par etpourtant - 01 févr. 2017, 00:52
- 01 févr. 2017, 00:52
#1226826
Bonsoir à tous.
Quelques mois ont passé, je ne suis plus intervenu sur le forum car j'avais décidé de me consacrer entièrement à une nouvelle relation toute neuve qui s'était profilée. Des moments magnifiques avec une personne magnifique, un climat de confiance, de respect immense. Complicité, communication fluide et quotidienne, une belle expression des ressentis, des émotions. Mais après quelques mois, nous avons décidé de nous séparer, par le constat fait à deux et dans une très belle discussion que l'amour n'était pas là après ces quelques mois de "papillons". Une discussion franche, calme, respectueuse, dans laquelle nous étions nous-mêmes, sans peurs, sans craintes, sans jugement, sans reproches. Juste un immense respect, et la sérénité du constat. Et nous avons conclu que nous étions fiers d'avoir vécu de si beaux moments et d'avoir su nous dire les choses, et je crois qu'une belle amitié pourra naître dans quelque temps, nous en sommes d'accord tous les deux.
Que tirer de cette relation ? énormément de choses positives, mêmes si elle est terminée aujourd'hui. D'abord la grande sérénité, je ne me suis pas senti envahi par un fantôme comme j'ai pu l'être il y a un an lorsque j'ai rencontré une autre personne et où je ne pensais qu'à mon ex. Clairement cette fois j'étais là, dans le présent. Bien sur qu'il m'est arrivé de penser à mon ex, mais ce n'était pas envahissant, ça ne m'a pas empêché d'avancer, de vivre cette relation nouvelle au jour le jour, sans pression, sans attendus, juste en me laissant porter et en étant ouvert à l'autre et à moi.
Et pourtant.... et pourtant mon ex a refait surface. Je n'avais plus de contact avec elle depuis septembre, et un après midi un peu avant les fêtes elle m'a envoyé un mail pour prendre de mes nouvelles, en évoquant aussi des souvenirs. Je lui ai répondu gentiment que je préférais une conversation téléphonique, et nous nous sommes appelés. Une discussion joyeuse, détendue, au cours de laquelle elle m'a raconté tout ce qu'elle avait fait pendant ces mois, et dont elle était fière. J'étais heureux de l'entendre dire qu'elle était fière d'elle, et heureuse.
Quelques échanges pour les fêtes, à son initiative, à mon initiative, des échanges équilibrés. Des souvenirs, des allusions parfois coquines, et puis elle m'a dit qu'après la période de déménagement, de travaux, elle en était à l'époque des décisions. Je sais ce que ça signifie...
Alors je lui ai simplement dit de faire son chemin pour elle, sereinement. Que l'époque des choix pouvait aussi être une belle période de la vie, à partir du moment où l'on s'écoute soi-même, où l'on prend des décisions en accord avec ce que l'on désire profondément, en laissant poliment de côté les pensées, les "oui mais" et les "et si "dont le métier est de venir nous faire des films catastrophe et nous faire dévier de ce que l'on souhaite vraiment. Je lui ai demandé la raison de cette reprise de contact. Elle m'a dit qu'elle voulait me dire qu'elle était heureuse et fière, et aussi que des choses lui manquaient. Je n'ai surtout pas épilogué, chercher à savoir quoi, qui, quand. Je n'en avais pas envie, pas le besoin. Je lui ai dit que je la respectais, et qu'elle fasse ce qui est bon pour elle.
Depuis, nous avons quelques échanges de temps en temps, un coup de fil, toujours joyeux, toujours avec des souvenirs. Jamais nous ne revenons sur les difficultés du passé. Il n'y a pas de demande de ma part d'un rendez-vous, je la laisse faire, je n'attends rien. Même si bien entendu au fond de moi j'ai toujours quelque part une envie de voir, de voir ce qui serait possible après presque un an et demi de séparation. j'ai envie de voir ce que nous sommes devenus tous les deux.
