- 07 févr. 2018, 21:03
#1273348
Bonjour/ Bonsoir à toutes et à tous,
Aujourd'hui, je me suis inscrit pour vous parlez de mon problème. Gros pavé en vue, vous êtes prévenu
Tout d'abord, je précise que je suis entré en contact avec Antoine Peytavin, mais il ne m'a pas encore conseillé.
Bon, commençons, je vais essayer d'écrire le mieux possible, j'ai la fâcheuse tendance à être éparpillé.
J'ai 17 ans, 18 ans dans 3 mois, je suis au lycée en classe de terminale littéraire, mon ex à 18ans et est à la faculté. On s'était rencontré par hasard, un vrai coup de la providence, c'était en mars 2017, avec mon groupe d'ami, on discutait couple, en rigolant sur notre célibat, un de mes amis sort alors la photo de classe des terminales L de l'année dernière, étant donné que lui même avait à l'époque sa copine dans cette classe. En rigolant, il me montre les filles et... je trouvais très mignonne cette fille, sans savoir ce que j'allais vivre après.
Le jour d'après, mon ami me parle en me disant qu'il en avait discuter avec sa copine et... Cette belle inconnue me trouvais beau, je comprenais pas ce qui se passait, je n'avais jamais attiré de fille auparavant (pas que ne le sache du moins) et je suis une véritable quiche en séduction, le cliché de "l'intello chiant", bref...
Au début, je ne veux pas la rencontrer, je trouve ça absurde. Résultat, une semaine plus tard, je cède à ce que mon ami me disait, comme quoi, elle aimerait me rencontrer.
C'était un mardi aprem, je m'en souviens très bien, je la rencontre, et... je suis tombé sous le charme, des cheveux violets, et elle essayait de me dragué en me parlant de truc que j'aime, en comprenant qu'elle s'était renseigner sur moi : de la musique metal et de l'histoire. En me sortant des anecdotes superbes, bref, une vraie fille cultivée, pas une fille superficielle, ni une gamine de notre époque, à porter des leggings et écouter du rap alors qu'on est des provinciaux. Vous voyez peut-être du genre de personne que je parle.
On commence à ce parler par Facebook, le feeling passe bien, une semaine après, un dimanche, je lui envoie un sms, je lui dis que je l'aime (ouais c'est naze, je me le reproche pas mal, mais tant pis) le lundi matin, on se retrouve, on essaye de s'embrasser mais, c'est l'échec, après tout, c'était ma première copine et moi son premier mec. (en réalité, elle a eu une amourette deux ans auparavant, cela à duré 2 semaines selon ses dires, donc bon, autant dire qu'il ne c'était rien passé)
Nous voilà en couple, tout ce passe bien, on se retrouve ici et là, je vais chez elle, et nous passons notre première nuit entre amoureux, on fait pas mal de ciné, on se retrouve, on fait une semaine de camping pendant les grandes vacances... bref on fait notre petite vie de petit couple d'adolescents.
Rien de dingue en somme.
Puis arrive la période de la rentrée, elle s'installe dans son appartement, et avant la rentrée, on se lance : notre premier rapport sexuel, évidemment, c'est un échec, le stress, la découverte du corps de l'autre, encore le stress, rien de dingo. La rentrée se passe, elle se fait draguer par un type, au début je l'ai un peu mal pris, normal, mais j'ai très vite rigoler de ça, c'est normal qu'une jeune fille se fasse draguer dans la fleur de l'âge, je ne m'inquiète de rien. Elle fait des sorties avec ces meilleures amies, se retrouve avec un groupe de gars dans des soirées jeux de rôles type Donjons & Dragons. Tout ce passe nickel, on fait nos petites courses ensembles, on sort au cinéma. En clair on se voit un weekend sur 2/3. On nourri l'amour, elle me parle de projet, de voyages un peu partout dans le monde, me sors des sites où on pourrait voyager à petit prix.
Et puis, j'ai commencé à merder, je m'en suis rendu compte.
