- 25 mai 2017, 19:15
#1243151
Bonjour,
Suite de l'histoire. Pas grand chose. J'essaie de me détacher mais ce n'est pas simple en se côtoyant tous les jours au travail.
On se reparle comme des collègues. Mais c'est souvent qu'il m'accompagne quand je pars en pause. Du coup, on parle un peu mais j'évite les sujets perso.
Cependant, il a du mal, lui, à les éviter. Il me demande ce que j'ai prévu comme soirée. Je ne réponds pas ou dans le vague. Il me parle de telle ou telle soirée qu'il a prévu sans mentionner sa next.
C'était son anniversaire il y a quelques jours. Il m'a dit que son fils l'avait appelé la veille et qu'il dînait avec lui pour ce soir-là.
Je ne sais pas pourquoi il me raconte tout ça. ça m'a un peu énervée (je ne l'ai pas montré) et je lui ai dit : ah, tu n'as même pas prévu une petite soirée avec ta copine ? Il a bafouillé, et m'a dit qu'ils n'en avaient pas parlé, que ce n'était pas un projet.
Allez, prends-moi pour une conne! j'ai pensé, pourquoi me parler de sa soirée d'anniversaire avec son fils ?
J'espère que ça le calmera ou sinon, il faudra encore une fois que je lui dise que ça ne m'intéresse pas sa vie en dehors du travail.
Par ailleurs, comme j'ai beaucoup minci, il a fait le lien avec mon énorme rhume du moment. Je lui ai dit que c'était n'importe quoi, que j'avais encore des réserves et que le rhume c'était à force de faire des courants d'air dans le bureau.
Et là, il m'a sorti," je ne devrais pas, pour que tu n'aies pas de doute, mais je te le dis quand même : "j'ai toujours aimé tes formes". Super !!!! Si j'ai minci, c'est le poids du mensonge qui s'en est allé et je me sens bien mieux comme ça.
Non mais c'est bon, qu'il s'abstienne !
Et comme je pars en rando cet été sans lui, il m'a demandé si j'avais tout ce qu'il fallait, s'il pouvait me prêter du matériel.
Voilà, il continue de m'agacer à jouer le gentil. Et j'ai beaucoup de mal à être ferme avec lui et je m'en veux.
Suite de l'histoire. Pas grand chose. J'essaie de me détacher mais ce n'est pas simple en se côtoyant tous les jours au travail.
On se reparle comme des collègues. Mais c'est souvent qu'il m'accompagne quand je pars en pause. Du coup, on parle un peu mais j'évite les sujets perso.
Cependant, il a du mal, lui, à les éviter. Il me demande ce que j'ai prévu comme soirée. Je ne réponds pas ou dans le vague. Il me parle de telle ou telle soirée qu'il a prévu sans mentionner sa next.
C'était son anniversaire il y a quelques jours. Il m'a dit que son fils l'avait appelé la veille et qu'il dînait avec lui pour ce soir-là.
Je ne sais pas pourquoi il me raconte tout ça. ça m'a un peu énervée (je ne l'ai pas montré) et je lui ai dit : ah, tu n'as même pas prévu une petite soirée avec ta copine ? Il a bafouillé, et m'a dit qu'ils n'en avaient pas parlé, que ce n'était pas un projet.
Allez, prends-moi pour une conne! j'ai pensé, pourquoi me parler de sa soirée d'anniversaire avec son fils ?
J'espère que ça le calmera ou sinon, il faudra encore une fois que je lui dise que ça ne m'intéresse pas sa vie en dehors du travail.
Par ailleurs, comme j'ai beaucoup minci, il a fait le lien avec mon énorme rhume du moment. Je lui ai dit que c'était n'importe quoi, que j'avais encore des réserves et que le rhume c'était à force de faire des courants d'air dans le bureau.
Et là, il m'a sorti," je ne devrais pas, pour que tu n'aies pas de doute, mais je te le dis quand même : "j'ai toujours aimé tes formes". Super !!!! Si j'ai minci, c'est le poids du mensonge qui s'en est allé et je me sens bien mieux comme ça.
Non mais c'est bon, qu'il s'abstienne !
Et comme je pars en rando cet été sans lui, il m'a demandé si j'avais tout ce qu'il fallait, s'il pouvait me prêter du matériel.
Voilà, il continue de m'agacer à jouer le gentil. Et j'ai beaucoup de mal à être ferme avec lui et je m'en veux.