Je ressens toujours un putain de lien qui nous fait nous sentir bien quand nous nous contactons. Et je dis nous car je ressens aussi dans sa voix, dans ses paroles, qu'elle se sent bien quand nous nous téléphonons.
J'entends d'ici les "elle joue avec toi", les "il n'y a rien de concret", les "tu vois que tu n'es pas détaché, que tu n'as pas tourné la page etc..." J'ai lu d'ailleurs sur le forum des interventions que je trouve bien péremptoires, voire blessantes parfois pour les intervenants. Je suis le premier parfois en lisant les histoires à ressentir au travers des écrits des phases de la miennes, et du coup d'avoir envie de mettre un grand coup de pied au cul à la personne qui est paumée devant son clavier. Un peu comme si inconsciemment je me punissais d'avoir agi comme un con à l'époque, aveuglé, empêtré dans mon histoire, et j'ai la furieuse envie d'en mettre plein la poire de l'autre qui vient plutôt chercher du soutien et une écoute, que des solutions clé en main même s'il demande des solutions clé en main (c'est parfois compliqué d'oser exprimer une demande de soutien... l'égo, la panique etc....).
Mais chaque histoire est différente, chaque personne est différente, et je préfère lire ou écrire sur le forum des mots d'empathie et de compassion, que parfois des mots durs même s'ils ne sont évidemment pas dits avec intention de blesser. Je pense sincèrement que parfois il convient un instant de se mettre à la place de celui ou celle qui écrit, et qui n'a besoin de rien d'autre que simplement une oreille, même si parfois il dit des "énormités " qui nous font juste bondir. Je conçois qu'avec les mois et les mois sur le forum, à force de lire souvent les mêmes histoires (en apparence), souvent vécues d'ailleurs par des très jeunes qui pour le coup sont vraiment paumés, on a tendance à peut-être s'aigrir un peu. C'est humain. C'est un constat, il n'y a pas de reproche de ma part pour quiconque, nous faisons tous ici de notre mieux, mais parfois je pense qu'il est sage de prendre un peu de recul. Parenthèse fermée.
Pour en revenir à mon histoire, j'apprends mois après mois que nous sommes tous différents, et que nous avons tous notre propre logique. Celle de mon ex, c'est la sienne, elle fait son chemin comme elle l'entend. Alors oui, vu de l'extérieur, à commencer par moi-même, ça peut paraître égoïste de sa part. Mais quand on se reconstruit on pense avant tout à soi, et c’est bien normal (c'est même ce que l'on préconise à tous les largués). Mon ex avait énormément de choses du passé à poser, elle le fait étape après étape, mois après mois. Elle me recontacte à la fin de chaque étape, et passe à la suivante. Non je ne cherche pas vraiment à l'excuser, à tout expliquer dans un mode qui m'arrange (même si parfois ça peut m'arriver, on n'est pas parfaits nous les humains) mais je me mets à sa place, en essayant de comprendre sa logique, et de l'accepter pour ce qu'elle est: différente de la mienne.
Alors c'est un truc sans fin c'est ça ? elle vient sonder le terrain voir si je suis toujours dispo ? si doudou ou chien chien vient donner la papatte ? certains le verront comme ça, car ils trouveront cette logique inacceptable pour eux. C'est leur droit. Je trouvais cette logique inacceptable, et j'en souffrais (je souffrais aussi pour d'autres raisons que ces mois et ces mois m'ont permis de poser). Depuis des mois et des mois, j'ai commencé à comprendre cette logique, et aussi à me détacher en ce sens que je n'attends plus le retour du navire passivement, en pleurant sur la jetée.
Cette relation de quelques mois que j'ai vécue récemment m'a montré que je pouvais vivre sans mon ex, passer des moments superbes. Cette relation n'a pas eu de suite "ah mais bien sur c'était un pansement, cherche pas". N'empêche qu'aujourd'hui je suis serein, j'ai parfois des rêves qui me viennent, des rêves d'avenir. Mais ces rêves me permettent d'avancer, et je préfère ces rêves que ruminer le passé en me demandant ce que j'aurais du faire il y a un an et demi quand elle est partie en m'embrassant et en me disant son amour.