On avait l'habitude de parler de l'avenir, toujours prévoir tout, nos sorties toujours bien carré, histoire de pouvoir vivre les choses sereinement. Elle parlait souvent de ce qu'elle aimerait faire : Un Erasmus en Roumanie. Évidemment, je connais les histoires sur ça, les soirées sexes, ceci-cela, j'avais terriblement peur de la perdre, je me suis dis que le mieux, c'était d'en parler. Toujours parler de nos soucis et nos craintes, c'était notre petit credo entre nous. Je lui fais part de mes inquiétudes, on parle de ça, je m'excuse pour mes craintes, et on en parle plus, j'étais soulagé de notre discussion.
Vers Novembre, je la sens un peu déprimé, elle est fatigué, agacé par tout, sauf de moi, je la rejoins dès que je peux, et je suis au petit soin avec elle. On cuisine ensemble, on vit notre couple. Au Nouvel An, tout ce passe bien, elle s'amuse et dance avec ces amies, n'aimant pas la dance parce que je ne suis pas du tout à l'aise, je ne me force pas, une de ces amie me fais la remarque, en me critiquant un peu là dessus, comme quoi je m'ennuyais, il est vrai que ce n'était pas ma meilleure soirée, mais savoir tout ce bon monde heureux, sa me convenait parfaitement, on rigolait et s'amusait bien sinon, juste la dance qui bloque.
Quand on part ce couché, je la sens un peu distante, je me dis que c'est la fatigue, j'avais quelques craintes, mais j'ai fais appelle à ma raison, et j'ai vite oublié ces pensées.
Il y a deux semaines, elle me parle d'étudier à Paris, je me suis montré assez opposé, j'ai été mauvais, je le reconnais, je lui ai dis que ce serait très compliqué pour faire vivre notre histoire.
Et puis, il y a eu le drame...
Lundi dernier, le 29 janvier, je lui envoie un petit message, je l'a salut, elle me répond froidement, rapidement, elle me demande de repousser mon arrivée chez elle à samedi, au lieu de vendredi soir, je lui demande si c'est en lien avec ces cours, elle me dit qu'elle à besoin d'être tranquille.
Je me demande si je l'ai fâché, elle m'affirme que non. Puis, elle me dit qu'on va devoir parler. Là, j'ai compris le souci et... J'ai encore merdé, j'ai commencé à monter dans les tours, à me faire des films, le lendemain, je sèche les cours pour me rendre chez elle, pour lui parler, et essayer de tirer au clair cette histoire, je m'étais emporter par message, j'ai pensé qu'elle voyait qu'elle qu'un d'autre, j'étais fou, je le reconnais. j'ai très mal agit. Finalement, je la retrouve, son visage est brut, sans émotion, je lui demande de m'excuser, que je ne voulais pas, je lui demande si elle m'aime encore. Elle m'avoue qu'elle ne m'aime plus, qu'elle ne veut plus être amoureuse.
Tout c'est effondré autour de moi.
Le soir on parle par sms, elle veut qu'on soit ami, qu'elle ne peut me promettre que ça, que son amitié vaut bien plus que son amour. Je m'emporte, encore une fois, j'essaye de l'effacer. Elle me dis "Au revoir" bref... le cauchemar.
Finalement, je l'a recontacte, on réussi à parler calmement, je lui demande si... On pourrait réessayer, ce donner le temps, mais ne pas arrêter là, elle me dit de ne pas lui tendre la main trop vite, qu'on doit entrevoir un possible échec. Je décide de ne plus lui parler, on est jeudi 8 Février.
Je craque, la recontacte lundi, j'ai failli lui balancé toute ma frustration, ma colère, j'ai réussi à me contrôler, je lui annonce alors que je me suis rasé le crâne, c'était l'un de mes projets que j'avant quand on était encore en couple, ce n'est pas un acte par vengeance du genre "intéresse-toi à moi ! Regarde, je me suis rasé pour toi" en fait, j'ai fais ce qui me semblait juste dans ma situation : faire ce que je veux faire. Je me suis décidé à me mettre sérieusement à la musculation, afin de perdre mon ventre et d'avoir un physique correct, mais pas non plus être un bodybuilder, ainsi que de me procurer une guitare, que je rêve d'en faire depuis des années.
Par la suite, je la laisse tranquille tout le mardi, je lui envoie un petit message pour lui dire que j'ai réussi le contrôle que j'avais eu dans la journée, comme elle voulais savoir si j'avais réussi, ou pas.
