais à la fac, en plein cours, je reçois, "je t'aime". D'accord, moi aussi. 15h10 : nouveau message, "je ne suis plus heureux avec toi. Je me mens à moi-même. Je t'aime et je n'ai jamais aimé quelqu'un autant que toi mais mes sentiments ont diminué et je ne suis plus heureux".
Lâcheté, connard, ordure. Mais j'ai fais la fière, je ne l'ai pas supplié, je ne lui ai pas dis que je l'aimais, je n'ai rien dit. J'ai juste demandé comment l'on faisait sachant que nous vivions ensemble et que l'appartement était à nos deux noms. Il m'a répondu comme une lettre à la Poste, comme si l'on avait jamais été qu'un simple plan cul. Aucune attention, aucune gêne, comme si je n'avais été qu'une véritable merde à ses yeux après en tout, plus de trois ans de relation. Je n'ai pas répondu, je n'ai pas donné signe de vie, même si je pleure tous les jours et que je ne mange pas, je tiens le choc. Je tiens le choc car comme la première fois ou il m'avait quitté trois jours avant mes partiels, il l'a fait cette fois-ci 20 jours avant.
Vendredi après midi, 15h, il m'a quitté. Vendredi soir, il était déjà sur des sites de rencontre. Il est passé récupérer des affaires quand je n'étais pas là. Cette semaine, il m'a harcelé pour savoir comment l'on faisait pour les meubles que nous avions acheté en commun. Je n'ai pas répondu une seule fois. Il m'a prévenu qu'il viendrait hier à 17h récupérer le reste de ses affaires, je n'étais pas là. Au final, il n'a pris que sa télé et a laissé tout le reste de ses affaires (vêtements, chaussures..etc). Et il a continué à me tanner pour les meubles par sms. Je n'ai pas répondu.
Mais voilà, le pire dans tout ça, c'est qu'il ose me dénigrer auprès de tout le monde. Il dit qu'il se sent hyper bien sans moi, il se vante de ses expériences sexuelles qu'il aurait fait avec ses conquêtes de cette semaine auprès de tout le monde (c'est logique de coucher avec des filles même pas une semaine après avoir quitté sa copine après trois ans de relation). Avec moi, il est froid, insensible, et il parle de moi comme si je n'étais qu'une véritable merde. Oui, quand il parle de moi je suis "l'autre" ! "t'as amené l'autre ?" dit-il à un ami en parlant de moi. Je cite ce dernier "tu sais, quand on le voit ton ex, on a l'impression qu'il sort d'une cure thermale tellement qu'il a l'air bien". Alors j'étais quoi moi ? Un fardeau apparemment. Je faisais TOUT pour lui, parce qu'il était incapable de se prendre en main, je faisais ses papiers, et toutes les tâches de la vie courante. Je faisais tout pour qu'il soit bien. Je ne comprends pas pourquoi je me suis embourbée dans une telle situation. Je n'arrive pas à remonter la pente. Le fait d'être traitée comme une moins que rien me fait souffrir énormément. Parce que lui tout va bien. Il se comporte exactement comme la première fois, il est totalement irrespectueux, méchant.
Alors voilà, si je me suis tournée vers vous aujourd'hui, ce n'est pas pour entendre des leçons de morale ou les moqueries. J'aimerais juste réussir à m'en sortir. À réussir mes examens, ce qui est le plus important à mes yeux.
Merci de vos réponses, et croyez moi, je me passerais des commentaires du style "tu es une sotte" ou "tu es naïve et bête d'avoir acceptée tout ça". J'en ai déjà conscience... Merci..
Mon histoire n'est pas la plus belle qu'il soit, mais je tenais tout de même à vous la relater.
Mon ami et moi-même avions 19 et 20 ans quand nous nous sommes rencontrés. De son côté, il était très hyperactif, très excessif, un fort caractère alors que moi j'étais totalement l'opposé : réservée, calme et douce. L'on s'est rencontrés par pur hasard, dans un bar. Je lui accordais peu d'intérêts au départ, je l'avais rejeté parce qu'il ne m'intéressait pas. Puis j'ai fini par le recontacter trois mois après, sans vraiment savoir ce que je voulais, car ce type ne me plaisait pas plus que ça.
Notre histoire a réellement commencé ce jour là, le 3 février 2014. Je ne m'attendais pas à ce que nos deux personnalités si différentes s'accordent aussi bien. Je me suis très vite attachée à lui, chacun ne pouvant se passer de l'autre. Notre histoire avait bien commencé. Il y avait énormément d'amour entre nous, sûrement parce qu'il est la personne que je n'ai jamais autant aimé de toute ma vie (hormis ma famille) mais aussi parce qu'il n'avait jamais autant aimé quelqu'un à présent que moi.