J'ai tourné la page que je voulais tourner, celle de mes boulets anciens, ces peurs de l'abandon, ce manque de confiance, d'amour de moi-même. Aujourd'hui clairement dans mon esprit je n'ai plus de pages à tourner, mais des pages à écrire.
Ce qui se passera dans les semaines ou les mois qui viennent, je n'en sais rien. Peut-être qu'elle me dira ses choix, ce qu'elle désire, peut-être qu'elle ne me le dira jamais. Mais à quoi bon finalement s'inquiéter pour ça ? Je préfère vivre tranquillement, être heureux quand vient un petit message et y répondre gentiment sans pression. Je sais désormais que je peux vivre sans elle, pour moi. Faire éventuellement de nouvelles rencontres, qui donneront ce qu'elles donneront. Ou bien la retrouver un jour, fière de ce qu'elle est, fière de ses choix, qui seront ce qu'ils seront.
Je sais désormais ce que je veux. Je souhaite construire une vie à deux avec une femme qui sait ce qu'elle veut, et qui m'aime pour ce que je suis, un être humain loin d'être parfait, avec mes qualités et mes défauts. Et surtout, surtout, faire de mon mieux jour après jour pour être heureux, et non pas faire ce que je peux pour ne pas souffrir. La nuance peut paraître subtile, mais elle est énorme. Cette femme ça pourra être elle, ou une autre.
Quoi qu'il arrive et quoi qu'elle décide, je crois qu'au plus profond de moi même, je ne souhaite qu'une seule chose pour elle, c'est qu'elle soit heureuse et fière d'elle. Avec moi, ou pas.
Advienne que pourra, la boucle est à nouveau ouverte...
Amitiés à tous, et plein d'affection pour mes chers amis Dupont que j'ai hâte de revoir
Quelques mois ont passé, je ne suis plus intervenu sur le forum car j'avais décidé de me consacrer entièrement à une nouvelle relation toute neuve qui s'était profilée. Des moments magnifiques avec une personne magnifique, un climat de confiance, de respect immense. Complicité, communication fluide et quotidienne, une belle expression des ressentis, des émotions. Mais après quelques mois, nous avons décidé de nous séparer, par le constat fait à deux et dans une très belle discussion que l'amour n'était pas là après ces quelques mois de "papillons". Une discussion franche, calme, respectueuse, dans laquelle nous étions nous-mêmes, sans peurs, sans craintes, sans jugement, sans reproches. Juste un immense respect, et la sérénité du constat. Et nous avons conclu que nous étions fiers d'avoir vécu de si beaux moments et d'avoir su nous dire les choses, et je crois qu'une belle amitié pourra naître dans quelque temps, nous en sommes d'accord tous les deux.
Que tirer de cette relation ? énormément de choses positives, mêmes si elle est terminée aujourd'hui. D'abord la grande sérénité, je ne me suis pas senti envahi par un fantôme comme j'ai pu l'être il y a un an lorsque j'ai rencontré une autre personne et où je ne pensais qu'à mon ex. Clairement cette fois j'étais là, dans le présent. Bien sur qu'il m'est arrivé de penser à mon ex, mais ce n'était pas envahissant, ça ne m'a pas empêché d'avancer, de vivre cette relation nouvelle au jour le jour, sans pression, sans attendus, juste en me laissant porter et en étant ouvert à l'autre et à moi.
Et pourtant.... et pourtant mon ex a refait surface. Je n'avais plus de contact avec elle depuis septembre, et un après midi un peu avant les fêtes elle m'a envoyé un mail pour prendre de mes nouvelles, en évoquant aussi des souvenirs. Je lui ai répondu gentiment que je préférais une conversation téléphonique, et nous nous sommes appelés. Une discussion joyeuse, détendue, au cours de laquelle elle m'a raconté tout ce qu'elle avait fait pendant ces mois, et dont elle était fière. J'étais heureux de l'entendre dire qu'elle était fière d'elle, et heureuse.
