- 10 sept. 2009, 00:51
#143791
Bonsoir Fifi,
J'ai pu lire sur un de tes posts que tu étais infirmière et j'en ai lu quelques autres où tu conseillais les autres sur des questions "médicales"...
Si je viens à toi, c'est parce que j'aimerais que tu m'éclaircisses sur un sujet qui me gêne depuis un moment déjà, je vais essayé d'expliquer depuis le début et essayer aussi d'être la plus explicite possible.
Les faits remontent à mai 2007, j'ai passé le week end au teknival (rassemblement de sounds systèms, sons tekno au cas où tu ne connaisses pas). Dans ce genre de festival on y trouve toutes sortes de drogues, ça va du shit à l'héroïne en passant par la coke, la kétamine où je ne sais quoi encore. J'y suis restée 2 jours, je ne suis ni une droguée, ni une junkie, je ne prends ABSOLUMENT rien mis à part ma bière à la main!
Je suis partie là bas le vendredi, nous avons passé une bonne soirée pareil pour le samedi, je suis rentrée le dimanche. A cette époque j'étais déjà avec mon homme mais je vivais seule étant donné les 100kms qui nous séparaient pour le boulot. Je me suis donc retrouvée toute seule le dimanche soir dans mon lit vers 22h30, je me suis endormie mais peut être 1h après je me suis réveillée avec le palpitant que je ne pouvais plus contrôler. J'ai appelé le père de ma fille qui habitait à quelques maisons de moi en lui disant que je ne me sentais pas bien, il est venu, il a essayé tant bien que mal de me rassurer. Je précise que j'avais un pouls qui battait à 217 pulsations par minute, autant te dire que je n'étais pas bien...
Il a voulu m'emmener à l'hôpital, j'ai accepté tellement j'étais mal.
Arrivée là bas, j'ai été prise en charge par une infirmière qui m'a donné un calment. Quand le médecin est arrivé dans la salle de soins, il m'a demandé si je faisais souvent des "crises d'angoisse". Diagnostic prononcé.
Je suis de nature stressée, nerveuse mais de là à être angoissée je ne le savais pas...
Le problème c'est que ça revient assez régulièrement et pour être franche bien souvent les lendemains de fête...mais ça peut arriver aussi pour n'importe quelle autre raison.
J'ai un oncle médecin qui m'a donné du lysanxia (c'est un anxiolytique mais je pense ne rien t'apprendre!
). Je n'en prend pas en traitement de fond mais seulement quand je sens la crise arriver. J'ajouterais aussi que maintenant j'arrive à contrôler la plupart des crises mais certaines restent incontrôlables...
Alors j'ai plusieurs questions:
-Est ce que ce sont des crises vraiment psychologiques? A savoir que j'ai déjà fait un éléctro et qu'il ne décèle rien.
-Est ce normal de ne plus pouvoir faire la fête à 30 ans? Est ce que c'est une façon que le corps trouve pour dire "J'en ai assez!"?
-Est ce que c'est moi qui me suis enfermée dans un truc et qui déclenche les crises?
-Comment combattre ce genre de "maladie" qui s'avère plus psychologique que pathologique?
-De quoi ça peut venir?
Merci d'avance pour ta réponse.![Clin d’oeil ;)](./images/smilies/icon_e_wink.gif)
J'ai pu lire sur un de tes posts que tu étais infirmière et j'en ai lu quelques autres où tu conseillais les autres sur des questions "médicales"...
Si je viens à toi, c'est parce que j'aimerais que tu m'éclaircisses sur un sujet qui me gêne depuis un moment déjà, je vais essayé d'expliquer depuis le début et essayer aussi d'être la plus explicite possible.
![Clin d’oeil ;)](./images/smilies/icon_e_wink.gif)
Les faits remontent à mai 2007, j'ai passé le week end au teknival (rassemblement de sounds systèms, sons tekno au cas où tu ne connaisses pas). Dans ce genre de festival on y trouve toutes sortes de drogues, ça va du shit à l'héroïne en passant par la coke, la kétamine où je ne sais quoi encore. J'y suis restée 2 jours, je ne suis ni une droguée, ni une junkie, je ne prends ABSOLUMENT rien mis à part ma bière à la main!
![Clin d’oeil ;)](./images/smilies/icon_e_wink.gif)
Je suis partie là bas le vendredi, nous avons passé une bonne soirée pareil pour le samedi, je suis rentrée le dimanche. A cette époque j'étais déjà avec mon homme mais je vivais seule étant donné les 100kms qui nous séparaient pour le boulot. Je me suis donc retrouvée toute seule le dimanche soir dans mon lit vers 22h30, je me suis endormie mais peut être 1h après je me suis réveillée avec le palpitant que je ne pouvais plus contrôler. J'ai appelé le père de ma fille qui habitait à quelques maisons de moi en lui disant que je ne me sentais pas bien, il est venu, il a essayé tant bien que mal de me rassurer. Je précise que j'avais un pouls qui battait à 217 pulsations par minute, autant te dire que je n'étais pas bien...
Il a voulu m'emmener à l'hôpital, j'ai accepté tellement j'étais mal.
Arrivée là bas, j'ai été prise en charge par une infirmière qui m'a donné un calment. Quand le médecin est arrivé dans la salle de soins, il m'a demandé si je faisais souvent des "crises d'angoisse". Diagnostic prononcé.
Je suis de nature stressée, nerveuse mais de là à être angoissée je ne le savais pas...
Le problème c'est que ça revient assez régulièrement et pour être franche bien souvent les lendemains de fête...mais ça peut arriver aussi pour n'importe quelle autre raison.
J'ai un oncle médecin qui m'a donné du lysanxia (c'est un anxiolytique mais je pense ne rien t'apprendre!
![Clin d’oeil ;)](./images/smilies/icon_e_wink.gif)
Alors j'ai plusieurs questions:
-Est ce que ce sont des crises vraiment psychologiques? A savoir que j'ai déjà fait un éléctro et qu'il ne décèle rien.
-Est ce normal de ne plus pouvoir faire la fête à 30 ans? Est ce que c'est une façon que le corps trouve pour dire "J'en ai assez!"?
-Est ce que c'est moi qui me suis enfermée dans un truc et qui déclenche les crises?
-Comment combattre ce genre de "maladie" qui s'avère plus psychologique que pathologique?
-De quoi ça peut venir?
Merci d'avance pour ta réponse.
![Clin d’oeil ;)](./images/smilies/icon_e_wink.gif)