Nous étions tellement bien ensemble, nous avions partagé énormément de choses, beaucoup de sorties, des vacances...etc. Je vous fais grâce des détails. Mais c'est par la suite que les choses se sont accentuées : j'ai découvert une autre facette de sa personnalité, l'image d'un homme chaud-bouillant attiré par le sexe et prêt à tout pour ça. Il enchaînait les conquêtes avant moi sans but précis. S'il a réussi à tomber amoureux, c'est tout simplement parce que je ne me suis pas laissée faire et lui est tenu tête dès le départ. Alors que tout allait bien, j'allais très vite redescendre sur Terre quand j'ai appris qu'il m'avait 'trompé' (ce n'était pas une relation sexuelle mais presque). Alors j'ai eu énormément de mal, mais j'ai fini par pardonner. S'en est suivi par la suite énormément de jalousie de sa part, je ne pouvais rien faire sans lui (aucune sorties, aucun restaurant entre amies). J'étais emprisonnée. Si j'allais à l'encontre de ses envies, si j'essayais d'obtenir son 'autorisation' pour quoi que ce soit dans ce genre, je n'avais droit qu'en réponse qu'à sa colère, aux coups parfois violents, aux bras serrés fortement, aux bousculades. Il ne m'a jamais réellement frappé, mais les gestes me laissaient parfois des séquelles. Ça y est, j'étais partie dans un cercle infernal. Je ne savais pas où j'avais mis les pieds à ce moment là, mais le souci, c'est que j'étais éperdument amoureuse parce que je n'avais jamais aimé quelqu'un comme ça.
C'était facile, il revenait en pleurs, me suppliait de le reprendre dès qu'il faisait quelque chose de mal, parce qu'en plus de ses gestes déplacés, il n'a pas hésiter à me quitter un peu plus d'un an après cette tromperie du jour au lendemain par un simple sms. Il m'a laissé seule, chez moi, en me disant qu'il ne voulait plus jamais me revoir, qu'il n'avait qu'une envie c'est d'aller draguer ailleurs. Il m'avait bloqué de tous les réseaux sociaux, refusaient de me voir...etc. Alors j'ai fais la femme forte après tout ce qu'il m'avait fait endurer entre les beaux moments d'amour et de bonheur, et ses crises parfois réellement violentes et surtout vraiment.. J'avais très très peur. Pendant cette période de rupture, j'ai tenu un silence radio strict de quatre mois. Quatre mois à pleurer, quatre mois à perdre du poids, quatre mois à ne penser qu'à lui. Les quatre pires mois de toute ma vie alors même que cet homme n'est qu'une ordure pure et dure, j'espérais encore qu'il revienne et qu'il me reprenne. Alors pourquoi être autant encore attachée à lui alors que je n'aurais dû que le détester ? Je ne sais pas, je vous jure que je faisais tout pour le détester, surtout qu'il m'appelait ou m'envoyait des messages uniquement pour m'insulter et qu'il parlait de moi en mal à tout le monde.
Je vous jure que quand il est revenu, j'étais la femme la plus heureuse du monde, alors qu'il m'avait volé ma dignité quand il a osé me bousculer par terre, ou qu'il me disait qu'il fallait que j'arrête de dire ceci ou cela car sinon j'allais me prendre un poing. J'idéalisais cet homme en réalité. Je ne gardais dans mon esprit que les bons moments et j'en oubliais tous les mauvais moments, tous les moments de souffrance, de larmes ou il me traitait comme une véritable merde. Mais j'étais follement amoureuse, alors je l'ai repris. Notre histoire a repris alors qu'il m'avait quitté pour une trainée, une collègue de boulot avec qui il a couché DEUX JOURS après m'avoir quitté après un an et demi de relation. Il avait ensuite enchaîné les conquêtes pendant trois mois, sans but précis.