Quelques échanges pour les fêtes, à son initiative, à mon initiative, des échanges équilibrés. Des souvenirs, des allusions parfois coquines, et puis elle m'a dit qu'après la période de déménagement, de travaux, elle en était à l'époque des décisions. Je sais ce que ça signifie...
Alors je lui ai simplement dit de faire son chemin pour elle, sereinement. Que l'époque des choix pouvait aussi être une belle période de la vie, à partir du moment où l'on s'écoute soi-même, où l'on prend des décisions en accord avec ce que l'on désire profondément, en laissant poliment de côté les pensées, les "oui mais" et les "et si "dont le métier est de venir nous faire des films catastrophe et nous faire dévier de ce que l'on souhaite vraiment. Je lui ai demandé la raison de cette reprise de contact. Elle m'a dit qu'elle voulait me dire qu'elle était heureuse et fière, et aussi que des choses lui manquaient. Je n'ai surtout pas épilogué, chercher à savoir quoi, qui, quand. Je n'en avais pas envie, pas le besoin. Je lui ai dit que je la respectais, et qu'elle fasse ce qui est bon pour elle.
Depuis, nous avons quelques échanges de temps en temps, un coup de fil, toujours joyeux, toujours avec des souvenirs. Jamais nous ne revenons sur les difficultés du passé. Il n'y a pas de demande de ma part d'un rendez-vous, je la laisse faire, je n'attends rien. Même si bien entendu au fond de moi j'ai toujours quelque part une envie de voir, de voir ce qui serait possible après presque un an et demi de séparation. j'ai envie de voir ce que nous sommes devenus tous les deux.
Je ressens toujours un putain de lien qui nous fait nous sentir bien quand nous nous contactons. Et je dis nous car je ressens aussi dans sa voix, dans ses paroles, qu'elle se sent bien quand nous nous téléphonons.
J'entends d'ici les "elle joue avec toi", les "il n'y a rien de concret", les "tu vois que tu n'es pas détaché, que tu n'as pas tourné la page etc..." J'ai lu d'ailleurs sur le forum des interventions que je trouve bien péremptoires, voire blessantes parfois pour les intervenants. Je suis le premier parfois en lisant les histoires à ressentir au travers des écrits des phases de la miennes, et du coup d'avoir envie de mettre un grand coup de pied au cul à la personne qui est paumée devant son clavier. Un peu comme si inconsciemment je me punissais d'avoir agi comme un con à l'époque, aveuglé, empêtré dans mon histoire, et j'ai la furieuse envie d'en mettre plein la poire de l'autre qui vient plutôt chercher du soutien et une écoute, que des solutions clé en main même s'il demande des solutions clé en main (c'est parfois compliqué d'oser exprimer une demande de soutien... l'égo, la panique etc....).
Mais chaque histoire est différente, chaque personne est différente, et je préfère lire ou écrire sur le forum des mots d'empathie et de compassion, que parfois des mots durs même s'ils ne sont évidemment pas dits avec intention de blesser. Je pense sincèrement que parfois il convient un instant de se mettre à la place de celui ou celle qui écrit, et qui n'a besoin de rien d'autre que simplement une oreille, même si parfois il dit des "énormités " qui nous font juste bondir. Je conçois qu'avec les mois et les mois sur le forum, à force de lire souvent les mêmes histoires (en apparence), souvent vécues d'ailleurs par des très jeunes qui pour le coup sont vraiment paumés, on a tendance à peut-être s'aigrir un peu. C'est humain. C'est un constat, il n'y a pas de reproche de ma part pour quiconque, nous faisons tous ici de notre mieux, mais parfois je pense qu'il est sage de prendre un peu de recul. Parenthèse fermée.