Aujourd'hui, je lui demande si on peut s'appeler, elle repousse à demain. On échange sur notre journée, je la laisse bosser ces examens. Demain, je compte l'appeler, lui proposer un cinéma pendant les vacances, ce qui nous laisserait le temps de nous reposer, de faire le point, et de ce voir après. J'ai suivi les instructions du site à ce sujet, je compte ne pas évoquer notre rupture, simplement passer du bon temps avec elle, s'amuser comme avant, rire devant une comédie et manger un truc dans un petit snack.
Bon maintenant, je vais passer à la "conclusion" de mon pavé.
Je reconnais mes erreurs, j'ai pas mal de chose à me reprocher, le truc c'est que je ne profite pas assez de l'instant présent, je suis un peu possessif, c'est vrai, j'ai vécu il y a quelques années la perte de mon père, et je ne suis pas en bon terme avec ma proche famille, sauf mon grand frère.
Ma rupture à permis, au passage, de me rapprocher de ma mère.
Je sais parfaitement que j'ai eu peur de la perdre, de ne pas perdre la personne que j'aime, que je lui ai mis la pression. Elle, aimerait "profiter de sa jeunesse", elle m'a assurer qu'elle serait incapable de rester avec moi tout la vie. Je pense qu'elle à dit ça sous la colère, elle ne s'est jamais imaginé en couple. Juste avoir des amis, et des relations, mais je suis arrivé dans sa vie, et il y a eu ce que nous avons vécu ensemble, que j'ai évoqué précédemment. On en avait parler de ça justement, et ce, dès le début de notre relation, on s'était dit que si on devait être séparé sur des grandes périodes pour les études, que l'on soit un "couple libertin" qu'on entretient la flamme, mais qu'évidemment, c'est pas très éthique de se réserver à une seule personne, surtout à notre époque, mais que cela ne voulait pas forcément dire qu'on devait enchaîner les histoires, que si on restait chastes l'un envers l'autre durant ces périodes : okay. Mais une relation d'un soir, une fois tout les 36 du mois, il n'y a pas mort d'homme, le tout c'est qu'à la fin, on se retrouve, et qu'on reforme notre couple tranquillement.
Le seul reproche que je lui fais, c'est de ne pas m'en avoir parler en face à face, car le problème d'une relation à distance, c'est qu'on ne se parle presque que par message. Et qu'il y a eu des quiproquo dans nos messages, c'est certain. Et malheureusement, nos discussion sur Erasmus et Paris était par sms.
Je sais qu'elle se sent abandonner, qu'elle pensait que je ne le faisait pas confiance. Elle ma reprocher le jour de notre rupture de toujours penser qu'elle voyait quelqu'un... alors que non. J'ai pensé cela uniquement dans mon accès de colère.
Je pense avoir un peu près tout dis, je sais, je sais, on est jeune, profitez de la vie, ceci, cela, mais... Elle représente beaucoup pour moi, mes seuls vrais moment de bonheur et de plénitude dans ma vie. Elle est tout ce que je cherche chez les gens, et comme je le disais au début, c'est un coup de la providence ce qu'on a vécu, et je peux pas me résoudre à tourner la page, j'aimerais que ça continue, qu'on réalise nos projets, qu'on reste un peu "naïf", j'aimerai lui offrir tout le bonheur qu'elle mérite, c'est une personne incroyablement honnête et bien. Je me suis laissé aveuglé par la solitude de ne la voir que rarement, qui s'est transformé en jalousie, j'aimerai tout recommencé, voir dans cette rupture notre première engueulade de couple, de repartir sur de bon rail. Et peut-être même, soyons fou, faire notre vie ensemble, en laissant la liberté de l'un et de l'autre, d'être un couple qui ne se prend pas la tête.
J'ai commencé à regarder les vidéos et les astuces du site, à propos du cinéma, si elle accepte, je compte créer un silence radio, afin de ne la recontacter que lorsqu'on serait l'un en face de l'autre, sans parler de notre rupture.
Je vous demande donc votre aide, je compte échanger avec Antoine, et pourquoi pas les autres spécialistes du site, je crois que ce que vous proposer peut fonctionner, ne pas foiré, et si possible, la retrouver, pouvoir se dire "On s'embrasse et on oublie" comme dans la chanson d'Enrico Macias.