Notre histoire a donc repris en septembre 2015, et j'étais persuadée que cette fois-ci c'était la bonne. Qu'il avait changé. Il me l'avait promis. Plus de jalousies mal placées dès qu'un homme me parlait ou me regardait, j'avais le droit à ma liberté : les sorties entre copines, les repas chez les copines...etc. Quel bonheur ! Mais tout a fini par recommencer il y a un mois. Ma haine a ressurgi un soir alors que j'avais de l'alcool dans le sang. Je pense qu'au fond de moi j'intériorisais tout. Alors tout est ressorti lorsque j'avais trop bu. Alors le lendemain, il m'a de nouveau quitté car il ne me supportait plus. J'étais la pire ordure de l'avoir insulté de tous les noms vous comprenez. Alors je suis partie, je n'ai pas donné de nouvelles de la journée et le soir, il est revenu. Et qu'est ce que j'ai fais ? Je l'ai repris. Et oui. Si vous saviez comme je regrette, comme j'aimerais pouvoir changer le passé. Je ne comprends pas pourquoi je suis accrochée à un type pareil. Peut être est-ce l'habitude de sa présence ? Je ne sais pas.
Par la suite, tout allait bien, jusqu'à vendredi dernier. Il n'y avait pas eu d'engueulades, de difficultés que j'ai pu déceler dans notre couple après cette 'rupture'. Ce vendredi, tout allait bien, les attentions de sa part n'avaient pas changé, il n'avait même pas hésité à me dire que j'étais belle aujourd'hui. Et bam, à 15h, alors que j'étais à la fac, en plein cours, je reçois, "je t'aime". D'accord, moi aussi. 15h10 : nouveau message, "je ne suis plus heureux avec toi. Je me mens à moi-même. Je t'aime et je n'ai jamais aimé quelqu'un autant que toi mais mes sentiments ont diminué et je ne suis plus heureux".
Lâcheté, connard, ordure. Mais j'ai fais la fière, je ne l'ai pas supplié, je ne lui ai pas dis que je l'aimais, je n'ai rien dit. J'ai juste demandé comment l'on faisait sachant que nous vivions ensemble et que l'appartement était à nos deux noms. Il m'a répondu comme une lettre à la Poste, comme si l'on avait jamais été qu'un simple plan cul. Aucune attention, aucune gêne, comme si je n'avais été qu'une véritable merde à ses yeux après en tout, plus de trois ans de relation. Je n'ai pas répondu, je n'ai pas donné signe de vie, même si je pleure tous les jours et que je ne mange pas, je tiens le choc. Je tiens le choc car comme la première fois ou il m'avait quitté trois jours avant mes partiels, il l'a fait cette fois-ci 20 jours avant.
Vendredi après midi, 15h, il m'a quitté. Vendredi soir, il était déjà sur des sites de rencontre. Il est passé récupérer des affaires quand je n'étais pas là. Cette semaine, il m'a harcelé pour savoir comment l'on faisait pour les meubles que nous avions acheté en commun. Je n'ai pas répondu une seule fois. Il m'a prévenu qu'il viendrait hier à 17h récupérer le reste de ses affaires, je n'étais pas là. Au final, il n'a pris que sa télé et a laissé tout le reste de ses affaires (vêtements, chaussures..etc). Et il a continué à me tanner pour les meubles par sms. Je n'ai pas répondu.
Mais voilà, le pire dans tout ça, c'est qu'il ose me dénigrer auprès de tout le monde. Il dit qu'il se sent hyper bien sans moi, il se vante de ses expériences sexuelles qu'il aurait fait avec ses conquêtes de cette semaine auprès de tout le monde (c'est logique de coucher avec des filles même pas une semaine après avoir quitté sa copine après trois ans de relation). Avec moi, il est froid, insensible, et il parle de moi comme si je n'étais qu'une véritable merde. Oui, quand il parle de moi je suis "l'autre" ! "t'as amené l'autre ?" dit-il à un ami en parlant de moi. Je cite ce dernier "tu sais, quand on le voit ton ex, on a l'impression qu'il sort d'une cure thermale tellement qu'il a l'air bien". Alors j'étais quoi moi ? Un fardeau apparemment. Je faisais TOUT pour lui, parce qu'il était incapable de se prendre en main, je faisais ses papiers, et toutes les tâches de la vie courante. Je faisais tout pour qu'il soit bien. Je ne comprends pas pourquoi je me suis embourbée dans une telle situation. Je n'arrive pas à remonter la pente. Le fait d'être traitée comme une moins que rien me fait souffrir énormément. Parce que lui tout va bien. Il se comporte exactement comme la première fois, il est totalement irrespectueux, méchant.
Alors voilà, si je me suis tournée vers vous aujourd'hui, ce n'est pas pour entendre des leçons de morale ou les moqueries. J'aimerais juste réussir à m'en sortir. À réussir mes examens, ce qui est le plus important à mes yeux.
Merci de vos réponses, et croyez moi, je me passerais des commentaires du style "tu es une sotte" ou "tu es naïve et bête d'avoir acceptée tout ça". J'en ai déjà conscience... Merci..