Pour en revenir à mon histoire, j'apprends mois après mois que nous sommes tous différents, et que nous avons tous notre propre logique. Celle de mon ex, c'est la sienne, elle fait son chemin comme elle l'entend. Alors oui, vu de l'extérieur, à commencer par moi-même, ça peut paraître égoïste de sa part. Mais quand on se reconstruit on pense avant tout à soi, et c’est bien normal (c'est même ce que l'on préconise à tous les largués). Mon ex avait énormément de choses du passé à poser, elle le fait étape après étape, mois après mois. Elle me recontacte à la fin de chaque étape, et passe à la suivante. Non je ne cherche pas vraiment à l'excuser, à tout expliquer dans un mode qui m'arrange (même si parfois ça peut m'arriver, on n'est pas parfaits nous les humains) mais je me mets à sa place, en essayant de comprendre sa logique, et de l'accepter pour ce qu'elle est: différente de la mienne.
Alors c'est un truc sans fin c'est ça ? elle vient sonder le terrain voir si je suis toujours dispo ? si doudou ou chien chien vient donner la papatte ? certains le verront comme ça, car ils trouveront cette logique inacceptable pour eux. C'est leur droit. Je trouvais cette logique inacceptable, et j'en souffrais (je souffrais aussi pour d'autres raisons que ces mois et ces mois m'ont permis de poser). Depuis des mois et des mois, j'ai commencé à comprendre cette logique, et aussi à me détacher en ce sens que je n'attends plus le retour du navire passivement, en pleurant sur la jetée.
Cette relation de quelques mois que j'ai vécue récemment m'a montré que je pouvais vivre sans mon ex, passer des moments superbes. Cette relation n'a pas eu de suite "ah mais bien sur c'était un pansement, cherche pas". N'empêche qu'aujourd'hui je suis serein, j'ai parfois des rêves qui me viennent, des rêves d'avenir. Mais ces rêves me permettent d'avancer, et je préfère ces rêves que ruminer le passé en me demandant ce que j'aurais du faire il y a un an et demi quand elle est partie en m'embrassant et en me disant son amour.
J'ai tourné la page que je voulais tourner, celle de mes boulets anciens, ces peurs de l'abandon, ce manque de confiance, d'amour de moi-même. Aujourd'hui clairement dans mon esprit je n'ai plus de pages à tourner, mais des pages à écrire.
Ce qui se passera dans les semaines ou les mois qui viennent, je n'en sais rien. Peut-être qu'elle me dira ses choix, ce qu'elle désire, peut-être qu'elle ne me le dira jamais. Mais à quoi bon finalement s'inquiéter pour ça ? Je préfère vivre tranquillement, être heureux quand vient un petit message et y répondre gentiment sans pression. Je sais désormais que je peux vivre sans elle, pour moi. Faire éventuellement de nouvelles rencontres, qui donneront ce qu'elles donneront. Ou bien la retrouver un jour, fière de ce qu'elle est, fière de ses choix, qui seront ce qu'ils seront.
Je sais désormais ce que je veux. Je souhaite construire une vie à deux avec une femme qui sait ce qu'elle veut, et qui m'aime pour ce que je suis, un être humain loin d'être parfait, avec mes qualités et mes défauts. Et surtout, surtout, faire de mon mieux jour après jour pour être heureux, et non pas faire ce que je peux pour ne pas souffrir. La nuance peut paraître subtile, mais elle est énorme. Cette femme ça pourra être elle, ou une autre.
Quoi qu'il arrive et quoi qu'elle décide, je crois qu'au plus profond de moi même, je ne souhaite qu'une seule chose pour elle, c'est qu'elle soit heureuse et fière d'elle. Avec moi, ou pas.
Advienne que pourra, la boucle est à nouveau ouverte...
Amitiés à tous, et plein d'affection pour mes chers amis Dupont que j'ai hâte de revoir
Modifié en dernier par etpourtant le 01 févr. 2017, 01:08, modifié 1 fois.