Aujourd'hui, je me suis inscrit pour vous parlez de mon problème. Gros pavé en vue, vous êtes prévenu
Tout d'abord, je précise que je suis entré en contact avec Antoine Peytavin, mais il ne m'a pas encore conseillé.
Bon, commençons, je vais essayer d'écrire le mieux possible, j'ai la fâcheuse tendance à être éparpillé.
J'ai 17 ans, 18 ans dans 3 mois, je suis au lycée en classe de terminale littéraire, mon ex à 18ans et est à la faculté. On s'était rencontré par hasard, un vrai coup de la providence, c'était en mars 2017, avec mon groupe d'ami, on discutait couple, en rigolant sur notre célibat, un de mes amis sort alors la photo de classe des terminales L de l'année dernière, étant donné que lui même avait à l'époque sa copine dans cette classe. En rigolant, il me montre les filles et... je trouvais très mignonne cette fille, sans savoir ce que j'allais vivre après.
Le jour d'après, mon ami me parle en me disant qu'il en avait discuter avec sa copine et... Cette belle inconnue me trouvais beau, je comprenais pas ce qui se passait, je n'avais jamais attiré de fille auparavant (pas que ne le sache du moins) et je suis une véritable quiche en séduction, le cliché de "l'intello chiant", bref...
Au début, je ne veux pas la rencontrer, je trouve ça absurde. Résultat, une semaine plus tard, je cède à ce que mon ami me disait, comme quoi, elle aimerait me rencontrer.
C'était un mardi aprem, je m'en souviens très bien, je la rencontre, et... je suis tombé sous le charme, des cheveux violets, et elle essayait de me dragué en me parlant de truc que j'aime, en comprenant qu'elle s'était renseigner sur moi : de la musique metal et de l'histoire. En me sortant des anecdotes superbes, bref, une vraie fille cultivée, pas une fille superficielle, ni une gamine de notre époque, à porter des leggings et écouter du rap alors qu'on est des provinciaux. Vous voyez peut-être du genre de personne que je parle.
On commence à ce parler par Facebook, le feeling passe bien, une semaine après, un dimanche, je lui envoie un sms, je lui dis que je l'aime (ouais c'est naze, je me le reproche pas mal, mais tant pis) le lundi matin, on se retrouve, on essaye de s'embrasser mais, c'est l'échec, après tout, c'était ma première copine et moi son premier mec. (en réalité, elle a eu une amourette deux ans auparavant, cela à duré 2 semaines selon ses dires, donc bon, autant dire qu'il ne c'était rien passé)
Nous voilà en couple, tout ce passe bien, on se retrouve ici et là, je vais chez elle, et nous passons notre première nuit entre amoureux, on fait pas mal de ciné, on se retrouve, on fait une semaine de camping pendant les grandes vacances... bref on fait notre petite vie de petit couple d'adolescents.
Rien de dingue en somme.
Puis arrive la période de la rentrée, elle s'installe dans son appartement, et avant la rentrée, on se lance : notre premier rapport sexuel, évidemment, c'est un échec, le stress, la découverte du corps de l'autre, encore le stress, rien de dingo. La rentrée se passe, elle se fait draguer par un type, au début je l'ai un peu mal pris, normal, mais j'ai très vite rigoler de ça, c'est normal qu'une jeune fille se fasse draguer dans la fleur de l'âge, je ne m'inquiète de rien. Elle fait des sorties avec ces meilleures amies, se retrouve avec un groupe de gars dans des soirées jeux de rôles type Donjons & Dragons. Tout ce passe nickel, on fait nos petites courses ensembles, on sort au cinéma. En clair on se voit un weekend sur 2/3. On nourri l'amour, elle me parle de projet, de voyages un peu partout dans le monde, me sors des sites où on pourrait voyager à petit prix.
Et puis, j'ai commencé à merder, je m'en suis rendu compte.
On avait l'habitude de parler de l'avenir, toujours prévoir tout, nos sorties toujours bien carré, histoire de pouvoir vivre les choses sereinement. Elle parlait souvent de ce qu'elle aimerait faire : Un Erasmus en Roumanie. Évidemment, je connais les histoires sur ça, les soirées sexes, ceci-cela, j'avais terriblement peur de la perdre, je me suis dis que le mieux, c'était d'en parler. Toujours parler de nos soucis et nos craintes, c'était notre petit credo entre nous. Je lui fais part de mes inquiétudes, on parle de ça, je m'excuse pour mes craintes, et on en parle plus, j'étais soulagé de notre discussion.
Vers Novembre, je la sens un peu déprimé, elle est fatigué, agacé par tout, sauf de moi, je la rejoins dès que je peux, et je suis au petit soin avec elle. On cuisine ensemble, on vit notre couple. Au Nouvel An, tout ce passe bien, elle s'amuse et dance avec ces amies, n'aimant pas la dance parce que je ne suis pas du tout à l'aise, je ne me force pas, une de ces amie me fais la remarque, en me critiquant un peu là dessus, comme quoi je m'ennuyais, il est vrai que ce n'était pas ma meilleure soirée, mais savoir tout ce bon monde heureux, sa me convenait parfaitement, on rigolait et s'amusait bien sinon, juste la dance qui bloque.
Quand on part ce couché, je la sens un peu distante, je me dis que c'est la fatigue, j'avais quelques craintes, mais j'ai fais appelle à ma raison, et j'ai vite oublié ces pensées.
Il y a deux semaines, elle me parle d'étudier à Paris, je me suis montré assez opposé, j'ai été mauvais, je le reconnais, je lui ai dis que ce serait très compliqué pour faire vivre notre histoire.
Et puis, il y a eu le drame...
Lundi dernier, le 29 janvier, je lui envoie un petit message, je l'a salut, elle me répond froidement, rapidement, elle me demande de repousser mon arrivée chez elle à samedi, au lieu de vendredi soir, je lui demande si c'est en lien avec ces cours, elle me dit qu'elle à besoin d'être tranquille.
Je me demande si je l'ai fâché, elle m'affirme que non. Puis, elle me dit qu'on va devoir parler. Là, j'ai compris le souci et... J'ai encore merdé, j'ai commencé à monter dans les tours, à me faire des films, le lendemain, je sèche les cours pour me rendre chez elle, pour lui parler, et essayer de tirer au clair cette histoire, je m'étais emporter par message, j'ai pensé qu'elle voyait qu'elle qu'un d'autre, j'étais fou, je le reconnais. j'ai très mal agit. Finalement, je la retrouve, son visage est brut, sans émotion, je lui demande de m'excuser, que je ne voulais pas, je lui demande si elle m'aime encore. Elle m'avoue qu'elle ne m'aime plus, qu'elle ne veut plus être amoureuse.
Tout c'est effondré autour de moi.
Le soir on parle par sms, elle veut qu'on soit ami, qu'elle ne peut me promettre que ça, que son amitié vaut bien plus que son amour. Je m'emporte, encore une fois, j'essaye de l'effacer. Elle me dis "Au revoir" bref... le cauchemar.
Finalement, je l'a recontacte, on réussi à parler calmement, je lui demande si... On pourrait réessayer, ce donner le temps, mais ne pas arrêter là, elle me dit de ne pas lui tendre la main trop vite, qu'on doit entrevoir un possible échec. Je décide de ne plus lui parler, on est jeudi 8 Février.
Je craque, la recontacte lundi, j'ai failli lui balancé toute ma frustration, ma colère, j'ai réussi à me contrôler, je lui annonce alors que je me suis rasé le crâne, c'était l'un de mes projets que j'avant quand on était encore en couple, ce n'est pas un acte par vengeance du genre "intéresse-toi à moi ! Regarde, je me suis rasé pour toi" en fait, j'ai fais ce qui me semblait juste dans ma situation : faire ce que je veux faire. Je me suis décidé à me mettre sérieusement à la musculation, afin de perdre mon ventre et d'avoir un physique correct, mais pas non plus être un bodybuilder, ainsi que de me procurer une guitare, que je rêve d'en faire depuis des années.
Par la suite, je la laisse tranquille tout le mardi, je lui envoie un petit message pour lui dire que j'ai réussi le contrôle que j'avais eu dans la journée, comme elle voulais savoir si j'avais réussi, ou pas.
Aujourd'hui, je lui demande si on peut s'appeler, elle repousse à demain. On échange sur notre journée, je la laisse bosser ces examens. Demain, je compte l'appeler, lui proposer un cinéma pendant les vacances, ce qui nous laisserait le temps de nous reposer, de faire le point, et de ce voir après. J'ai suivi les instructions du site à ce sujet, je compte ne pas évoquer notre rupture, simplement passer du bon temps avec elle, s'amuser comme avant, rire devant une comédie et manger un truc dans un petit snack.
Bon maintenant, je vais passer à la "conclusion" de mon pavé.
Je reconnais mes erreurs, j'ai pas mal de chose à me reprocher, le truc c'est que je ne profite pas assez de l'instant présent, je suis un peu possessif, c'est vrai, j'ai vécu il y a quelques années la perte de mon père, et je ne suis pas en bon terme avec ma proche famille, sauf mon grand frère.
Ma rupture à permis, au passage, de me rapprocher de ma mère.
Je sais parfaitement que j'ai eu peur de la perdre, de ne pas perdre la personne que j'aime, que je lui ai mis la pression. Elle, aimerait "profiter de sa jeunesse", elle m'a assurer qu'elle serait incapable de rester avec moi tout la vie. Je pense qu'elle à dit ça sous la colère, elle ne s'est jamais imaginé en couple. Juste avoir des amis, et des relations, mais je suis arrivé dans sa vie, et il y a eu ce que nous avons vécu ensemble, que j'ai évoqué précédemment. On en avait parler de ça justement, et ce, dès le début de notre relation, on s'était dit que si on devait être séparé sur des grandes périodes pour les études, que l'on soit un "couple libertin" qu'on entretient la flamme, mais qu'évidemment, c'est pas très éthique de se réserver à une seule personne, surtout à notre époque, mais que cela ne voulait pas forcément dire qu'on devait enchaîner les histoires, que si on restait chastes l'un envers l'autre durant ces périodes : okay. Mais une relation d'un soir, une fois tout les 36 du mois, il n'y a pas mort d'homme, le tout c'est qu'à la fin, on se retrouve, et qu'on reforme notre couple tranquillement.
Le seul reproche que je lui fais, c'est de ne pas m'en avoir parler en face à face, car le problème d'une relation à distance, c'est qu'on ne se parle presque que par message. Et qu'il y a eu des quiproquo dans nos messages, c'est certain. Et malheureusement, nos discussion sur Erasmus et Paris était par sms.
Je sais qu'elle se sent abandonner, qu'elle pensait que je ne le faisait pas confiance. Elle ma reprocher le jour de notre rupture de toujours penser qu'elle voyait quelqu'un... alors que non. J'ai pensé cela uniquement dans mon accès de colère.
Je pense avoir un peu près tout dis, je sais, je sais, on est jeune, profitez de la vie, ceci, cela, mais... Elle représente beaucoup pour moi, mes seuls vrais moment de bonheur et de plénitude dans ma vie. Elle est tout ce que je cherche chez les gens, et comme je le disais au début, c'est un coup de la providence ce qu'on a vécu, et je peux pas me résoudre à tourner la page, j'aimerais que ça continue, qu'on réalise nos projets, qu'on reste un peu "naïf", j'aimerai lui offrir tout le bonheur qu'elle mérite, c'est une personne incroyablement honnête et bien. Je me suis laissé aveuglé par la solitude de ne la voir que rarement, qui s'est transformé en jalousie, j'aimerai tout recommencé, voir dans cette rupture notre première engueulade de couple, de repartir sur de bon rail. Et peut-être même, soyons fou, faire notre vie ensemble, en laissant la liberté de l'un et de l'autre, d'être un couple qui ne se prend pas la tête.
J'ai commencé à regarder les vidéos et les astuces du site, à propos du cinéma, si elle accepte, je compte créer un silence radio, afin de ne la recontacter que lorsqu'on serait l'un en face de l'autre, sans parler de notre rupture.
Je vous demande donc votre aide, je compte échanger avec Antoine, et pourquoi pas les autres spécialistes du site, je crois que ce que vous proposer peut fonctionner, ne pas foiré, et si possible, la retrouver, pouvoir se dire "On s'embrasse et on oublie" comme dans la chanson d'Enrico Macias.